Laeticia Hallyday a commis une erreur qui pourrait lui coûter cher
La petite phrase de Laeticia Hallyday qui pourrait lui coûter cher
Laeticia Hallyday est enfin sortie du silence et a accordé une longue interview au Point, en kiosques ce jeudi 12 avril. Selon Fabien Lecoeuvre, l'une des phrases employées pourrait bien lui porter préjudice…
Comme rapporté par le site internet du magazine Gala, depuis que Laura Smet et David Hallyday ont choisi de contester le testament de leur père, Laeticia est la cible des attaques.
Dans le document en question, qui a été signé sous la loi californienne, Johnny Hallyday a indiqué qu'il souhaitait que son épouse gère l'intégralité de son patrimoine après sa mort. En France, il est légalement impossible de déshériter ses enfants.
Les avocats de David et Laura tentent donc d'invalider le testament américain afin que le droit français soit appliqué.
Récemment, Laeticia a décidé de briser son long silence en accordant une longue interview au magazine Le Point, qui a été publié hier, jeudi 12 avril.
Dans cette interview, la veuve qui est toujours en deuil a voulu donner sa version des faits. Et selon elle, ce qu'elle vit aujourd'hui est à la hauteur de ce que représentait Johnny Hallyday pour les français.
"J'ai épousé la France, la tour Eiffel ! (…) Chaque Français a un lien avec lui à travers une chanson, un souvenir",
Cependant, cette phrase a attiré l'attention de plusieurs personnes. Une phrase qui pourrait bien lui coûter cher, selon l'attaché de presse Fabien Lecoeuvre, qui était présent sur le plateau de l'heure des pros sur la chaîne CNews, jeudi 12 avril.
"A un moment donné, à ce que je sache, la tour Eiffel c'est quand même français, ce n'est pas américain. Je ne sais pas si les avocats sont passés à côtés de cette phrase, s'ils ont relu le papier. Mais quand on épouse la tour Eiffel, on sait qu'elle est Française, elle n'est pas Américaine, elle ne dépend pas de la loi américaine. C'est le droit français qui s'applique sur la tour Eiffel et pas le droit américain. On pourrait penser que les avocats n'ont pas relu le papier…"