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Affaire Alexia Daval: Comment Jonathann a prouvé qu'il était un meurtrier avant même sa confession

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25 mai 2018
07:25

Au cours d'une spéciale sur l'affaire Jonathann Daval diffusée le 23 mai dernier, W9 a eu recours à un comportementaliste afin de voir si la gestuelle de l'homme ayant tué sa femme pouvait le trahir.

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AmoMama vous fait part de cette histoire rapportée par Closer Mag.

C'est au cours de la diffusion de W9 que nous sommes revenus sur l'affaire Jonathann Daval, l'homme ayant tué sa femme par strangulation, avant d'avouer le meurtre à la fin du mois de janvier dernier. Avouant l'avoir tué après une dispute.

Au cours du documentaire, W9 nous rappelle qu'au cours de leur enquête, à l'époque secrète, sur le jeun homme, les policiers ont fait appel à des comportementalistes afin d'analyser la gestuelle de Jonathann.

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La chaîne a eu recours à un comportementaliste extérieur, Frantz Bagoe, parce qu'ils n'ont pas pu appeler les exprts ayant travaillés pour les enquêteurs, sacahnt que l'affaire n'est pas encore jugée.

Frantz Bagoe a alors essayé de décrypter la gestuelle de Jonathann au cours de son discours lors de la marche blance en mémoire d'Alexia Daval, le 5 novembre dernier.

Il révèle que le langage corporel de Jonathann était déjà parlant avant même qu'il ne prenne la parole après la amrche blanche.

"Il exprime sa tristesse qui est réelle, mais on a aussi une bouche en huitre. Vous avez un retrait labial qui est typique des propos qui sont retenus. Et qui est confirmé ensuite par la langue qui sort subrepticement et qui re-rentre ensuite pour ravaler ces mots."

Au cours du discours de la marche blanche, le langage gestuel de l'accusé le trahirait, d'après Franz.

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"On voit bien l'index sur la narine gauche de Jonathann. Là il sait que la situation va être complexe à gérer. Et donc, pour le coup, il ne la sent pas, il place cet index là. Ensuite il va se préparer mentalement, il va être exposé au regard de tout le monde donc on a une moue de peur. Avec la bouche qui s'ouvre avec un petit rictus sur la lèvre supérieur gauche qui s'élève et les dens du bas qui sont apparentes. Ca, c'est la peur !"

Mais d'après lui, c'est au cours de la prise de parole de l'accusé que ses gestes "l'accablent".

"Là, il se livre. On a encore une fois la main quivient au-devant de la bouche pour essayer d'en dire le moins possible. Et puis cet index qui vient sous l'arête du nez. C'est 'J'ai quelque chose à cacher'. En tout cas, là, il a des mots qu'il ne souhaite pas voir sortir de sa bouche. Le geste va être répété non plus avec sa main, mais avec la feuille de papier. Il en a dit, il l'espère, le moins possible, pour ne pas se trahir."

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