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La succession de Claude François: Le franc-parler de son fils au sujet de l'héritage de son père peuvent être inattendus pour les fans

Liana Ratsiorimanana
14 août 2018
16:34

Claude François Junior s’est entretenu avec le magazine Parisien en février dernier. Il évoque ce qu’il a fait de l’héritage de son père et il y a de quoi se poser des questions.

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Après le décès de Johnny Hallyday, aujourd’hui appelé l’idole des jeunes, son héritage a fait couler beaucoup d’encre.

Le fait que le rockeur ait déshérité ses deux enfants David Hallyday et Laura Smet, a provoqué une polémique dans les médias, mais aussi sur les réseaux sociaux.

Source: Youtube

Source: Youtube

Mais si cette affaire a fait la une de tous les magazines pendant déjà plusieurs mois, on a tendance à oublier que le clan Hallyday n’est pas le seul à avoir ce problème d’héritage.

En effet, il y avait par exemple Jean-Michel Jarre qui a rompu le silence, il y a de cela quelques jours, qui, lui aussi, a été écarté de l’héritage de son père, Maurice Jarre.

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Mais si ces deux clans, Hallyday et Jarre, sont aujourd’hui au cœur de l’actualité pour des difficultés dans la succession, d’autres artistes français décédés n’ont pas eu ce même problème.

C’est par exemple le cas de Claude François qui n’a pas laissé de testament et dont la succession s’est faite tout naturellement. D’ailleurs, Claude François Junior s’est entretenu sur ce sujet avec le magazine Parisien en février dernier.

LA SUCCESSION DE CLAUDE FRANÇOIS

Quand le magazine demande à Claude François Junior comment s’est passé l’héritage de son père, voici ce qu’il répond:

«Quand mon père est mort, un tuteur de biens a été nommé et un tuteur de personne, en l’occurrence notre mère, a été désigné alors que nous étions mineurs.

Source: Wikimedia

Source: Wikimedia

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"C’est ainsi qu’a été décidé rapidement de vendre le moulin de Dannemois, la résidence de mon père où il y avait un jardin, une piscine chauffée de 100 m2, deux gardiens, des frais d’entretien abyssaux."

«En tant qu’héritiers, mon frère et moi avions à l’époque les droits d’auteur et d’interprète ainsi que les droits d’édition sur les chansons que nous avons finalement revendus», ajoute-t-il.

Et quand on lui demande pourquoi,

«Parce que les relations avec les héritiers de certains coauteurs des chansons de mon père devenaient explosives» répond-il.

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