Affaire Daval: Gregory le beau-frère fait une contre-offensive poignante contre Jonathann
Gregory Gay, le beau-frère d’Alexia Daval, a décidé de changer d’avocat. Il s’est confié dans les colonnes du Parisien concernant cette contre-offensive poignante contre Jonathann Daval.
L’affaire Daval est principalement le décès tragique d’une jeune avocate de 29 ans, dont le mari, Jonathann Daval, a avoué être l’assassin. Cependant, cette affaire a, depuis la découverte du corps de la jeune femme, a pris beaucoup de tournures.
QUI EST L’ASSASSIN?
Si dans les premiers temps, le mari, Jonathann Daval, s’est dénoncé pour avoir tué sans le vouloir son épouse dans la nuit du 27 au 28 octobre dernier, il a été placé en détention provisoire dès la fin du mois de janvier.
Cependant, en juillet dernier, le suspect présumé s’est rétracté et dénonce ouvertement son beau-frère Gregory Gay.
Gregory Gay est le beau-frère de la victime, Alexia Daval et plus précisément, le mari de sa sœur. Selon les dernières déclarations de Jonathann Daval, le suspect actuellement en détention provisoire, Gregory serait le véritable meurtrier.
Selon Jonathann, Gregory aurait étranglé Alexia et lui, qui est actuellement derrière les barreaux, n’a fait qu’aider pour transporter le corps vers l’endroit où l’avocate a été découverte inanimée.
IL A DÉCIDÉ DE CHANGER D’AVOCAT
Gregory Gay et sa femme, Stéphanie, ont décidé de changer d’avocat en qualité de partie civile. Voici ce qu’ils ont confié au magazine Le Parisien ce jeudi 23 août: 4
«Compte tenu notamment de la dernière position adoptée par Jonathann Daval devant le magistrat instructeur, et animés d’une farouche volonté, en notre qualité de parties civiles,
de concourir activement à la manifestation de la vérité et de préserver la sérénité absolue de l’enquête, nous avons décidé de confier la défense de nos intérêts au bâtonnier Gilles-Jean Portejoie, en lieu et place de Me Jean-Marc Florand».
«Jonathann a quatre avocats, il fallait rétablir l’équilibre face à cette situation. Donner plus de force à notre partie civile»,
ajoutent-ils pour se justifier.