À propos de la mort de Charles Aznavour, l'animatrice de France Bleu balance un: "Bon débarras"

Le dérapage d’une animatrice de France Bleu par rapport au décès de Charles Aznavour fait la une de tous les médias depuis ce mardi.

L’animatrice lance un «Bon débarras» qui n’a bien évidemment pas plu aux fans de l’artiste disparu.

Retrouvé sans vie dans sa baignoire le lundi 1e octobre dernier, Charles Aznavour est parti soudainement et tragiquement.

Rapidement, c’est une vague d’hommage qui fleurit un peu partout sur les réseaux sociaux. Mais visiblement, il y’en a qui sont contents de cette disparition tragique.

«BON DÉBARRAS»

Combien de personnes sont réellement contentes de la disparition de Charles Aznavour? ça, on ne le sait pas.

Cependant, une personnalité qui est connue du grand public semble ravie de ce décès et ne s’en cache pas.

Il s’agit de Nathalie Mazet, animatrice de France Bleu, et qui a écrit ceci sur Facebook : «sexiste, raciste de droite, bon débarras». Un message qui n’est pas passé inaperçu sur internet.

LES REACTIONS DES DIFFERENTES PARTIES

Face à ce message inattendu qui sort totalement de l’unanimité par rapport à l’hommage pour Charles Aznavour, les fans de l’artiste n’ont pas tardé à commenter ce message. De vives réactions ont défilé sur la toile.

Mais une publication a particulièrement retenu l’attention. Il s’agit d’une déclaration de la radio France Bleu qui se désolidarise de l’animatrice Nathalie Mazet.

«France Bleu ne cautionne pas les propos injurieux et diffamatoires émis par une animatrice du réseau à l’encontre de Charles Aznavour. Ces propos diffusés sur les réseaux sociaux ont été tenus à titre personnel. France Bleu se joint à l’hommage unanime rendu à ce grand artiste.»,

peut-on lire sur la publication de la radio sur Twitter.

LE RAPPORT D’AUTOPSIE DE CHARLES AZNAVOUR

Tombé ce mardi 2 octobre 2018, le rapport d’autopsie effectué sur le corps de Charles Aznavour révèle que l’artiste est bien décédé de «cause naturelle».

L’interprète de «La Bohème» serait mort à la suite d’un «œdème aigu pulmonaire responsable d'une défaillance cardio-respiratoire qui s'est révélée être au-dessus de toute ressource thérapeutique».