
La raison pour laquelle Brigitte Macron est horrifiée par les gilets jaunes
La violence dont font preuve certains gilets jaunes semble faire très peur à la première dame.
Brigitte Macron est tout particulièrement inquiète pour sa famille et leur chocolaterie qui se trouve à Amiens.
Cela fait plus d'un mois maintenant qu'un véritable mouvement national a emporté toute la France qui est secouée par la colère des "Gilets jaunes". Les Français veulent en effet faire entendre leur voix et leur mécontentement.
Ils ne sont plus satisfaits par le travail fourni par Emmanuel Macron et la politique appliquée par son gouvernement. Et parmi les contestataires, certains n'hésitent pas à s'attaquer directement au président de la République et à sa compagne, Brigitte Macron.
De nombreuses pancartes aux propos extrêmements insultants sont brandies à chaque manifestation et la chocolaterie de la famille Trogneux qui se trouve à Amiens est parfois attaquée elle aussi.

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Cela ne sied pas à la première dame d'après les informations recueillies par "Closer". En effet, elle a été extrêmement choquée par la violence dont la chocolaterie familiale a été la cible et elle a peur que les membres de sa famille qui vivent à Amiens et à Paris ne deviennent les cibles d'attaques.
Le 4 décembre dernier, au cours d'une interview accordée au Parisien, Jean-Alexandre Trogneux, le neveu de la première dame et patron de la chocolaterie familiale révélait les actions de certains "Gilets jaunes" contre son commerce : "J'ai l'impression d'être un bouc émissaire, un défouloir (...) On crache sur la vitrine (...) On a menacé de faire brûler la chocolaterie sur les réseaux sociaux. La personne a été placée en garde à vue. J'ai peur de l'acte d'un déséquilibré".

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Et il semblerait que Brigitte Macron ne soit pas la seule à être inquiétée par la brutalité démontrée par une partie des "Gilets jaunes" puisqu'un véritable dispositif de sécurité avait été déployé afin d'assurer la sécurité du président.
Des centaines de gendarmes armés de "lances à eau" étaient présents, des "drones" patrouillaient les abords de l'Élysée "tandis qu'à l'extérieur, un hélico était prêt à exfiltrer le chef de l'État".

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"Le palais présidentiel était isolé au centre d'un immense no man's land, baptisé 'bunker institutionnel', englobant le ministère de l'Intérieur, la place de la Concorde et l'Assemblée nationale" rapporte le "Canard enchaîné".