La présidente de la société de production Fort Boyard montre son soutien à Héloïse Martin

L’actrice française, Héloïse Martin, a été critiquée sur son physique sur le réseau social lors de la diffusion du jeu télévisé Fort Boyard samedi, le 27 juillet. Le jour après elle a décidé donc de quitter Twitter et a reçu le soutien d’Alexia-Laroche Joubert.

Le 27 juillet 2019 la jeune comédienne Héloïse Martin a participé au jeu télévisé Fort Boyard. Au côté de Tibo Inshape, Philippe Etchebest, Erika Moulet, Alex Goude, ou encore Carla Ginola elle a réussi avec panache l’épreuve très exigeante du Flyboard.

Et si elle a fini dans la sauce de la ketchuperie, la femme n'a pas hésité à se jeter dans le vide pour le double saut à l'élastique, accompagnée de Philippe Etchebest.

Il semble pourtant que certains internautes n’ont retenu que son physique de toute sa performance.

Dimanche, après la diffusion de l’émission, Héloïse Martin a écrit donc un long message sur son Twitter pour annoncer sa décision de quitter le réseau social. Raison à cela ? Un grand nombre de moqueries et de critiques sur son poids.

Dans un post intitulé "Allez Ciao Twitter, bonne continuation les «haters»" la jeune femme de 23 ans a déclaré :

"C'est dingue de recevoir autant d'insultes sur mon physique. J'ai participé à Fort Boyard et nous avons joué pour une magnifique association. Je n'étais pas là pour faire la belle, mais pour me surpasser et pour essayer de réussir des épreuves très difficiles. Et ce ne sont pas mes formes qui m'ont empêchée de gagner des clés et des indices. C’est de la bêtise et de la méchanceté gratuite, je vous plains tellement."

L’actrice star de Tamara a reçu tout de suite le soutien de la présidente d'Adventure Line Production, la société de production de Fort Boyard, Alexia-Laroche Joubert. Cette dernière a donc écrit :

"Bravo Héloïse, tu as été super et tu as gagné tes jalons de super candidate du Fort, les jugements de ces aigris qui volent en escadrilles cachés par leur pseudo et n’affrontent rien d’autre que leur rancœur et leur désespoir, on les laisse dans les tréfonds de leur médiocrité."