Affaire Alexia Daval : ses parents parlent de comment leur beau-fils Jonathann a avoué le meurtre
En 2017, Alexia Daval a été retrouvée décédée et partiellement brûlée, les parents d’Alexia Daval se sont confiés durant une entrevue avoir poussé leur gendre a passé aux aveux. Celui-ci a tué leur fille.
Il y a trois ans de cela, le 30 octobre 2017, une femme nommée Alexia Daval, est décédée dans la commune de Haute-Saône. D’après les informations, il s’agissait d’un meurtre.
L’époux s’est fait passer pour la victime durant des mois. Mais en 2018, le même homme a reconnu avoir frappé son épouse. Dans le podcast “L’instant où”, les parents d’Alexia Daval ont raconté ce qui s’était réellement passé.
IL A ACCUSÉ SON BEAU-FRÈRE
Jonathann, le mari d’Alexia Daval, a avoué qu’il n’a eu aucune nouvelle de sa femme, depuis que celle-ci est partie faire son jogging. La femme de 29 ans est malheureusement retrouvée morte. Une enquête était alors ouverte, face à quoi Jonathann a complètement nié avoir touché sa femme.
Il s’est fait passer pour le mari éploré, accusant la famille d’étouffer l’affaire, mais plus encore, il a aussi accusé son beau-frère d’avoir commis le meurtre.
Il a ainsi affirmé que Grégory Gay (son beau-frère) a étranglé Alexia, tentant de la maîtriser, vu que celle-ci a fait une crise d'hystérie dans la maison de leurs parents.
IL A AVOUÉ AVOIR TUÉ SON ÉPOUSE
Tout était confus, jusqu’au jour où les beaux-parents de Jonathann ont organisé une confrontation. Isabelle Fouillot, la belle-mère, a d’abord commencé par le saluer gentiment.
Elle a emmené avec elle une photo de sa fille et de leur chat :
“Je me suis dit qu'en lui amenant une photo d'Alexia et du chat, cela allait peut-être lui déclencher quelque chose”,
Eh bien, elle a vu juste. Son gendre s’est jeté à ses genoux, confirmant que c’est bel et bien lui qui a tué Alexia Daval. Ce dernier l'a fait à la suite d'une violente querelle conjugale.
LE PROCÈS, REPORTÉ EN RAISON DU CORONAVIRUS
Le procès de Jonathann sur l’affaire Alexia Daval avait été repoussé en raison du Coronavirus. Il avait été mis en détention en janvier 2018, et a attendu son jugement par la cour d’assises de la Haute-Saône à Vesoul. Une autre date est alors prévue pour un nouveau procès.