Daniel Balavoine a brisé des cœurs : ses 2 femmes parlent de tromperie amoureuse
Daniel Balavoine fut un chanteur de talent, renommé pour sa voix aux sonorités typiquement masculine. Bien qu’il soit mort depuis 34 ans, ses mélodies continuent à résonner dans les mémoires. Redécouvrez ce personnage qui a brisé des cœurs.
Le chanteur des années 80, Daniel Balavoine se rappelle aux mémoires par l’intermédiaire de François Alquier, auteur du livre "Daniel Balavoine, un homme vrai". Ce livre est constitué de près de 50 témoignages des proches de l’artiste, et retrace l’histoire de l’artiste. Parmi ceux qui ont accepté de participer à l’élaboration de ce livre, se trouvent deux femmes qui ont marqué la vie du célèbre musicien. De leur témoignage, il ressort que ce seigneur de la musique était un incurable coureur de jupons.
CATHERINE FERRY, LE PREMIER AMOUR DE BALAVOINE
Catherine Ferry fut une des chanteuses phares des années 70-80. Elle et Daniel Balavoine s’étaient rencontrés en 1971 alors qu’elle n’avait que 18 ans. Mais ce n’est qu’en 1973 qu’ils se mirent officiellement en couple. Leur idylle dura 4 ans. Selon la chanteuse, le principal motif de cette rupture fut l’infidélité. Les multiples infidélités du chanteur furent ce qu’il convient d’appeler "un trouble-fête".
Le chanteur Daniel Balavoine en 1985 | source : Getty images
Dans le témoignage de Catherine Ferry, il est aisé de comprendre que la situation n’était pas aisée pour elle. En effet, c’était un sujet de dispute constant entre les deux amants, à tel point qu’il avait du grabuge chez eux. Elle avait déclaré que pendant ses absences, le chanteur entamait invariablement une nouvelle relation avec une autre femme.
Bien que prétextant ne pas aimer ces femmes, pour Balavoine, il lui était impossible de s’en passer. Ensemble, ce couple de musiciens talentueux a chanté une chanson intitulée "Un, deux, trois".
CORINNE BARCESSAT, LA FEMME DE SA VIE
En 1981, le chanteur et Corinne Barcessat eurent le coup de foudre alors qu’ils assistaient tous deux à une manifestation. Leur amour fut un amour fusionnel et Corinne était pour lui un bouclier dans la tourmente, son port d’attache.
Le chanteur Daniel Balavoine | source : Getty images
Bien que leur relation ne déroula pas sous l’œil des projecteurs, Daniel Balavoine ne cessa jamais de clamer à cor et à cri leur amour. Une relation qui lui inspira "L’aziza". Le nom même de la chanson, à consonance islamique fut tiré de la culture juive-marocaine dont était issue sa femme.
Avec Corinne Barcessat, le chanteur avait trouvé le véritable amour. En 1984, sa femme surnommée Coco lui donna un fils, Jérémie. L’année du décès accidentelle de l’artiste, soit en 1986, sa femme attendait leur deuxième enfant, une fille qu’elle appela Joana. Daniel Balavoine n’eut jamais la chance de voir son bébé.
UN CHANTEUR AU CHARME RENVERSANT
Les femmes furent le point faible de ce chanteur au charme irrésistible. Bien avant de connaître le succès phénoménal qui était le sien, Daniel Balavoine avait déjà un charme envoûtant comme l’atteste Catherine Ferry. Aussi, ces deux femmes ne furent pas les seules à marquer la vie de l’interprète de "De vous à elle en passant par moi".
Le chanteur Daniel Balavoine | source : Getty images
Parmi les femmes que Balavoine fit souffrir, il y a une certaine Linda Lecomte. Cette demoiselle vécue une véritable détresse émotionnelle au moment de leur rupture. Daniel Balavoine et Linda Lecomte se fréquentèrent pendant 5 ans. Ils rompirent en 1982. À la suite de cette histoire, la chanteuse d’origine belge fut internée pendant 6 mois dans un hôpital psychiatrique, question de se remettre de sa déception amoureuse.
Cela fait certes plus de 30 ans que Daniel Balavoine est décédé, mais sa musique continue à entretenir sa mémoire berçant au passage les nouvelles générations. Il restera encore longtemps dans les cœurs et dans les mémoires.
ZOOM SUR LA FAMILLE DE DANIEL BALAVOINE
Des années après la mort de Daniel Balavoine, le monde se demande ce que sont devenus les membres de sa famille. Zoom sur leur histoire avant, et après la disparition de l’artiste.