Cécilia, l’ex de Nicolas Sarkozy, payée pour son travail douteux à l’Assemblée nationale

L’ex-compagne de Nicolas Sarkozy Cécilia Attias, est en ligne de mire du journal satirique Le Canard enchaîné du 13 janvier 2021. La raison serait l’exercice d’un travail douteux à l’Assemblée nationale.

Le Canard enchaîné parut le 13 janvier 2021, vient soulever une controverse, quant à un travail que faisait l’ex-première dame de Nicolas Sarkozy Cécilia Attias. En effet, durant la période où l’ex-chef d’état était ministre de l'Intérieur, sa compagne accomplissait un travail payé à l’Assemblée nationale.

UN EMPLOI DOUTEUX

Cécilia Attias aurait perçu 3 088 euros par mois pour le poste de collaboratrice auprès de la députée des Hauts-de-Seine Joëlle Ceccaldi-Raynaud, au cours de l’année 2002-2003.

Le véritable problème autour de cette affaire, réside sur le fait qu’il n’est fait mention nulle part de cet emploi. Puisque durant cette même période, elle était la collaboratrice à plein temps de son mari au ministère de l’Intérieur, a signalé l’hebdomadaire satirique.

Le fait pour le maire actuel de Puteaux Cécilia Attias, de n’avoir pas mentionné ce détail si on pouvait le qualifier ainsi, dans un quelconque rapport ou même dans ses œuvres, laisse planer l’ombre d’un emploi douteux. En guise de rappel, elle aurait encaissé au total la mirobolante somme de 8 000 euros.

DÉMENTI SUR UN PRÉTENDU EMPLOI DÉLICTUEUX

Face à cette polémique, l’entourage de Cécilia Attias a corroboré les faits, précisant qu’elle aurait exercé la fonction d’assistante parlementaire durant une période de neuf mois après que Nicolas Sarkozy ait quitté l’Hémicycle.

Et de renchérir que cette fonction prise à temps partiel, pour peu qu’elle ait été bien rémunérée, préparait Cécilia Attias à une éventuelle carrière politique en tant que candidate à la mairie de Puteaux.

Quant à Me Rémi-Pierre Drai l’avocat de l’ancienne députée républicaine, il s’agissait d’un contrat de travail tout à fait normal, pour ceux qui en auraient encore un doute, ils n’auraient qu’à se porter partie civile, mais l’attente de six ans serait vraiment très longue.

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