5 conseils pour surmonter le chagrin, les drames ou les déceptions après 50 ans
On ne saurait pas traverser la vie sans rencontrer de graves difficultés, sans surmonter les drames. Et plus on vit longtemps, plus il devient difficile de vivre avec son chagrin. Voici quelques conseils qui peuvent vous permettre de traverser sereinement ces périodes difficiles.
La vie réserve de belles et agréables surprises, mais également des drames et de profondes déceptions. Si certains peuvent traverser ces périodes difficiles aisément, d’autres cependant se laissent emporter par eux, s’isolant dans leur coin et tournant le dos à leur entourage.
Chaque deuil est différent et il n’existe pas qu’une seule manière d’affronter la douleur qu’engendre la perte de l’être aimé. Cependant, quelle que soit l’ampleur de la douleur, elle peut être surmontée
Une femme regardant tristement par la fénêtre | source : Getty Images
L’ACCEPTATION
Pour dépasser le traumatisme subi, la première étape consiste à ne pas se voiler la face, à ne pas se dire que ce n’est pas arrivé. Il faut prendre sa douleur à bras-le-corps et se l’approprier, car fuir son chagrin ne fera que le rendre plus présent.
Survivre à une perte change forcément la personne qui a subi la perte. Et pour découvrir la personne que vous êtes amené à devenir, il ne faut pas refouler ce que l’on ressent, car ce sont sentiments qui forgent votre personnalité. Le chagrin finit toujours par vous rattraper.
LE DIALOGUE
Dans la majorité des cas, les personnes endeuillées ont tendance à garder pour eux ce qu’ils ressentent. Or, il important de mettre des mots sur ce que l’on ressent. N’hésitez pas à vous confier à votre famille, dites à vos amis l’étendue de votre souffrance.
Une femme regardant tristement par la fénêtre | source : Getty Images
Partager sa peine avec une personne en qui on a confiance permet de dépasser la phase dite de déni. Confiez-vous à une personne impartiale, qui n’est pas prompte à prendre parti, et surtout, qui sait parfaitement écouter. Vous serez plus facilement délivré de votre chagrin si vous pouvez en parler sans être interrompu.
LAISSER PARTIR SA DOULEUR
C’est plus facile à dire qu’à faire. La douleur prend parfois la forme d’une mer qui s’éloigne et qui reflue au gré de la marée. On e
ssaie par tous les moyens de visualiser ce que l’on aurait pu faire pour éviter le drame. À la recherche de l’aiguille qui expliquerait la perte, on tourne et retourne dans sa tête les événements.
Ce processus vous rend prisonnier de votre douleur et vous empêche d’avancer. Il faut se déculpabiliser et rester positif. Sortez, aérez-vous, trouvez de nouvelles activités. En bref, lâchez prise et changez-vous les idées.
Une femme contemplant tristement par la fénêtre | source : Getty Images
FAIRE UNE THÉRAPIE
Essayer de s’en sortir seul n’est pas forcément une bonne idée. La peine peut facilement se transformer en dépression et à ce moment-là, il faut consulter un thérapeute qui vous aidera dans le processus de deuil.
Un thérapeute pourra vous aider à surmonter les peurs, les angoisses qui se cachent derrière cet immense chagrin que vous ressentez. Il vous aidera également à changer votre perception des événements. Et pourquoi ne pas transformer la douleur de la perte en une force agissante.
REPRENDRE GOÛT À LA VIE
Lorsque la perte est encore récente, généralement, on se laisse gagner par un certain pessimisme et un sentiment d’isolation. Les personnes qui souffrent ne voient pas souvent les possibilités qui s'offrent à elles de revenir dans la société, elles se laissent enliser dans le malheur.
Une femme regardant tristement par la fénêtre | source : Getty Images
Et pourtant, il y a de la lumière au bout du tunnel. Quelle que soit la difficulté du moment, il faut se dire que cela finira par passer. Cependant, cela n’arrive pas si vous ne faites pas un geste pour aller vers les autres. Suivez à la lettre les conseils de votre thérapeute qui vous aideront à remonter la pente.
5 THÈSES QUI EXPLIQUENT LES DIFFICULTÉS DE LA VIE
La vie n'est pas une succession de moments paisibles. Certaines personnes souffrent plus que d'autres, mais qu'est-ce qui nous empêche d'être heureux ?