Un député en garde à vue à Bobigny : des intentions de s'ôter la vie soupçonnées

Coup dur à l’hémicycle de Bourbon ! En effet, le parlementaire Jean-Christophe Lagarde est victime d’une dépression. Sa famille inquiète pour sa vie, a alerté la police pour éviter une tentative de suicide. Zoom sur la garde à vue du député.

Le parlementaire broie du noir depuis quelque temps. En effet, il a été arrêté pour possession d’arme non déclarée. Selon les informations rapportées par Europe 1, Jean-Christophe Lagarde fait face à une dépression. Inquiets qu’il s’en prenne à sa vie, ses proches ont alerté la police, et ce dernier est une fois de plus admis en garde à vue.

UNE GARDE À VUE POUR UN BIEN

Jean-Christophe Lagarde, est depuis peu bien connu des services de police. En effet, le député de Seine-Saint-Denis a été arrêté par la police le mercredi 10 mars 2021.

Selon Europe 1, le parlementaire a été placé en garde à vue pour possession d’une arme non déclarée. Le service de police a été alerté par les proches du président de l'UDI qui sont dits inquiets pour la vie de ce dernier.

C’est vers 1 heure du matin qu’ils ont fait appel à la police pour leur confier que le représentant de Seine-Saint-Denis aurait voulu mettre un terme à sa vie et que l’homme de 53 ans serait en possession d’une arme.

Dépêchés rapidement sur les lieux, les forces de l’ordre, présents près du pavillon de Drancy du député, auraient alors entendu le son d’une détonation d’arme à feu.

UNE TENTATIVE DÉMENTIE

Bouleversés par le coup de feu, les policiers se sont rapidement dirigés vers l’endroit d’où provenait la détonation. Plus de peur que de mal, ces derniers ont trouvé le quinquagénaire sain et sauf, d’après les informations rapportées par Europe 1.

Retrouvé avec une arme de poing non déclarée en main, l’homme de 53 ans a inscrit en faux l’idée d’une tentative de suicide. Mais avec l’appui de ses proches, ils ont avoué que ce dernier traversait une période dépressive.

Dans le but d’éviter un drame, la police a préféré le garder en vue durant la nuit du 10 mars 2021, dans les locaux de la PJ de Bobigny, en Seine-Saint-Denis.

LES PREMIERS ÉLEMENTS DE L'ENQUÊTE DU MEURTRE D'ALISHA

Visiblement, l'hexagone a été tâché par plusieurs faits troublants durant la journée du mercredi 10 mars 2021. Bien avant la mise en garde à vue du parlementaire, les premiers éléments du décès tragique de la petite lycéenne de 14 ans d'Argenteuil ont été révélés.

Les enquêteurs ont fait étalage d'une possible théorie de la jalousie et de la rivalité amoureuse. Découvrez les détails de l'enquête.