Décès de Léo, 7 ans, en Savoie : ses grands-parents "détruits", selon le père de l’enfant
Le 11 juillet 2017 dans le Savoie, un petit garçon de 7 ans avait perdu la vie, percuté par un camion alors qu’il jouait dans une aire réservée à la détente.
Une scène d’horreur, pour les témoins des évènements du 11 juillet 2017 à La Plagne en Savoie. Léo, un garçon de 7 ans, a trouvé la mort, sous les roues d’un camion après qu’il soit parti passer de merveilleuses vacances avec ses grands-parents qui ne trouvent plus le sommeil.
UNE SCÈNE QUI HANTE À VIE
Vendredi 12 mars 2021, aura lieu devant la cour correctionnel d’Albertville, la suite du procès des 5 prévenus, poursuivis pour homicide involontaire sur la personne du petit Léo mort en 2017.
Jean-Claude Kolasinski était avec son petit-fils, quand les freins du camion ont lâché, il a empoigné Léo, pour le mettre à l’abri, mais dans leur course, ils vont glisser, à cause d’une pelouse mouillée, le camion va faire une déviation, et venir trouver le petit garçon, qui va mourir sur le coup.
Depuis ce jour, les grands-parents qui avaient recueilli leur petit-fils pour ses vacances sont "détruits" à cause des remords et pire encore son grand-père qui l’a tenu la main au moment de l’accident selon Thomas Kolasinsky, le père de Léo.
UNE FAMILLE QUI RÉCLAME JUSTICE
Claudine Kolasinsky, sait que son petit Léo ne pourra plus jamais lui revenir en vie. C’est pourquoi la jeune femme ne porte en elle, aucune colère encore moins de haine envers les prévenus dans l’affaire du décès de son fils Léo.
Mais par contre la mère de l’enfant, pas question qu’il n’ait qu’une seule personne qui paie pour ce drame quand il s’agit d’une hiérarchie de responsabilité.
On rappelle que sont poursuivis, l’office du tourisme, la société chargée d’organiser l’animation, son chef de projet, le directeur de l’office du tourisme et enfin le chauffeur de l’engin.
DÉCÈS DU PETIT TONY : SA MÈRE N’EST PAS ATTAQUÉ POUR COMPLICITÉ
Le petit Tony un petit garçon de 3 ans, avait été considéré comme un rival, par son beau-père qui lui faisait subir des traumatismes physiques, jusqu’à ce qu’il décède en novembre 2016. Dans cette affaire, le tribunal ne poursuit pas sa mère pour complicité mais pour non assistance.