Pascal Soetens parle de la vie actuelle de ses enfants et leur demande pardon, ému
Pascal Soetens a partagé un moment très émouvant dans les colonnes de Télé-Loisirs en se confiant sur ses deux enfants, tout en leur demandant pardon pour leur avoir fait du mal.
Invité pour le podcast "Parents d’abord", au cours duquel les parents se confient sur leur quotidien, Pascal Soetens a fait des révélations touchantes. L’animateur a avoué avoir fait du mal à ses enfants, et a tenu à s’excuser.
UNE ENTREVUE TOUCHANTE
Lors de cette entrevue intimiste, Pascal Soetens s’est confié comme jamais. Si l’animateur est toujours intervenu pour régler des problèmes de famille, il semble avoir souvent créé une sorte d’instabilité dans sa famille et tient à s’excuser.
Papa de deux fils, Pascal Soetens dit "Pascal le grand frère" est très fier de ses enfants. Toutefois, il tient à s’excuser auprès de ses enfants, car il a créé une instabilité dans sa famille avec la mère de ses enfants.
"Je voulais m'excuser de vous avoir fait du mal, parce qu'on s'est séparés avec la maman. Je sais que ça vous a blessé, ça vous a touché, ça vous a meurtri",
a-t-il confié.
DES SÉPARATIONS RÉPÉTITIVES
Pascal Soetens a eu deux fils : Luca (23 ans) et Enzo (22 ans). Toutefois, il avoue qu’il n’est pas un papa parfait, et est conscient du fait qu’avoir rompu à trois reprises (la première fois quand ses enfants n’avaient que 6 et 5 ans) avec leur maman a causé un cadre instable au sein de la famille.
Il tient à faire comprendre à ses enfants qu’il essaiera de se rattraper, et envoie un message à son ex-femme avec qui il tient à avoir de bons termes. Elle a toujours été présente pour les enfants, et Pascal a tenu à saluer cet amour.
JÉRÉMY BELLET : SON FILM TIRÉ D'UNE HISTOIRE VRAIE
Il n'a que 22 ans, et Jérémy Bellet a récemment finalisé son film qui pourrait toucher des millions de téléspectateurs, car tiré d'une histoire vraie. Dans ce film, où l'on retrouve Pascal Soetens, le jeune homme dénonce l’homophobie, les violences physiques et morales, mais aussi le racisme.
Jérémy Bellet