"Comme si on nous passait des menottes" : Sophie de Wessex sur les tabous de la ménopause
Sophie de Wessex, en une femme ouverte d’esprit, a décidé de parler de la menaupause. Un sujet que la société considère comme tabou.
Vendredi 21 mai 2021, Sophie de Wessex a été honorée d’un nouveau rôle. En effet l’épouse du prince Edward est la marraine royale de "Wellbeing of Women", une fondation pour le bien-être des femmes incluant la santé gynécologique. La mère de famille n’a pas attendu longtemps pour parler sans tabou de la ménopause sur Daily Mail.
COMME UNE EXPÉRIENCE NÉGATIVE
Dans le cadre des activités de la fondation, la comtesse de Wessex a participé à une discussion avec la présidente ainsi que de la fondatrice d’un site Web pour les femmes appelé Positive Menopause.
La comtesse Sophie de Wessex assiste à la cérémonie de mariage du prince Guillaume de Luxembourg et de la princesse Stéphanie de Luxembourg à la cathédrale de Notre-Dame de Luxembourg à Luxembourg. | Photo : Getty Images
"On discute toujours du fait d'avoir des enfants, mais personne n'aborde jamais le sujet des règles, personne ne parle de la ménopause, et pourquoi pas ?",
Âgée de 56 ans, la Comtesse a toujours reconnu, même en public, qu’elle n’est plus en âge fécond pour avoir d’enfants. Et pour elle, le fait qu’un jour une femme doit vieillir devrait être vu comme normal dans une société.
Sophie de Wessex. | Photo : Getty Images
Elle voudrait que la ménopause soit un sujet que tout le monde ose aborder, que ne plus avoir ses règles doit être vu comme une libération. Mais pour beaucoup de femmes, c’est tout à fait le contraire “C’est comme une entrave. Comme si on nous passait des menottes”.
UN PROBLÈME D'ÉDUCATIONS
Sophie de Wessex a surtout pointé du doigt les éducations données aux jeunes dans ce domaine. Car les jeunes filles sont informées sur le commencement de la puberté en ayant leurs règles, mais jamais sur quand cela va-t-il se se terminer.
Le comte et la comtesse de Wessex. | Photo : Getty Images
“Et puis d'un, soudainement, vous vous dites 'Mon dieu, que se passe-t-il, comment en suis-je arrivée là ?”,
Celle qui avait déjà tenté de s’émanciper de la famille royale britannique, maman d’une petite Louise de 17 ans, ne voudrait que cela ne prenne sa fille en surprise. Quelques jours plus tôt, Linda Hardy s’était elle aussi lancée dans le même combat en brisant le tabou pour cette étape tout à fait naturelle dans la vie d’une femme.
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