"C’est moi qui lui ai fermé les yeux" : Elle perdu sa fille de 12 ans lors d’un attentat
Le 14 juillet 2016, alors que la France commémorait sa fête nationale, Nice a été le théâtre d’un attentat sur la promenade des Anglais. Rendus à cinq ans après le drame, certaines mères de familles n’ont toujours pas pu tourner la page. Retour sur les confessions d’Anne Gourvès.
Amie était une jeune fille de 12 ans qui rêvait de bonheur et de grandir, mais le 14 juillet 2016, un assassin a mis un terme à ses jours lors de l’attentat de Nice. Sombrée dans le chaos de l’enfer, sa mère, Anne Gourvès s’est livrée à cœur ouvert sur ce tragique événement dans lles colonnes de ouest France.
UN 14 JUILLET NOIR
Si pour les Français en général, le 14 juillet représente la commémoration de la fête nationale, cependant pour les Niçois, cette date leurs rappellent une journée triste. En effet, en 2016, la promenade des Anglais était le théâtre d’un attentat le plus meurtrier de la région.
Cinq ans plus tard, la famille des victimes de cet attentat qui avait fait plus de 86 morts et 458 blessés, n’ont toujours pas tourné la page. C’est le cas d’Anne Gourvès, maman d’une fille de 12 ans qui a succombé sous les coups du terroriste.
Alors que son quotidien a pris un autre tournant depuis le décès de sa file, la mère de famille qui pendant plusieurs années a fui la presse, afin de faire son deuil, s’est lâchée à cœur ouvert sur sa nouvelle vie, et également sur le départ de sa fille.
UN TÉMOIGNAGE BOULEVERSANT
Anne est une maman submergée de tristesse. Impossible pour elle de passer un 14 juillet sans penser au décès de sa fille de 12 ans. Dans les colonnes du journal Ouest France, la mère de famille est revenue sur ce chaos.
Alors qu’elle était installée sur une colline, Anne n’a pas vécu l’horreur. Par contre Bouchra, la mère de Chérine était présente sur les lieux du drame. Et c’est celle-ci qui a alerté la maman de famille de la situation. Ne présentant pas de blessures graves, en dehors de quelques égratignures, Amie a malheureusement succombé.
"Elle n’était pourtant qu’égratignée. Comme après une chute de vélo. C’est moi qui lui ai fermé les yeux",
a confié Anne Gourvès dans les colonnes du quotidien Ouest France, d’un air triste et larmoyant.
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