Une femme riche apprend que sa fille de 10 ans se rend dans un bâtiment abandonné tous les jours après ses cours de dance - L'histoire du jour

Une femme riche est stupéfaite de découvrir ce que sa fille de 10 ans fait dans un bâtiment abandonné tous les jours après ses cours de danse.

Jessica Harding a donné à sa fille tout ce qu'elle voulait, d'un poney aux derniers appareils électroniques, mais la seule chose que Julia voulait vraiment, c'était un père. Jessica a dit à Julia que son père est mort avant sa naissance.

Derek Harding, a dit Jessica à Julia, était un homme aimant et gentil qui était heureux d'accueillir leur premier enfant jusqu'à ce qu'un accident fatal lui coûte la vie à l'âge de 32 ans. Ce que Julia ne sait pas, c'est que tout cela n'est qu'un mensonge.

La vérité est que Derek est parti en voyage d'affaires à Seattle et n'est jamais revenu. Jessica, alors enceinte de sept mois, avait conduit Derek à l'aéroport elle-même.

Même là, il avait semblé distant, trop silencieux, lui disant qu'il avait trop mal à la tête pour parler. Il est parti, son billet à la main, et il ne s'est pas retourné. Jessica ne l'a jamais revu.

Jessica était tombée dans une profonde dépression et seule la naissance de son bébé, deux mois plus tard, l'avait finalement tirée de cette spirale de désespoir dans laquelle elle se trouvait. Depuis, Julia est devenue le centre de tout son monde, et elle avait très tôt décidé qu'elle ne saurait rien de leur abandon.

Jessica a donc détruit toutes les photos et tous les souvenirs de Derek et n'a parlé de lui que rarement et en des termes très vagues, mettant l'accent sur sa gentillesse et sur le fait qu'il avait été sportif, un peu comme Julia.

Heureusement, la famille de Jessica était très riche et, quelques années avant d'épouser Derek, elle avait reçu un héritage substantiel qui lui permettait de subvenir somptueusement à ses besoins et à ceux de sa fille.

Tout ce que Julia voulait, Julia l'avait. Quand Julia voulait apprendre à monter à cheval, Jessica lui achetait un poney, quand elle voulait danser, elle l'inscrivait à l'école de ballet.

Même si Jessica gâte sa fille sans vergogne, Julia n'est pas gâtée. C'était une fille douce, aimante, et profondément empathique. Dès qu'elle a su marcher, elle a commencé à revenir de ses promenades avec sa nounou dans le parc avec des papillons et des chenilles "malades", et une fois un bébé oiseau.

Bref, Julia était une petite fille très gentille, et c’est justement sa gentillesse qui a provoqué une violente dispute avec sa mère. Julia assistait à ses cours de ballet le mardi et le jeudi, et c'était généralement le chauffeur qui allait la chercher.

Parfois, les blessures les plus terribles peuvent contenir le secret de leur propre guérison.

Après que Jessica a remarqué qu'ils arrivaient toujours avec près d'une heure de retard après le ballet et qu'elle avait réprimandé le chauffeur, celui-ci a avoué que c'était Julia qui rentrait toujours très tard, et avec des vêtements très sales.

Perplexe, Jessica a demandé à Julia ce qu'elle faisait après le ballet, mais sa fille s'est contentée de hausser les épaules et de marmonner vaguement. Alors, elle a décidé d'aller chercher Julia elle-même et de percer le mystère.

Le mardi suivant, Jessica était garée devant l'académie de danse et a vu toutes les filles en sortir - puis elle a remarqué que Julia passait furtivement devant la voiture, accroupie derrière la clôture.

Jessica est sortie de la voiture et a suivi sa fille. À son grand étonnement, Julia est entrée dans un bâtiment abandonné au bout du pâté de maisons. Jessica l’a suivie et l’a vue courir vers une silhouette assise dans l'ombre.

"Je suis là !", a crié Julia. "Je t'ai apporté des sandwichs au jambon et du lait au chocolat, et des chaussettes chaudes..." Au son de la voix de Julia, la silhouette a levé la tête, et Jessica avait eu l’impression de voir des yeux immenses dans un visage squelettique et ravagé.

"Julia !", a-t-elle crié. "Qu'est-ce que tu fais ? Reviens ici tout de suite !" Julia se retourne et regarde fixement sa mère. Dans sa frayeur, elle a laissé tomber les sandwichs et les autres objets qu'elle tenait dans ses mains.

"Maman !", souffle-t-elle. "Oh maman, c'est mon ami, et il a faim..." Mais Jessica avait rejoint Julia en quelques pas et avait attrapé son bras, puis l'entraînait à l'écart de cette effrayante silhouette.

Sur le chemin de la maison, Julia a entendu un long et furieux sermon sur le fait de se faufiler hors de l'école et de s'exposer au danger, en particulier de se retrouver seule avec des inconnus dans un bâtiment abandonné.

"Mais maman, ce n'est pas un étranger !", s'écrie Julia. "C'est mon ami depuis deux ans et il ne me ferait JAMAIS de mal !"

"Tu as eu de la chance, c'est tout !", s'écrie Jessica en colère. "Mais je veux que tu me promettes, Julia, que tu ne reverras JAMAIS, jamais cet homme !" Julia sanglote, mais elle promet, ce qui a quelque peu calmé sa mère.

Jessica savait que sa fille était une enfant honnête, et elle espérait que son bon cœur ne la conduirait pas à nouveau au danger. Les mois passent, et Jessica a fini par oublier l'incident avec le sans-abri, mais le destin n'en a pas encore fini avec elle.

Elle conduisait Julia à son récital de danse de fin d'année quand sa fille s'est mise à crier : "Arrête, maman, s'il te plaît, s'il te plaît, arrête !".

Jessica a arrêté la voiture et avant même qu'elle ait pu demander ce qui n'allait pas, Julia avait détaché sa ceinture, ouvert la portière et s'était précipitée hors du véhicule.

Jessica l'a vue à genoux à côté d'une silhouette allongée sur le trottoir, à moitié recouverte de neige. "Maman," s'écrie Julia, "c'est mon ami, et je crois qu'il est vraiment malade !".

Jessica est sortie de la voiture, et rejoint Julia, qui caressait doucement le front de l'homme inconscient, et pour la première fois, elle a vu son visage. "Derek !", s'exclame-t-elle. "Oh mon Dieu ! Ce n'est pas possible..."

Jessica a tâtonné pour trouver son téléphone portable et a appelé le 911, puis elle s'est agenouillée à côté de sa fille et a regardé cet étranger qui ressemblait à son mari. L'ambulance amène l'homme à l'hôpital, et Jessica et Julia le suivent dans leur voiture.

L'homme était dans le coma, lui ont dit les médecins, et ils ont été stupéfaits quand elle a identifié le vagabond comme étant son mari. "Il a disparu, il nous a abandonnés...", dit-elle avec amertume.

L'un des médecins a dit : "Madame, cet homme a une tumeur cérébrale avancée, qui a dû se propager au cours des dix à quinze dernières années. Votre mari souffrait-il de maux de tête et de pertes de mémoire ?"

Jessica acquiesce. "Il en souffrait ! Il était tellement distrait qu'il devait tout écrire, et il avait des migraines..."

"Alors", dit le médecin avec douceur, "il est probable qu'il ait simplement oublié qui il était et que vous existiez. La tumeur est bénigne, et si nous l'enlevons, il peut commencer à se souvenir..."

" Il... Il ne m'a pas abandonnée ? ", demanda Jessica, des larmes coulant sur ses joues. Le médecin secouait la tête " Non ", et Jessica attira sa fille dans ses bras. "Oh chérie", a-t-elle crié. "Tu as ramené ton papa à la maison !"

Plus tard, et beaucoup plus calme, Jessica a expliqué à Julia qui était cet homme, et pourquoi elle lui avait dit qu'il était mort. "Mais il ne l'était pas, tu vois, il a perdu la mémoire, et il nous a oublié !"

Deux semaines après son opération, l'homme ouvre les yeux et voit Jessica assise sur une chaise près de son lit. Il fronce les sourcils et semble perplexe. "Tu...", murmure-t-il. "J'ai rêvé de toi..."

Jessica prend la main de Derek dans la sienne. "Oh, mon chéri, ce n'est pas un rêve !", dit-elle en souriant.

Derek regarde sa main dans la sienne, puis son visage. "Jessica ?", chuchote-t-il. "Jessy, où est le bébé ?"

Bien sûr, ils ont raconté à Derek ce qui s'était passé et le temps qui s'était écoulé, mais le jour est finalement venu où il a eu sa fille dans ses bras.

Par un étrange coup du sort, Julia avait sorti son père, disparu depuis longtemps, du cauchemar dans lequel il vivait et l'avait ramené à la maison.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Parfois, les blessures les plus terribles peuvent contenir le secret de leur propre guérison. Jessica a été stupéfaite d'apprendre que son mari souffrait d'amnésie, et qu'il ne l'avait jamais abandonnée, elle ou leur enfant.
• La bonté peut être la main du destin. La nature douce de Julia l'a conduite à être gentille avec un sans-abri qui s'est avéré être son père perdu depuis longtemps.

Partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait illuminer leur journée et les inspirer.

Lire aussi : Des mois après avoir aidé un SDF qui a perdu la mémoire, une serveuse devient millionnaire : histoire du jour

Abonnez-vous à AmoMama sur Google News !