Un caissier paie les courses d'une vieille dame pauvre et est convoqué dans le bureau de son patron le lendemain - Histoire du jour

Une pauvre vieille dame n'avait pas d'argent pour payer ses courses. Un caissier a réglé ses factures, sans savoir qu'il serait convoqué par son patron le jour suivant.

"Il est 13h30... je dois me dépêcher de rentrer", soupire Tim en remettant le ticket de caisse à un client. "Je vais sauter le déjeuner parce que grand-mère doit m'attendre".

Le jeune homme de 21 ans était en deuxième année universitaire. Après avoir perdu ses parents dans un tragique accident de voiture lorsqu'il était enfant, Tim a trouvé son dernier recours chez sa grand-mère, Elsa, 65 ans.

Il travaillait comme caissier à temps partiel dans un supermarché local pour pouvoir payer ses frais de scolarité et les médicaments contre l'arthrite de sa grand-mère. Ce travail était donc quelque chose qu'il ne pouvait risquer à aucun prix...

"Au revoir, grand-mère, j'ai une prolongation de deux heures au magasin et ensuite, jirai en cours. Je serai un peu en retard, alors tu manges et tu dors, d'accord ?". Tim embrasse sa grand-mère et se dépêche de retourner au travail.

"Je sais ce que tu as fait hier, Tim. Je veux en parler", dit le patron.

Il a pédalé rapidement et s'est rendu à son lieu de travail, se mettant derrière le comptoir pour s'occuper des clients.

Parmi eux, se trouvait une vieille dame nommée Christine. Elle avait passé un long moment à errer dans les différentes allées, remplissant son chariot de nourriture et de produits pour bébé.

Tim s'est assis pour se reposer un peu après s'être occupé du dernier client de la file d'attente. Il entend un chariot rouler vers le comptoir.

"Laissez-moi vous aider", dit-il après avoir vu Christine avoir de la peine pour soulever un bidon d'huile.

Il a scanné les articles et a déchiré le billet, en le lui tendant.

"Madame, 120 $, carte ou espèces ?", a-t-il demandé.

Christine a répondu qu'elle n'avait pas de carte et elle a pris son portefeuille dans son sac à main. Tim a attendu pendant que la femme s'affairait à fouiller dans son sac, vérifiant anxieusement toutes les poches.

"Oh mon....", Christine s'exclama sous le choc, un regard de désespoir et d'embarras embrumant ses yeux.

"Qu'y a-t-il, madame ? Quelque chose ne va pas ?", demande Tim en voyant l'air perturbé sur son visage.

Christine déglutit et regarda autour d'elle pour voir si on l'observait. Elle craignait de se faire engueuler si elle disait qu'elle avait oublié son portefeuille.

"Fiston... Je n'ai pas d'argent. J'ai oublié mon portefeuille", a-t-elle reniflé timidement. "Je suis, je suis vraiment désolée... Je vais tout remettre sur les étagères. Je ne peux pas me permettre de les acheter maintenant".

Tim regarda son chariot qui était de provisions pour une semaine entière. Il y avait des couches pour bébé et de la nourriture pour bébé, ce qui indiquait qu'elle avait un petit-enfant à la maison.

"Pourriez-vous attendre ici deux minutes, madame ?", demande-t-il à Christine, qui semblait perplexe. Elle pensait que le caissier allait lui crier dessus pour lui avoir fait perdre son temps, mais la réponse de Tim l'a déconcertée.

"Oui, je vais attendre, fiston", dit-elle alors que Tim s'est empressé de sortir, cherchant quelque chose dans la poche de son pantalon.

Christine a attendu un peu plus de deux minutes. Le magasin commençait à se remplir de clients qui passaient devant elle et son chariot lourdement chargé qui se trouvait à proximité. Elle a fait semblant de ne pas exprimer son inquiétude et elle est restée calme, attendant le caissier.

"Je suis vraiment désolé de vous avoir fait attendre", a dit, tout essoufflé lorsqu'il est revenu. "Le guichet automatique était un peu bondé. J'ai dû faire la queue. Désolé, madame !".

Christine n'avait toujours aucune idée de ce dont il parlait. Elle pouvait sentir la chaleur de son visage qui commençait à rougir de confusion.

Tim est allé derrière le comptoir et a jeté une liasse de billets dans le tiroir, disant que ses factures étaient réglées et qu'elle pouvait prendre les provisions.

"Quoi ? Tu as payé mes courses ?", s'exclame Christine, les larmes aux yeux.

"Eh bien, oui, je l'ai fait ! J'ai une grand-mère comme vous, et je n'avais pas le cœur de vous renvoyer les mains vides", dit Tim, ajoutant d'autres nuances de joie aux yeux larmoyants de la femme.

"J'aurais pu payer avec ma carte, mais je voulais vérifier s'il me restait du liquide. J'ai retiré l'argent à la place. Dans tous les cas, je suis heureux d'avoir pu vous aider, madame".

Touchée par l'aide du gentil caissier, Christine a pris ses courses et s'est éloignée en essuyant ses larmes. Pendant ce temps, Tim est retourné s'occuper de ses clients, pensant qu'il ne reverrait jamais la dame. Mais le destin a d'autres plans. Dès le lendemain, il a été convoqué dans le bureau de son patron.

"Tim, jeune homme, entrez, s'il vous plaît", entend-il de la voix rauque de son patron, Andrew, lorsqu'il frappa à la porte vitrée.

Il était nerveux. Il n'avait jamais entendu Andrew avoir l'air si sévère auparavant.

"Je sais ce que vous avez fait hier, Tim. Je veux en parler", a dit le patron.

À ce moment-là, l'anxiété a fait son apparition et la peur a envahi le ventre de Tim. Cela n'a fait qu'empirer après avoir vu Christine aux côtés d'Andrew.

"Je suis désolé, mais j'essayais juste d'aider...", a dit Tim en bégayant.

"Une seconde, jeune homme", a ajouté Andrew. "Notre cliente Mme Williams est venue ici avec une nouvelle vous concernant".

Tim avait une vague idée de la tournure que prenaient les événements, et son cœur s'est mis à battre plus vite.

"Mme Williams vient de me dire que nous avons un employé avec un grand et gentil cœur !", a déclaré Andrew. L'anxiété de Tim a baissé lorsqu'il a regardé la femme âgée.

"Elle veut que je remercie ce gentil jeune homme... Alors, Tim, mon garçon, tu n'as plus à travailler derrière le comptoir. Tu es le nouveau manager du magasin... Et prends ceci, c'est ton remboursement pour avoir payé les courses de Mme Williams !".

Les larmes se sont mises à couler sur les joues de Tim. "Merci, merci beaucoup, monsieur", bégayait-il de joie. "Merci, Mme Williams".

"Eh bien, je devrais te remercier d'être un jeune homme si gentil. Je suis sûr que tu feras de grandes choses dans la vie avec cette humilité. Bien joué, Tim !", a dit Andrew en tapant sur l'épaule du jeune homme.

Quelques jours plus tard, Christine se rend au supermarché, n'oubliant pas d'apporter son portefeuille cette fois. Cependant, elle ne voyait plus Tim derrière le comptoir de facturation et fut heureuse de le voir donner des instructions au personnel.

"Que Dieu vous bénisse !", dit-elle de loin, en regardant le jeune homme prospère, mais humble, faire son travail.

Tim n'a plus jamais eu de difficultés à partir de ce tournant, et il a pu payer ses études et le traitement de sa grand-mère. Il a atteint de grands sommets grâce à son travail acharné, et il continuait d'aider les personnes âgées dès qu'il le pouvait !

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Nous ne devons pas hésiter à aider les personnes âgées. Lorsque Tim s'est rendu compte que Christine avait oublié son portefeuille, il a payé ses courses. Il n'a pas froncé les sourcils et ne l'a pas renvoyée les mains vides.
• La gentillesse et l'altruisme sont toujours récompensés. Après avoir appris que son employé avait payé les courses d'une femme âgée sans défense, Andrew l'a promu et lui a remboursé son argent. La compassion et l'attitude désintéressée de Tim lui ont permis d'obtenir un meilleur emploi et de commencer un brillant avenir.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec de véritables noms ou lieux est une pure coïncidence. Toutes les images sont utilisées uniquement à des fins d'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, envoyez-nous un mail à info@amomama.com.