Tout le monde se moque de la pauvre femme âgée qui entre dans un restaurant chic, jusqu'à ce qu'un jeune homme intervienne - Histoire du jour

Une femme pauvre demande à acheter une part de tarte dans un restaurant gastronomique et fait l'objet de moqueries, mais un homme prend sa défense et leur donne à tous une leçon d'humilité.

Pierre, le maître d'hôtel du restaurant gastronomique le plus exclusif du New Hampshire, Chez Michel, était stupéfait. Une petite femme mince d'une soixantaine d'années venait d'entrer et de faire la plus incroyable des demandes.

Pierre l’a regardée de haut et a ricané. "Je suis désolé madame, nous ne prenons pas de clients sans rendez-vous, jamais...".

"S'il vous plaît", a-t-elle dit à voix basse, tandis que les élégants clients du restaurant la regardaient de travers et ricanaient derrière leurs mains. "C'est une circonstance spéciale. Vous ne pouvez pas faire une exception ?"

Pierre s’est redressé. "Pas d'exception !", a-t-il dit froidement. "Nous le devons à nos clients ! Maintenant, partez, s'il vous plaît, madame. Vous dérangez nos invités et je peux vous dire que je n'ai plus de tables disponibles."

La femme a regardé autour d'elle et a remarqué trois ou quatre tables vides. Elle a ensuite regardé Pierre dans les yeux : "Je ne veux pas m'asseoir à l'une de vos tables et je ne veux pas déranger vos ‘invités’, je veux juste acheter une part de tarte."

"Je crains que nous ne servions de la nourriture que sur place, nous ne faisons pas de vente à emporter".

"S'il vous plaît", a supplié la femme âgée, les larmes aux yeux, "Tout ce que je veux, c'est une part de tarte aux cerises - j'ai treize dollars, ça devrait suffire ?"

Le serveur s’est retroussé les lèvres en signe de dédain. "J'ai bien peur que non, madame. Tous nos desserts coûtent plus de 50 dollars la portion", a-t-il dit froidement.

La femme se détourna, vaincue, et se dirigea vers la porte, des larmes coulant sur son visage. Alors qu'elle passait devant une table, un homme s’est levé et s'est approché d'elle. "Excusez-moi", a-t-il dit gentiment. "Qu'est-ce que vous vouliez ?"

La seule chose que l'argent ne peut pas acheter, c'est la santé ou un seul jour de vie.

Il a conduit la femme âgée jusqu'à la table qu'il partagait avec une jolie femme aux yeux tristes et l'a invitée à s'asseoir. "Je vous en prie", a-t-il dit. "Je suis Marc Langley et voici ma femme Hailey, et nous voulons vous aider".

La femme âgée s’est présentée. "Je suis Karen Billings et tout ce que je voulais, c'était acheter une part de la fameuse tarte aux cerises de Chez Michel. Vous voyez, ma petite-fille et moi avions l'habitude de passer devant et je lui disais 'Chez Michel a la meilleure tarte aux cerises du monde' - je l'ai vu dans un magazine de luxe - et 'un jour, nous entrerons et nous en prendrons une part !'"

"Oh !", s'est écriée Hailey. "La tarte aux cerises était le plat préféré de notre fils Graham !"

Karen a souri, mais ses yeux étaient remplis de larmes. "Ma douce fille se bat contre la leucémie depuis trois ans et les médecins disent qu'ils ne peuvent plus rien faire... Mais il y a quelque chose que je peux faire : Je peux faire en sorte que chaque jour compte, que ses souhaits se réalisent, et elle voulait une part de cette tarte aux cerises spéciale !"

Marc a eu les larmes aux yeux et a pris la main de Karen. "Karen, notre petit garçon est décédé il y a treize ans aujourd'hui, et nous sommes venus ici pour l'honorer avec une part de sa tarte préférée. Je pense que nous pouvons réaliser le souhait de votre petite-fille !"

Marc a appelé le maître d'hôtel. "Pierre", a-t-il dit d'une voix tranchante. "Dois-je comprendre que vous avez refusé de vendre à cette dame une part de tarte aux cerises ? "

"Monsieur", a dit Pierre en s'excusant. "Vous devez comprendre que nous ne servons que nos clients..."

"Bien sûr !", a dit Marc avec douceur. "Et moi, je suis un client précieux ?"

"En effet, monsieur ! L'un de nos plus anciens et meilleurs clients...", s'est exclamé Pierre.

"Dans ce cas, allez dans la cuisine et demandez au chef de nous préparer sa meilleure tarte aux cerises à emporter", a dit Marc.

Pierre avait l'air contrarié, mais il s’est dirigé vers la cuisine et est revenu un peu plus tard avec la nouvelle que la tarte sera prête dans une demi-heure.

"La dame..." a dit Pierre en faisant un geste vers Karen. "Elle reste ?"

"Oui", a répondu Marc. "C'est une amie très chère et une invitée". Marc a regardé les autres clients du restaurant qui faisaient de leur mieux pour écouter ce qui se passait.

Il a élevé la voix et a dit : "Mesdames et messieurs, puisque vous étiez tous si désireux de rire de cette dame et que vous êtes si curieux de ce qui ne vous regarde pas, permettez-moi de vous le dire :

"La petite-fille de Karen est atteinte d'une leucémie en phase terminale, tout comme notre fils. Vous voyez, vous pouvez avoir tout l'argent du monde, mais il y a certaines choses que l'argent ne peut pas acheter, et c'est la santé d'un enfant bien-aimé.

"Tout ce que Karen voulait, c'était une part de tarte aux cerises pour sa petite-fille, sa dernière volonté. C'est drôle ? Vous avez encore envie de rire ?"

Tout le monde était silencieux et on aurait pu entendre une épingle tomber. Tout autour de la salle élégamment décorée, les visages se détournaient, honteux, et Pierre avait les larmes aux yeux.

Il a apporté une jolie boîte décorée à Karen et la lui a tendue. "Avec les compliments du chef, madame", a-t-il dit. "Pardonnez-moi et sachez que vous serez toujours la bienvenue chez Michel."

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Ne jugez pas les gens sur leur apparence ou leur statut. Pierre et les invités snobs ont commencé à rire parce que Karen était pauvre et ne pouvait pas s'offrir une part de tarte.
• La seule chose que l'argent ne peut pas acheter, c'est la santé ou un seul jour de vie. Marc et sa femme étaient riches, mais ils ne pouvaient pas faire plus pour leur fils que ce que Karen faisait pour sa petite-fille.

Partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait égayer leur journée et les inspirer.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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