Une femme âgée interdit à son beau-fils de venir à ses funérailles, il vient quand même et la voit ouvrir les yeux dans le cercueil — Histoire du jour

Une femme âgée laisse dans son testament des conditions bizarres concernant les modalités de ses funérailles, dont l'interdiction pour son gendre d'y assister. Cependant, par amour pour elle, il y assiste quand même et est surpris lorsque ses yeux s'ouvrent pendant la cérémonie.

Patricia Gordon était une femme de 85 ans à qui son mari a légué une grande fortune après sa mort, de sorte qu'elle n'a pas à s'inquiéter de quoi que ce soit. Le seul souci de Patricia était son gendre, Jack.

Patricia méprisait Jack parce qu'il était pauvre et qu'il nettoyait un parking pour gagner sa vie. Pour la même raison, elle s'opposait à ce qu'il épouse sa fille. Mais Kathy Gordon était follement amoureuse de Jack, et Patricia a fini par céder.

Au fil des ans, Patricia n'a jamais adouci son cœur pour Jack, même s'il l'adorait. Un jour, pour l'anniversaire de Patricia, il lui a offert des fleurs et une carte de vœux, mais Patricia l'a jetées devant lui.

"Je sais que tu as empoisonné ces fleurs", s’est-elle exclamée. "Je vais les sentir et mourir, et tu vas recevoir mon argent ! C'est ce que tu veux !"

Kathy a tenté d'expliquer à Patricia que Jack n'avait pas de telles intentions, mais elle ne voulait rien entendre. "C'est ce qu'il veut, petite idiote", a-t-elle poursuivi, furieuse. "Tu ne vois pas qu'il veut mon argent ?"

"Mme Gordon...", a chuchoté Jack, les larmes aux yeux. "Je ne ferais jamais ça... Vous vous trompez !"

Mais Patricia ne voulait rien entendre. "Tais-toi et va te faire voir", lui a-t-elle crié.

Jack était blessé par les paroles de Patricia, mais il ne lui a rien dit. Il a ramassé les fleurs et est rentré chez lui, et Kathy l'a suivi.

Plusieurs semaines se sont écoulées avant que Patricia n'appelle Kathy pour lui dire que sa santé s’est détériorée et qu'elle craignait de mourir bientôt. "Il se peut que je ne serait plus ici bientôt, Kathy, mais j'ai quelque chose à te dire", lui a-t-elle dit.

"Maman, tout ira bien ! Tu n'iras nulle part !", a dit Patricia gentiment. "Tu ne devrais pas parler comme ça !"

"Non, chérie, écoute", a-t-elle insisté. "Je veux que tu saches que j'ai laissé mon testament à mon avocat, M. Berenson. Et assure-toi que ton mari ne soit pas là pour mes funérailles ! Je ne veux pas de cet homme près de moi !".

"Maman, il faut que tu arrêtes !", lui a dit Kathy, irritée. "Jack n'est pas ce que tu crois !"

"Ma décision est définitive, et je ne la changerai à aucun prix ! Si cet homme est près de moi pendant mes derniers sacrements, mon âme ne sera jamais en paix après la mort !", a hurlé Patricia et a raccroché.

Kathy a soupiré et a secoué la tête, fatiguée d'entendre sa mère critiquer Jack. Elle a prié pour ne pas avoir à supporter les attentes ridicules de sa mère et à voir Jack souffrir à nouveau à cause de ses paroles.

Cependant, le personnel de Patricia l'a informée quelques jours plus tard que Patricia était partie pour sa demeure céleste. Elle a dit à Kathy qu'ils s'étaient déjà occupés de l'organisation des funérailles de Patricia et qu'elle n'avait plus qu'à venir rendre hommage à sa défunte mère.

Kathy s’est souvenue de ce que sa mère lui a dit au sujet de Jack et, bien que cela l’a fait de la peine, elle ne pouvait pas aller à l'encontre de la dernière volonté de sa mère et a dit à Jack qu'il n'était pas invité à ses funérailles. Mais malgré ses objections, Jack a insisté pour y aller. Il voulait dire au revoir à Patricia en personne.

Kathy a essayé de l'en empêcher, mais il n'a pas voulu l'écouter. Lorsqu'ils sont arrivés à l'enterrement, Jack a été surpris de voir que Patricia n'a pas été embaumée. Il s'en est enquis auprès du personnel, qui lui a répondu que cela avait été spécifié dans son testament.

"C'est étrange", s’est-il dit, en allant se recueillir.

Bientôt, d'autres membres de la famille se sont rassemblés, dont M. Berenson, qui a annoncé que, selon le testament de Patricia, elle souhaitait que ses biens soient partagés devant les membres de sa famille avant son enterrement. En l'honorant, il a ainsi révélé :

"Mme Patricia Gordon va faire don de toute sa fortune à un refuge pour animaux, laissant 2000 dollars à sa fille. Rien ne suit".

Lorsque Henry, le beau-frère de Patricia, l’a appris, il était furieux. "Comment peut-elle ne rien laisser à sa seule sœur, qui était si proche d'elle ? Elle répétait sans cesse à ma femme que c'était elle qu'elle aimait le plus. Cette vieille sorcière nous a dupés ! Quelle idiote !"

"Je sais, c'est vrai !", a ajouté sa femme, Johanne. "Je n'aurais jamais dû m'intéresser à elle !"

"Oh, elle m'a fait perdre tellement de temps ! À ce rythme, ça ne m'aurait pas dérangé qu'elle meure plus tôt ! Il vaut mieux qu'elle soit morte. Femme inutile !", s’est écrié Henry en se retournant pour s'éloigner, mais Jack a attrapé son bras.

"Désolé de vous interrompre, monsieur", a-t-il dit. "Mais vous devez vous excuser auprès de Mme Gordon."

"Excusez-moi ?!" Henry lui a jeté un regard noir en lui retirant la main. "Vous ne voyez pas qu'elle vous a trompé vous aussi ! Vous êtes son soi-disant gendre, et pourtant elle ne vous a pas laissé un centime... Huh !", a-t-il dit en riant.

Jack lui a souri. "Cela ne me dérange pas qu'elle ne m'ait rien laissé, monsieur. Même si elle était ma belle-mère, je l'ai traitée comme une mère. Monsieur, je suis orphelin... Chaque fois qu'elle me grondait, je ne me sentais pas mal à l'aise."

"Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, monsieur, mais lorsque les gens vieillissent, ils ont peur d'être laissés seuls et, comme ils ne peuvent pas l'exprimer à voix haute, ils s'en prennent à vous en devenant parfois méchants et grincheux."

"Maintenant qu'elle n'est plus parmi nous, nous devrions prier pour que son âme repose en paix et ne pas nous disputer pour des choses insignifiantes comme l'argent... C'était une personne gentille qui méritait d'être respectée ! Je suis désolé, Mme Gordon", a dit Jack en se tournant vers elle, "Je m'excuse pour...." mais il s’est arrêté brusquement en remarquant quelque chose d'étrange.

"MRS. GORDON !", s'est-il exprimé soudain. "Ses yeux... Ses yeux sont ouverts !", s’est-il écrié en reculant d'un pas du cercueil, horrifié de voir sa belle-mère ouvrir les yeux.

Bientôt, Patricia s’est levée du cercueil et s’est tenue debout devant tout le monde.

"Mme Gordon... vous...." Avant que Jack ne puisse dire quoi que ce soit, elle s'est approchée de lui et l'a serré dans ses bras. "Peux-tu me pardonner d'avoir été cruelle envers toi, Jack ? Je suis désolée de ne pas m'être rendu compte que j'avais un diamant dans ma maison et de l'avoir rejeté comme du charbon. Je suis toujours en vie, mon cher ! Très vivante."

Patricia a expliqué que tout n'était qu'une ruse pour lui permettre de choisir son héritier. Jack a non seulement réussi le test, mais il a aussi conquis son cœur car, contrairement à d’autres membres de sa famille cupides, il l'appréciait et la respectait.

"Je m'attendais à ce qu'il abandonne Kathy dès qu'il se rendrait compte que je ne lui avais rien laissé. Je ne l'ai jamais aimé parce que je pensais qu'il avait épousé ma fille pour son argent. Mais il m'a prouvé que j'avais tort ! Je m'excuse auprès de lui devant tout le monde".

"Oh, Mme Gordon, vous n'avez pas à le faire... C'est bon", a murmuré Jack en lui rendant son étreinte.

À partir de ce jour, Mme Gordon se mit à aimer Jack comme s'il était son propre fils et a renoncé à la haine qu'elle éprouvait pour lui. Elle a également modifié son testament, répartissant ses biens à parts égales entre un refuge pour animaux et Kathy et Jack. Mais le plus beau, c'est qu'elle a vécu heureuse pendant de nombreuses années encore avec sa fille et son gendre.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Ne jamais juger les gens en fonction de leur statut et de leur apparence. Patricia n'aimait pas Jack parce qu'il était pauvre, mais elle s'est rendu compte qu'elle avait tort.
• Les personnes âgées ont besoin d'amour et d'attention ; il ne faut pas prendre à cœur le fait qu'elles soient parfois un peu grincheuses. Comme le pensait Jack, Patricia n'était pas une mauvaise personne au fond. C'était juste une vieille femme qui s'inquiétait du fait que l'homme dans la vie de sa fille était un croqueuse de diamant, et c'est pour cela qu'elle était agacée par lui.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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