La femme de mon patron m'a envoyé un mystérieux courriel dont le contenu m'a choqué

Un soir, au bureau, Mike a reçu un mystérieux courriel. La curiosité le piquant, il l'ouvre et une vague de choc le frappe lorsqu'il voit une série de photos qui lui font froid dans le dos. Son univers a basculé en une seconde, et tout ce qu'il croyait savoir de sa vie lui est apparu comme un mensonge.

Je ne m'attendais pas à ce que ma vie change avec un simple texto.

Il était tard et le bureau était étrangement calme. Je terminais le rapport mensuel sous la lumière vacillante dans mon bureau quand soudain, mon téléphone a sonné, me tirant de ma transe de travail.

"Vérifiez votre e-mail, il faut que vous voyez ça !", pouvait-on lire sur le message d'un numéro inconnu.

Mon cœur a battu la chamade. De quoi s'agit-il ? me suis-je demandé.

Avec curiosité et anxiété, j'ai ouvert mon courrier électronique.

Et elles étaient là. Quinze photos. J'ai cliqué sur la première, et mon monde a commencé à s'écrouler.

On y voyait Catherine, ma femme, en compagnie de mon patron. Ils étaient au restaurant, en train de rire autour d'un dîner. J'ai cliqué sur la photo suivante, et il s'agissait d'eux dans une voiture ensemble.

Mon cœur s'est serré lorsque j'ai cliqué sur d'autres photos : ils se faisaient des câlins, s'embrassaient, entraient dans un hôtel. La dernière photo les montrait au lit ensemble. Mes mains tremblaient. Je n'arrivais pas à croire ce que je voyais.

"Qui enverrait ça ?", ai-je murmuré en jetant un coup d'œil dans le bureau vide. J'étais choqué et furieux.

Catherine et moi travaillons pour une entreprise de logistique. Elle occupe un poste de premier plan, et je suis encore junior. Notre patron la respecte et l'apprécie beaucoup, et je me suis demandé si c'était pour cette raison.

À ce moment-là, Catherine était en voyage d'affaires avec lui, et je ne pouvais pas m'empêcher de soupçonner que tout cela n'était qu'un mensonge pour couvrir sa liaison.

Soudain, mon téléphone a de nouveau sonné. "Il faut qu'on parle", m'a envoyé le même numéro inconnu.

J'ai regardé fixement le message, l'esprit en ébullition. De qui s'agit-il ? Comment ont-ils obtenu ces photos ? Et pourquoi me les envoyaient-ils ?

Je me suis penché en arrière sur ma chaise, essayant de stabiliser ma respiration. Le silence qui régnait dans le bureau me paraissait oppressant. Il fallait que je trouve une solution.

J'ai rapidement tapé une réponse : "Qui êtes-vous ? Pourquoi avez-vous envoyé ces photos ?"

Après avoir appuyé sur envoyer, j'ai attendu, les yeux rivés sur l'écran. Les secondes m'ont semblé des heures. J'ai repensé à toutes les interactions que j'avais eues avec Catherine et mon patron.

Y a-t-il des signes que j'ai manqués ? La promotion de Catherine était-elle le résultat de sa liaison avec notre patron ?

Mon téléphone a de nouveau sonné.

Mon cœur a battu la chamade lorsque j'ai ouvert le message : "Retrouvez-moi chez votre patron. Vous devez connaître la vérité."

Je me suis levé et j'ai attrapé mon manteau.

Je devais savoir ce qui se passait.

Le trajet jusqu'à la maison de mon patron m'a semblé durer une éternité, même s'il n'était qu'à l'autre bout de la ville. La colère et la trahison brûlaient en moi, me faisant serrer le volant.

Comment Catherine a-t-elle pu me faire ça ?

Quand je suis arrivé, la maison semblait sombre, à l'exception d'une lumière dans la cuisine. Je me suis garé et j'ai marché jusqu'à la porte, sentant mon pouls dans mes oreilles. J'ai frappé, et la porte s'est ouverte presque immédiatement.

"Mike, entrez", a dit une femme. C'était la femme de mon patron. Elle avait l'air inquiète, mais il y avait un soupçon d'autre chose dans ses yeux.

"Merci", ai-je marmonné en entrant. Elle m'a conduit à la cuisine, où nous nous sommes assis à une petite table.

"Pourquoi avez-vous envoyé ces photos ?", ai-je demandé, en essayant de garder une voix stable.

Elle a soupiré et s'est servi deux verres de vin. "Je soupçonnais mon mari de me tromper avec Catherine depuis environ un mois. J'ai engagé un détective privé pour les suivre. Je suis désolée que vous ayez dû voir ça."

J'ai pris le verre qu'elle m'offrait et l'ai bu d'un trait. Le vin était fort et me brûlait la gorge. Elle m'en a servi un autre.

"J'avais besoin de savoir", ai-je dit, me sentant pathétique face à la situation. "Mais pourquoi me le dire maintenant ?"

Elle m'a regardé, les yeux tristes. "Je pensais que vous méritiez de connaître la vérité. Nous méritons tous les deux mieux que ça."

Nous avons continué à parler et à boire. Ma colère et ma confusion s'estompaient à chaque verre de vin.

Elle m'écoutait déblatérer sur la trahison, hochant la tête avec sympathie, et je ressentais une étrange connexion avec elle.

À un moment donné, l'alcool a eu raison de moi. Mes pensées étaient floues et je n'avais plus de jugement. Elle s'est rapprochée de moi et m'a touché le bras.

"Vous n'êtes pas seul dans cette situation, Mike", a-t-elle chuchoté. Et je n'ai pas su ce qui s'est passé l'instant d'après.

Avant que je m'en rende compte, nous étions dans sa chambre.

Le lendemain matin, la lumière du soleil a traversé les rideaux, me réveillant.

Ma tête me faisait mal et je me sentais désorientée. En ouvrant les yeux, j'ai réalisé ce que j'avais fait.

La panique m'a envahi alors que les souvenirs de la nuit dernière remontaient à la surface.

Je me suis redressé rapidement, regrettant chaque décision qui m'avait conduit ici. La femme de mon patron était allongée à côté de moi, le sourire aux lèvres. Elle avait l'air trop satisfaite d'elle-même.

"Bonjour, Mike", dit-elle en s'étirant paresseusement. "On dirait que tu as vu un fantôme".

"Qu'est-ce que j'ai fait ?", ai-je chuchoté, sentant une vague de nausée me frapper. "C'était une erreur !"

Son sourire s'est élargi. "Oh, ce n'était pas une erreur. Je me suis bien amusée. N'est-ce pas ?"

Je me suis levé, attrapant mes vêtements, ayant besoin d'échapper à ce cauchemar. "Tu as envoyé ces photos", dis-je, la voix tremblante. "Pourquoi ?"

Elle s'est redressée, son sourire est devenu froid. "J'ai truqué les photos. J'avais besoin d'un peu d'excitation pendant que mon mari était absent. Tu étais le pion parfait."

Mon sang s'est glacé. "Tu t'es servie de moi", ai-je dit, réalisant la profondeur de sa tromperie. "Et Catherine... elle ne me trompe pas ?"

"Non, elle ne te trompe pas", a-t-elle confirmé, ses yeux brillant de malice. "Mais si tu parles de ça à qui que ce soit, tu perdras ton travail, et bien sûr, ta douce épouse sera sans emploi elle aussi. Tu comprends ?"

Mon cœur s'est effondré. Le poids de ce que j'avais fait m'écrasait. Je me suis habillé rapidement, ne voulant plus être en sa présence. "Tu es diabolique", ai-je marmonné en me dirigeant vers la porte.

"N'oublie pas, Mike", m'a-t-elle dit. "Garde ta bouche fermée !"

Je suis rentré chez moi en voiture, l'esprit en ébullition.

Je devais dire la vérité à Catherine. Je ne pouvais pas vivre avec ce secret, et elle méritait de savoir. Peu importe les conséquences, je lui devais l'honnêteté.

Je me suis assis sur le canapé, fixant la porte, rongé par la culpabilité. Mon esprit repassait en boucle les événements de la nuit dernière. J'avais l'impression d'être sur le point de m'effondrer. Catherine allait rentrer d'une minute à l'autre et je devais lui dire la vérité.

Le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvrait m'a sorti de mes pensées. "Mike, je suis là !" Catherine a appelé, la voix pleine de joie. Elle est entrée dans le salon avec un grand sourire.

Elle a laissé tomber son sac et s'est précipitée pour me serrer dans ses bras.

"Tu m'as tellement manqué", dit-elle en m'entourant de ses bras.

La chaleur de son étreinte m'a fait me sentir encore plus mal. Comment ai-je pu la trahir ?

"Tu m'as manqué aussi", ai-je réussi à dire, la voix tremblante.

Je lui ai rendu son étreinte, la serrant un peu plus fort, sachant que ce que je m'apprêtais à faire allait tout changer.

Catherine s'est légèrement écartée, me regardant dans les yeux. "Qu'est-ce qui ne va pas, Mike ?", demanda-t-elle, son sourire s'effaçant lorsqu'elle remarqua ma détresse. "Tu as l'air si tendu."

J'ai pris une grande inspiration, sentant le poids de la vérité peser sur moi. "Catherine, il faut qu'on parle", ai-je dit, ma voix dépassant à peine un murmure.

Son expression est devenue sérieuse, l'inquiétude remplissant ses yeux. "Qu'est-ce qui s'est passé ?", demanda-t-elle en s'asseyant à côté de moi. Elle m'a pris la main et l'a serrée pour me rassurer.

J'ai pris une grande inspiration et j'ai commencé. "Catherine, il faut que je te dise tout", ai-je dit, la voix tremblante. "Tout a commencé par un texto provenant d'un numéro inconnu. Ils m'ont dit de vérifier mon e-mail, et quand je l'ai fait, il y avait des photos de toi et de notre patron..."

Les yeux de Catherine se sont écarquillés, mais elle est restée silencieuse, attendant que je continue.

"Les photos vous montraient tous les deux ensemble - au restaurant, dans une voiture, entrant dans un hôtel, et... au lit", ai-je dit, la voix brisée. "J'étais tellement blessé et en colère. Je n'avais pas les idées claires.

"Je suis allé voir la femme du patron. Nous avons bu, et j'étais si mal en point... J'ai fait une terrible erreur."

Les larmes ont envahi les yeux de Catherine.

"Mike, pourquoi n'es-tu pas venu me voir d'abord ?", demanda-t-elle, la voix tremblante. "Pourquoi as-tu cru ces photos sans m'en parler ?".

"J'étais aveuglé par la colère et la jalousie", ai-je admis. "J'aurais dû te faire confiance. J'aurais dû te parler. Je suis vraiment désolé, Catherine. Je t'aime plus que tout. Je te respecte et je regrette ce que j'ai fait."

Catherine a détourné le regard, des larmes coulant sur ses joues. J'ai senti mon cœur se briser, sachant que je lui avais causé cette douleur. Mais elle s'est ensuite retournée vers moi, ses yeux s'adoucissant.

"Mike, je... Je te pardonne", dit-elle, la voix tremblante. "Mais il va falloir du temps pour guérir."

Le soulagement m'a envahi, et j'ai attrapé sa main. "Je te promets, Catherine, que je ferai tout ce qu'il faut pour que les choses s'arrangent".

Elle a acquiescé, serrant ma main. "Nous allons nous en sortir, Mike. Ensemble. Et nous devons dénoncer cette femme pour ce qu'elle a fait."

Finalement, mon patron ne m'a pas renvoyé, mais il a divorcé de sa femme quand il a découvert la vérité. Catherine et moi avions suffisamment de preuves.

Malgré la trahison, Catherine et moi avons commencé à reconstruire notre relation, plus forte et plus honnête qu'avant. Et nous sommes heureux et ensemble.

Qu'auriez-vous fait ?

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