J'ai transféré 24 000 dollars à ma fille pour ses frais de scolarité, mais j'ai découvert qu'elle ne s'était jamais inscrite à l'université - Ce qu'elle a fait avec cet argent m'a fait pâlir

Depuis la naissance d'Angela, Caroline économise pour financer ses études. Mais lorsqu'une de ses camarades de classe lui révèle qu'elle n'est pas inscrite à l'université, Caroline est amenée à découvrir ce que fait sa fille et à quoi elle a dépensé l'argent.

Les enfants vous briseront toujours le cœur. C'est quelque chose que j'ai appris à mes dépens après avoir fait entièrement confiance à ma fille, Angela.

Depuis la naissance d'Angela, j'ai économisé pour son université. J'avais besoin de savoir qu'indépendamment de ce que la vie me réservait, je serais en mesure d'éduquer mon enfant.

"Je pense que tu peux attendre qu'elle soit un peu plus âgée", m'a dit mon mari, Holden. "Nous pouvons le faire ensemble."

"Tu pourras compléter son fonds pour l'université plus tard", ai-je dit en regardant ma petite fille. "Mais je vais commencer à partir du mois prochain. Je n'ai pas pu étudier, Holden. Et ce, parce que nous n'avions pas la possibilité de le faire. Angela va avoir cette opportunité."

"D'accord, Caroline", dit mon mari. "Tu peux commencer dès maintenant, et je le compléterai dans un an. La maison sera payée, et je pourrai mettre cet argent dans le fonds."

Il m'a serré la main pour me rassurer, et j'ai su que nous ferions tous les deux n'importe quoi pour offrir à notre fille le monde entier.

Mais j'aurais peut-être dû accorder plus d'attention à Angela lorsqu'elle a obtenu son diplôme de fin d'études secondaires.

"Tu es sûre que tu ne veux pas que je t'aide à faire tes demandes d'inscription à l'université ?", ai-je demandé à ma fille lorsque nous sommes allées faire les courses un jour.

"Oui, maman", a-t-elle répondu en ajoutant une bouteille de jus de fruit au panier. "Je peux me débrouiller toute seule. Mais merci de me le proposer."

Je l'ai donc laissée se débrouiller seule pour les démarches de candidature. C'était une enfant ambitieuse et responsable. J'ai donc pensé qu'elle pourrait s'en charger les yeux fermés.

"Il se peut que je te demande de lire mon essai de candidature, maman", a-t-elle dit un soir alors que je préparais le dîner. "Mais il y a encore du temps pour le faire."

Je n'y ai pas prêté attention et j'ai laissé à ma fille l'espace nécessaire pour s'y retrouver.

Et puis un matin, elle est venue dans ma chambre et m'a demandé de transférer tout l'argent que nous avions épargné pour son fonds d'études.

"Bien sûr, ma chérie", ai-je répondu. "Je passerai à la banque plus tard dans la journée et je m'occuperai de tout ça."

"Merci, maman", a-t-elle rayonné. "Tu es la meilleure !"

Avec le recul, c'était ma première erreur.

Récemment, j'ai croisé sa camarade de classe, Trina, qui était dans le même collège qu'Angela. Elles avaient également fréquenté le même lycée. Elle était en compagnie de sa mère.

"Comment va mon ange ?", ai-je demandé à Trina alors qu'elle lorgnait une robe dans le magasin de vêtements où nous nous étions croisées.

"Pardon ?", a demandé la jeune fille, l'air complètement confus.

"Angela ?", ai-je demandé, en essayant de comprendre si j'avais dit quelque chose de mal. "Elle a dit qu'elle ne rentrerait à la maison qu'à la fin du semestre, alors je ne l'ai pas vue depuis des lustres !"

"Caroline, je n'en ai aucune idée", dit-elle. "Angela et moi nous sommes rencontrées quelques fois avant que je parte à l'université, et je pensais que nous allions être colocataires. Mais quand je suis arrivée, j'ai découvert qu'elle ne s'était pas inscrite."

J'étais trop abasourdie pour réfléchir.

Ma fille, l'enfant modèle qui n'a jamais séché les cours pendant tout le lycée, avait menti à toute la famille.

"Combien de son fonds d'études a été utilisé ?", m'a demandé mon mari quand je lui ai raconté ma rencontre avec Trina.

"24 000 dollars", ai-je répondu. "Mais si elle ne l'a pas utilisé pour l'université, alors qu'a-t-elle fait avec ?"

"C'est ce que j'aimerais savoir", a-t-il dit. "Appelle-la, Caroline. Va au fond des choses."

J'ai appelé Angela dès que je suis rentrée à la maison, en espérant qu'il s'agissait d'une sorte d'erreur. Mais ce qu'elle m'a dit m'a fait demander si je connaissais vraiment ma fille.

"Angela, c'est maman", ai-je dit à la seconde où elle a répondu.

"Maman ?", a-t-elle répondu. "Est-ce que tout va bien ? Pourquoi as-tu cette voix anxieuse ?"

"J'ai croisé Trina et sa mère aujourd'hui. Et elle m'a dit que tu ne t'étais jamais inscrite à l'université. Qu'est-ce qui se passe, ma chérie ? Il faut que tu me parles."

Il y a eu une longue pause avant qu'elle ne réponde.

"Maman, est-ce qu'on peut parler en personne ? Il y a quelque chose que je dois te montrer", a-t-elle dit. "C'est important, et tout prendra un sens."

"Angela, ma chérie, s'il te plaît, dis-le moi maintenant", ai-je insisté. "Où est l'argent ? À quoi l'as-tu utilisé ?"

"Maman, s'il te plaît", a-t-elle répété. "Retrouve-moi à l'angle de la 5e dans une heure. Je t'expliquerai tout."

Quel autre choix avais-je ? J'ai pris deux de mes pilules contre l'anxiété et je suis montée dans la voiture, prête à rencontrer ma fille.

Pendant que je conduisais, mon esprit a passé en revue les innombrables possibilités. Angela avait-elle des ennuis ?

Lorsque je suis arrivée à l'adresse qu'elle m'avait indiquée, Angela m'attendait à l'extérieur d'un petit bâtiment pittoresque. Ma fille avait l'air nerveuse, se rongeant les ongles lorsque je me suis garée et que je suis sortie de la voiture.

"Maman," dit-elle en souriant. "Il est temps que je te montre quelque chose d'important."

Nous sommes entrées dans un café confortable et joliment décoré. L'arôme du café fraîchement préparé remplissait l'air, et les murs étaient tapissés de livres et de toiles d'art. Des clients étaient éparpillés, sirotant leur boisson, lisant des livres ou même écrivant.

C'était un havre de paix pour les introvertis.

Ma fille s'est tournée vers moi, les yeux écarquillés d'impatience.

"C'est chez moi, maman," dit-elle. "J'ai utilisé l'argent pour ouvrir le café de mes rêves. Je vis dans l'appartement à l'étage."

J'étais trop abasourdie pour me souvenir d'un seul mot.

"Tu as utilisé l'argent de tes frais de scolarité pour ça ?", ai-je sursauté.

"Oui", a-t-elle dit, la voix lente et posée. "Je sais que c'était mal de mentir, mais j'ai toujours voulu ouvrir ma propre entreprise. J'avais peur de te le dire parce que je savais à quel point l'université comptait pour toi. Et je sais que je suis jeune et inexpérimentée. Mais je voulais essayer de le faire par moi-même."

Pendant qu'elle parlait, je voulais être la mère compréhensive que je pensais être. Mais ma confiance était brisée, et la principale chose qui coulait dans mes veines était la colère.

"Angela, as-tu la moindre idée de la confiance que tu as brisée ?", ai-je demandé. "J'ai travaillé si dur pour économiser cet argent pour tes études."

"Je sais, maman. Et je suis vraiment désolée", a-t-elle dit. "Mais j'avais l'impression que tu n'avais jamais écouté ce que je voulais vraiment. J'ai pensé que c'était la seule façon de te le montrer."

J'ai regardé autour du café, prenant en compte les petits détails qui m'avaient échappé la première fois. Il était clair qu'elle avait mis tout son cœur et toute son âme dans cet endroit.

"Pourquoi ne m'as-tu pas simplement parlé ?", demandai-je.

"Maman, j'ai essayé", a-t-elle répondu. "Mais à chaque fois que j'évoquais quelque chose que je voulais, tu changeais de sujet pour parler de l'université. Quel autre choix avais-je ?"

J'ai soupiré, le poids de ses paroles s'enfonçant dans la réalité.

"Tu aurais dû me faire suffisamment confiance pour avoir cette conversation, Angela. Il n'y a rien qui puisse dire que tu as essayé de me parler."

"Je sais, je suis désolée d'avoir menti et d'avoir utilisé l'argent sans ta permission. Mais regarde autour de toi, maman. C'est ma passion. C'est ce que je veux faire de ma vie."

En regardant les yeux de ma fille, j'ai vu la détermination et la passion qui l'avaient poussée à prendre une mesure aussi audacieuse. Il était difficile de rester en colère quand je voyais à quel point cela comptait pour elle.

"Je suis fière de ce que tu as accompli. Mais je suis blessé et déçu que tu ne me fasses pas assez confiance pour partager tes rêves."

"Je comprends", dit-elle doucement. "Je te promets de regagner ta confiance."

"Et ensuite ?", ai-je demandé. "Bien que cette entreprise fonctionne à merveille, tu as besoin de faire des études."

"Je sais", a-t-elle répondu. "Et je vais utiliser l'argent que je gagne au café pour m'inscrire l'année prochaine. Je vais suivre un enseignement à distance, mais je vais étudier indépendamment."

Je l'ai saluée d'un signe de tête.

Nous sommes restées un moment en silence, l'air lourd de non-dits. Puis je l'ai serrée dans mes bras et j'ai senti la tension s'envoler.

Angela m'a fait visiter le magasin, m'a présenté son associé et m'a montré les tenants et les aboutissants de leur activité. À la fin, j'étais impressionnée par ce qu'elles avaient accompli en si peu de temps.

Je ne pouvais qu'espérer que ma fille savait ce qu'elle faisait.

Qu'auriez-vous fait ?

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Ma belle-fille a secrètement saboté mon appartement après que j'ai refusé de changer de maison avec elle - il fallait que je lui donne une leçon de respect

Quelques mois après le décès de son mari, Adam, le fils d'Anne, Charlie lui a acheté une nouvelle maison plus proche de lui. D'abord hésitante, Anne décide finalement de déménager. Mais elle doit alors faire face à sa belle-fille jalouse, Angela, qui ne veut que la maison. Après qu'Angela a fait un coup d'éclat qui a entraîné la fumigation de la maison, Anne n'a pas eu d'autre choix que de lui donner une leçon.

Après le décès de mon mari, il y a six mois, j'ai eu le cœur brisé. Tout dans la maison me rappelait Adam et les souvenirs que nous y avions créés.

Parfois, c'était réconfortant, mais à d'autres moments, la solitude me paraissait trop étouffante, me poussant à me mettre en boule et à dormir du côté du lit d'Adam pour trouver une forme de réconfort.

Mon fils, Charlie, a vu à quel point c'était difficile pour moi, et il voulait que je me rapproche de lui et de sa femme, Angela.

"Maman, j'ai trouvé un endroit pour toi. C'est à environ cinq minutes de chez nous, et j'ai déjà fait une offre", a dit Charlie.

"Chéri, je ne peux pas accepter", lui ai-je dit au téléphone. "Tu ne devrais pas m'acheter une maison."

"Si je le veux", a-t-il répondu à l'autre bout du fil. "J'ai fais une offre. Mm... et nous pouvons la préparer pour que tu puisses y emménager à la fin de la semaine prochaine si tu le souhaites."

J'ai d'abord hésité, mais j'ai fini par accepter de déménager. Je savais que Charlie et Angela essayaient d'avoir un bébé, et je pensais que la chose la plus curative pour moi serait de m'occuper de ce bébé quand il arriverait.

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J'ai emménagé dans ma nouvelle maison facilement, car mon fils avait tout réglé pour moi.

"Tout ce que tu veux, maman", a dit Charlie quand il est venu le premier soir dans la nouvelle maison.

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Cette œuvre est inspirée d'événements et de personnes réels, mais elle a été romancée à des fins créatives. Les noms, les personnages et les détails ont été modifiés afin de protéger la vie privée et d'améliorer le récit. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, ou avec des événements réels est purement fortuite et n'est pas voulue par l'auteur.

L'auteur et l'éditeur ne prétendent pas à l'exactitude des événements ou à la représentation des personnages et ne sont pas responsables de toute interprétation erronée. Cette histoire est fournie "telle quelle" et les opinions exprimées sont celles des personnages et ne reflètent pas les points de vue de l'auteur ou de l'éditeur.