J'ai trouvé des liasses de dollars cachées dans la chambre de ma fille – J'ai été stupéfaite de découvrir où elle les avait eues

Lorsque Blake trouve une liasse de dollars cachée dans la chambre de sa fille, elle est choquée de savoir où et comment sa fille s'est retrouvée avec autant d'argent. Après une conversation troublante avec la professeure de Nicole, Blake n'a d'autre choix que de suivre Nicole à la sortie de l'école, déterminée à découvrir la vérité. Mais ce qu'elle découvre change tout...

Je ne savais pas ce que je m'attendais à trouver en entrant dans la chambre de Nicole cet après-midi-là. La boîte de LEGO, oubliée depuis longtemps sous son lit, n'était pas l'endroit où je pensais découvrir la vérité. Je me suis dit qu'elle avait peut-être pris des objets aux objets trouvés à l'école, ou qu'il s'agissait peut-être d'une petite tromperie innocente à laquelle les enfants ont souvent recours.

Mais quand j'ai retiré le couvercle et que j'ai vu ces liasses de billets fourrées entre les pièces de LEGO, j'ai arrêté de respirer.

Cinq mille dollars. Ou plus.

Où une enfant de 11 ans peut-elle trouver autant d'argent ?

Mon enfant n'était pas un fauteur de troubles, du moins pas à ma connaissance. Mais ces derniers temps, les choses étaient étranges. Elle rentrait à la maison avec des objets que je ne lui avais jamais achetés. De nouveaux jouets, un sac à dos à la mode et, plus récemment, un iPhone.

Au début, elle m'a dit que c'était son amie Anna qui les lui avait donnés, en précisant que les riches parents d'Anna s'en moquaient parce qu'elle n'en avait plus besoin. J'ai laissé passer, les enfants ont toujours eu un ou deux amis qui avaient les derniers gadgets. Mais quand le téléphone est apparu, j'ai su que quelque chose n'allait pas.

Ce n'est pas possible qu'une enfant donne un iPhone tout neuf comme ça.

"Ne sois pas stupide, Blake", me suis-je dit. "Tu ne peux plus laisser passer ça".

J'ai donc décidé de vérifier auprès de sa professeure. Peut-être que cette "Anna" n'était pas celle que Nicole prétendait être.

"Hum, Mme Harris", m'a dit Mme Davidson, l'enseignante de Nicole, quand je l'ai prise à part pour lui parler. "Il n'y a pas d'Anna dans cette classe. Et Nicole ne joue pas vraiment avec les autres enfants... Elle a plutôt tendance à être seule."

J'ai été choquée.

C'est à ce moment-là que j'ai su que quelque chose n'allait pas du tout.

Assise dans mon bureau ce jour-là, j'avais du mal à me concentrer. Tout ce que je voyais dans mon esprit, c'était les liasses de dollars que Nicole amassait. Comment pouvait-elle avoir autant d'argent ? Qu'est-ce qu'une enfant de 11 ans peut bien faire pour mettre la main sur des milliers de dollars ?

Je n'arrivais pas à réfléchir correctement, mais je savais une chose : j'allais le découvrir.

Cet après-midi-là, je me suis rendue à l'école de Nicole, la poitrine serrée par la peur et la colère. Je ne pouvais pas croire que mon enfant préparait quelque chose d'infâme. Mais en même temps, c'était la seule explication possible pour l'argent.

Je me suis garée de l'autre côté de la rue et j'ai attendu, en surveillant de près l'entrée. Je voulais voir si elle allait monter dans le bus scolaire ou non. Lorsque la cloche a sonné, j'ai repéré ma fille qui sortait rapidement du bâtiment, serrant son sac à dos comme si tout était normal.

Mais au lieu de se diriger vers les bus, elle s'est éclipsée de la foule, tournant dans une rue secondaire.

"Où vas-tu, chérie ?" , me suis-je demandé en regardant Nicole s'éloigner.

Bien sûr, j'allais la suivre de loin, en essayant de rester hors de vue.

Et puis j'ai vu qui Nicole rencontrait, et soudain tout a pris un sens.

Nicole tenait la main d'une femme. Au début, elle m'a semblé familière, bien que je n'aie pas pu la reconnaître immédiatement. Mais quand la femme s'est retournée et que son visage est apparu, mes genoux ont failli se dérober.

C'était elle. Ma mère.

La même femme qui était complètement sortie de ma vie il y a des années, sans même un adieu. Cette même femme qui m'avait abandonnée, qui avait abandonnée Nicole, pour courir après un homme qui lui promettait une vie meilleure.

Une vie sans nous.

Et maintenant, elle était là, tenant la main de ma fille comme si rien n'avait changé.

La rage s'empara de moi, mais je me forçai à rester calme. Je les ai suivies jusqu'à un petit café et j'ai entendu Nicole parler avec animation à sa grand-mère. Elles se sont rendues dans un coin du café et j'ai vu Nicole rire comme si elle s'amusait comme une folle.

Ma mère était rayonnante, agissant comme s'il s'agissait d'une sorte de réunion de famille.

"C'est quoi ça ?", ai-je marmonné.

Je suis restée là quelques instants, à regarder la scène se dérouler. Ma fille a commandé des gaufres et un milk-shake au chocolat, faisant une petite danse pendant que la serveuse prenait sa commande. Ma mère touchait le visage de Nicole.

Je n'en pouvais plus. Je suis entrée en trombe, la sonnette au-dessus de la porte a tintée alors que je m'approchais de leur table.

"Maman", dis-je.

Elles ont toutes les deux levé les yeux, surprises. Le sourire de Nicole s'est évanoui, ses yeux se sont écarquillés de confusion. Le visage de ma mère est devenu pâle, sa main s'est figée à mi-chemin de la tasse de café qui avait été placée devant elle.

"Qu'est-ce que tu fais là ?", demandai-je.

Ma mère a baissé les yeux, semblant enfin nerveuse.

" Je... je ne m'attendais pas à te voir ici, Blake ", a-t-elle dit.

J'ai croisé les bras, le poids d'années d'abandon et de ressentiment pesant sur moi.

"Qu'est-ce que tu fais avec ma fille ? Tu crois que tu peux revenir dans nos vies et faire comme si rien ne s'était passé ? Après tout ce temps ?"

Nicole a regardé entre nous ; la serveuse venait d'apporter son milkshake. Je savais que mon enfant ne comprenait pas ma colère et ma frustration. Comment aurait-elle pu ? Il était impossible qu'elle se souvienne du jour où ma mère nous a quittées.

"Je peux t'expliquer", a dit ma mère.

"Expliquer ? Expliquer quoi exactement ? Tu es partie. Tu nous as abandonnées. Et maintenant, tu apparaîs à mon insu, entraînant Nicole dans ta galère ?"

Ses yeux se sont remplis de larmes, mais je n'étais pas prête à me sentir désolée pour elle.

Pas encore.

"Je sais que je suis partie, Blake", a-t-elle murmuré. "Je sais que je t'ai fait du mal. Mais je ne savais pas comment revenir. Je pensais qu'il était trop tard."

"Pourquoi maintenant ? Et pourquoi Nicole ? Pourquoi pas moi ?", ai-je demandé, me sentant soudain épuisée.

Ma mère a pris une profonde inspiration.

"Blake, je ne suis pas partie parce que je ne t'aimais pas. Je suis partie parce que j'étais perdue. L'homme... James, il m'a tout promis. Il m'a promis une meilleure vie, plus que ce que nous avions. Mais il a menti. Il m'a laissée en rade dans un pays que je ne connaissais pas, sans argent, sans moyen de rentrer chez moi."

"Tu aurais pu appeler", ai-je dit. "Tu aurais pu tendre la main. Je t'aurais aidée."

"J'avais honte, ma chérie", a-t-elle dit. "Je ne savais pas comment t'affronter. Je ne pensais pas que tu me pardonnerais un jour."

"Et tu pensais qu'entraîner Nicole dans ce pétrin était la solution ? Tu lui as donné de l'argent, n'est-ce pas ? Tu lui as demandé de me le cacher ? Tu crois que le fait de lui acheter des choses compense tout ce que tu as fait ?"

Ma mère s'est essuyée les yeux, en secouant la tête.

"Non, je n'essayais pas de l'acheter. J'essayais de l'aider. Je sais que je t'ai laissée tomber, mais je pensais que peut-être, juste peut-être, je pourrais t'aider. J'ai donné à Nicole l'argent pour vous deux..."

"Où as-tu trouvé l'argent ?", ai-je demandé. "Tu as dit que tu n'avais rien."

Elle a hoché la tête.

"Dans l'autre pays, oui. Mais j'avais mes économies bloquées ici. Dès que je suis revenue, je les ai sorties."

J'ai jeté un coup d'œil à Nicole, qui me fixait, les yeux pleins de peur et de confusion. Mon enfant ne méritait pas cela.

"Je suis désolée, Blake", a-t-elle dit. "Je sais que je ne peux pas réparer le passé. Mais j'ai pensé que je pourrais peut-être commencer à m'excuser auprès de Nicole. Peut-être que si elle me connaissait, si je pouvais faire partie de sa vie, je pourrais trouver un moyen de revenir vers toi."

Une partie de moi voulait lui crier dessus et faire sortir la colère que je portais depuis si longtemps. Mais en la regardant maintenant, plus âgée, brisée, avec des regrets sur tout le visage....

Je me sentais mal.

"Tu aurais dû venir me voir", ai-je dit. "Tu aurais dû me faire suffisamment confiance pour gérer ça".

"Je sais", a-t-elle murmuré.

Nicole a tendu la main, sa petite main s'est ajustée à la mienne.

"Maman, est-ce qu'on peut donner une autre chance à grand-mère ?"

J'ai regardé ma fille et j'ai su que je devais faire le changement. Malgré ce que je ressentais, j'avais besoin d'arranger les choses avec ma mère.

"Je ne suis pas prête à te pardonner", ai-je dit honnêtement. "Mais nous pouvons y travailler".

"Je ferai tout ce qu'il faut", a dit ma mère en souriant.

"Prends ton milkshake, ma chérie", ai-je dit à Nicole. "Et ensuite, nous pourrons rentrer à la maison et préparer le dîner avec grand-mère".

Ma fille a rayonné et a poussé son assiette de gaufres vers moi. J'ai pris une fourchette et j'ai commencé à manger. Honnêtement, j'avais encore tellement de questions à poser à Nicole et à ma mère, mais je ne pensais pas que c'était le moment approprié.

Qu'auriez-vous fait ?

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Lorsque Judy découvre que son fils adolescent a volé et utilisé l'argent de sa grand-mère, elle n'a eu d'autre choix que de lui donner une leçon qu'il n'oubliera jamais.

J'ai toujours entendu dire qu'il y avait dans chaque famille un enfant qui dépassait les bornes et faisait des choses stupides, mais je ne m'attendais pas à ce que mon fils soit cet enfant dans notre famille.

Mon fils adolescent, Brandon, comme la plupart des adolescents de son âge, aimait les jeux vidéo. Et chaque fois qu'un nouveau jeu sortait, il en devenait obsédé et regardait les bandes-annonces, me suppliant de l'acheter.

"C'est ridicule, Brandon", lui disais-je fermement. "Je ne te donnerai pas d'argent pour des jeux stupides."

Mais il était aussi persévérant qu'eux. Et lorsque la dernière version de son jeu préféré est sortie, il s'est mis à pleurnicher et à supplier tous les jours.

"S'il te plaît, maman", demandait-il à chaque fois qu'il en avait l'occasion. "S'il te plaît, juste ce jeu et je ne demanderai rien d'autre."

"Brandon, j'ai déjà dit non", disais-je. "S'il te plaît, arrête de me harceler. Cette discussion est terminée."

Puis, il y a une semaine, les pleurnicheries ont cessé. Brandon s'est retiré dans sa chambre et s'est retrouvé à nouveau derrière son ordinateur, la discussion sur le jeu ayant été oubliée depuis longtemps.

J'étais soulagée, pensant qu'il avait enfin dépassé cette phase.

"Je ne sais pas comment lui dire autrement que nous ne pouvons pas dépenser d'argent pour des jeux vidéo", ai-je dit à mon mari, Liam.

Lisez l'histoire complète ici.

Cette œuvre est inspirée d'événements et de personnes réels, mais elle a été romancée à des fins créatives. Les noms, les personnages et les détails ont été modifiés pour protéger la vie privée et améliorer le récit. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, ou avec des événements réels est purement fortuite et n'est pas voulue par l'auteur.

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