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La plus grande tragédie de la vie de Faustine Bollaert: "Le jour où je perds ma meilleure amie"

Quentin Autier
17 mai 2018
14:31

Faus­tine Bollaert confron­tée à la mort de sa meilleure amie, le pire drame de sa vie.

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Voici nous parle de la pétillante Faus­tine Bollaert qui dissi­mule une lourde perte de jeunesse sous son sourire. Alors qu’elle n’est encore qu’en primaire, la future anima­trice apprend la mort de sa meilleure amie. Une bles­sure qu’elle a réussi à refer­mer aujourd’­hui.

Faustine Bollaert est aujourd'hui une animatrice talentueuse et très appréciée, notamment pour son humour et sa joie de vivre. Et pourtant, elle a vécu un événement très douloureux dans son enfance.

Elle a étudié dans une école primaire du XVIe arrondissement de Paris et il n'est pas étonnant d'apprendre qu'elle avait beaucoup d'amis. Cependant, comme elle l'a révélé au cours d'une interview accordée à Paris Match, sa meilleure amie s'appelait Alexandra.

Malheureusement, cette grande amitié s'est terminée de manière brutale et tragique puisqu'à l'âge de 8 ans, Faustine a appris qu'Alexandra, qu'elle considérait véritablement comme une "soeur" était décédée.

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"En retrou­vant ce jour-là les bancs de l’école primaire, […] je suis surprise : Alexan­dra, ma meilleure copine n’est pas là. […] Elle est peut-être clouée au lit à cause d’une grippe. Une respon­sable de l’éta­blis­se­ment fait irrup­tion, le visage grave. Je dois quit­ter la classe, d’où j’aperçois, au bout d’un inter­mi­nable couloir, le père Escu­dier. […] Dans la cour il me lâche, en prenant un maxi­mum de précau­tions : 'Alexan­dra a eu un acci­dent.'" raconte-t-elle dans les colonnes de Paris Match.

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La chaleureuse animatrice se décrit comme "abasourdie" par la tragédie. Heureusement, elle a réussit à se remettre grâce à ses professeurs très attentionnés ainsi que les membres de sa famille: "Le soir à la maison, tout le monde est aux petits soins. Même mon frère me propose une partie de jeu de socié­tés. Ces atten­tions, aussi insi­gni­fiantes soient-elles, me recons­truisent peu à peu."

Aujourd'hui, elle a réussit à accepter cet événement douloureux: "Sa sœur, qui n’était pas née au moment du décès, a récem­ment pris contact avec moi. Nous avons échangé des photos, des souve­nirs ; elle m’a expliqué les circons­tances de sa dispa­ri­tion", révèle-t-elle.

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