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"Le sentiment de honte m’a toujours accompagnée": Françoise Hardy fait des révélations conçernant sa vie et sa mort

Quentin Autier
22 mai 2018
00:25

“Il faut qu’il meure après moi” : les émou­vantes confi­dences de Françoise Hardy sur Jacques Dutronc.

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Gala nous parle de Françoise Hardy qui vient de sortir un nouvel album. À cette ocassion elle a accordé un entretien à la matinale du Monde dans lequel elle est revenue sur sa carrière mais aussi son rapport à la mort, sa rela­tion avec Jacques Dutronc et les liens indé­fec­tibles qui les unissent.

Françoise Hardy a été atteinte du cancer et pendant une décennie, elle l'a combattu avec courage. En 2015, après une mauvaise chute, elle a d'ailleurs été plongée dans le coma.

L'artiste a connu de tels soucis de santé qu'elle pensait ne jamais pouvoir remonter sur scène. Et pourtant, elle revient maintenant avec un nouvel album intitulé Personne d'autre.

Mais bien qu'elle soit guérie, Françoise Hardy reste très pessimiste: "Les chimios et expé­riences vécues à l'hôpi­tal me pendent au nez”, a-t-elle déclaré à la matinale du Monde.

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Et comme on peut le comprendre, elle n'est pas sereine, notamment parce qu'elle n'a pas envie d'être "sépa­rée de Thomas et lui faire de la peine”. Elle a cependant la "certi­tude que la mort physique ne marque pas la fin des liens très forts tissés dans notre vie, et qu’elle ne sonne en aucun cas la fin du voyage”.

Elle est d'ailleurs persuadée que, bien que Jacques Dutronc (avec lequel elle est toujours mariée) a refait sa vie, si elle décède, il la suivra peu après.

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"C’est bien ce qui m’inquiète pour Thomas. Il faut qu’il meure après moi. Je lui rappelle chaque fois qu’il me fait part d’un pépin de santé”. Elle avait déjà tenu ces propos dans son livre intitulé Avis non autorisés qui avait été publié en 2015.

Leur fils de 44 ans a d'ailleurs été "boulversé par la mort de Johnny" et il a "réalisé que ses parents risquaient d’être les prochains sur la liste”.

Mais il ne compte pas abandonner si facilement: "Débrouillez-vous comme vous voulez, je refuse caté­go­rique­ment que vous mouriez. Ou alors quand vous aurez 110 ans parce que j’en aurai 81”, leur a-t-il dit, déclenchant l'hilarité de sa mère.

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