Nathalie Baye parle de son rôle dans l'affaire de l'héritage, et des conflits que cela engendre
Nathalie Baye reparle de l'affaire de l'héritage de Johnny Hallyday
Dans une interview accordée au magazine "Gala", en kiosque ce mercredi 4 juillet, Nathalie Baye, qui a eu une fille avec Johnny Hallyday, Laura Smet, est revenue sur l'affaire de l'héritage du rockeur, qui tiraille la famille Hallyday depuis maintenant de nombreux mois. Dans cette interview, l'actrice française se confie notamment sur une éventuelle conciliation entre les deux parties :
"Je ne peux pas vous dire. Je ne sais pas. Ce serait vraiment bien. Mais j'essaie d'avoir de la distance par rapport à cette histoire. C'est trop sordide. Mon seul but est de protéger les enfants."
Nathalie Baye dit également être très fière de sa fille, Laura, qui "est très sensible, mais aussi très forte".
Quant à son rôle dans l'affaire, la comédienne en a déjà aprlé dans un communiqué qu'elle avait alors transmis au Figaro :
"J'apporte toute ma force et mon amour à David et Laura. Je connais Johnny, nous nous sommes aimés. Notre complicité et affection a été présente jusqu'à la fin. Johnny aimait ses enfants, les aînés David et Laura ainsi que Jade et Joy. Malheureusement, les aînés étaient les bêtes noires de leur belle-mère."
"Toute la famille Boudou est citée sur le testament, jusqu'au frère que Johnny ne supportait pas, tandis que David et Laura, artistes eux-mêmes, se voient refuser ne serait-ce que le droit d'écouter le projet d'album posthume de leur père. Être nié dans cette filiation artistique est reçue comme une vraie douleur et une grande injustice. Que faut-il faire pour retrouver la raison? Tous ceux qui ont aimé Johnny ne peuvent que le souhaiter."
Des propos tranchés alors qu'au début de toute cette histoire, Nathalie Baye souhaitait rester discrète, comme elle l'avait alors dit à Marie Claire en avril dernier :
"Chacun est libre de réagir comme il le veut, mais, pour moi, c'est hors de question. Cette affaire est trop pénible, odieuse, trop médiatique et trop vulgaire"