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Sheila à propos du père de son fils décédé: "C’est “l’absent” qui a fait beaucoup de mal à son fils"

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11 août 2018
05:45

En 2017, Sheila avait accordé une interview à Paris Match, nous avons décidé de la partager avec vous.

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AmoMama vous fait part de l'interview qu'a accordé Sheila à Paris Match.

Ludovic est décédé le 7 juillet dernier. Que pouvez- vous dire, aujourd’hui, sur les circonstances de sa mort ?

D’abord, que j’avais décidé de ne pas parler de ce drame. Il y a eu tellement de choses inventées, déformées, que je me suis enfermée dans le silence. Mais, aujourd’hui, je dois en sortir pour redonner son intégrité à Ludo, mon fils, mon fils unique. Alors voilà, son dossier médical a révélé que Ludo est mort des suites d’une overdose de cocaïne provoquée par l’absortion massive de cocaïne et de benzodiazépine.

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Le médicament que prennent les toxicomanes en « descente » après l’absorption de cocaïne.

C’est dire s’il n’a pas fait semblant !… Effectivement, la benzodiazépine permet de contrer les effets de la drogue et permet au corps de tenter de reprendre un semblant de cycle normal. Je savais qu’il prenait de la cocaïne depuis quinze ans. Je connaissais mon fils mieux que quiconque et j’ai tout fait pour qu’il s’en sorte. Alors oui, je ne lui donnais plus d’argent, parce que je savais très bien où il finirait. J’ai participé au financement de nombreuses cures pour l’aider à se désintoxiquer. Mais, à l’arrivée, c’est quand même la drogue qui l’a tué.

Selon les dires de sa compagne, Ludo n’était plus toxicomane.

Officiellement, oui. Vu le nombre de cures qu’il a faites, il a dû connaître des périodes où il était clean. Mais il sortait avant la fin, il était bien pendant quinze jours, puis disparaissait de nouveau. Je veux qu’on comprenne et qu’on sache que Ludo avait beaucoup de défauts, comme tout le monde, mais qu’il aura été toute sa vie un garçon extraordinairement gentil. Excessivement gentil. Un petit gamin qui disait toujours “oui maman” pour me faire plaisir. S’il a été entraîné dans cette dérive, c’est parce qu’il était trop naïf et qu’il aimait faire la fête. Ludo n’a hélas pas rencontré les bonnes personnes. S’il avait eu d’autres fréquentations, il serait encore en vie. Il était fait pour la lumière, il a été entraîné dans l’ombre.

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Vous n’avez rien pu faire ?

Que pensez-vous que j’ai fait pendant quinze ans ? Ludo est tombé dans la drogue en 2002, après sa rupture avec Rosa, sa merveilleuse petite femme d’alors. J’ai fait tout ce qui était de mon ressort pendant toutes ces années : je l’ai envoyé en cure, je l’ai pris à la maison, on est partis en vacances, j’ai essayé de couper les liens avec tous les gens qu’il fréquentait. J’ai fait tout ce qu’une maman doit faire dans ce genre de situation. D’autant que lorsqu’il était avec moi, il ne prenait pas de cocaïne. Mais c’était un grand garçon, il avait sa vie d’homme, je ne pouvais pas être derrière lui tout le temps. Il est parti en vrille pour des histoires amoureuses. Il dit dans son livre qu’il a épousé Rosa pour lui faire plaisir. J’ai toujours pensé que c’était totalement faux. Il adorait Rosa, ils se connaissaient depuis qu’ils étaient enfants et c’était une jolie histoire. Mais il a plongé.

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Etait-il en rébellion contre vous ?

Tout ce que je lui refusais, il se débrouillait toujours pour l’obtenir ! Je vous donne un exemple. Il a 17 ans et, comme tous les mômes de son âge, il veut son scooter. Je lui dis : “Non, je préfère que tu aies une voiture, et que tu passes le permis”, que j’ai financé. Mais il ne l’a jamais passé, il s’est arrangé avec son entourage pour avoir le scooter. Résultat : il a eu un accident, la rate explosée, des fractures et plusieurs mois d’hôpital.

Il a beaucoup été dit que vous aviez une relation complexe. Quelle est la vérité ?

Ludo m’en a fait voir des vertes et des pas mûres, c’est sûr ! Mais c’est mon fils. Qu’on s’engueule ou pas, qu’on soit d’accord ou pas, je l’aime et je l’aimerai toujours. J’ai toujours été celle qui serrait les boulons. Mais parce que j’étais seule et donc la seule à pouvoir le faire. Son père [Ringo] a été absent tout au long de sa vie. Donc oui, j’ai été celle qui l’a empêché de faire tout ce qu’il avait envie de faire. Cela a créé des tensions. Mais, dans le fond, nous avions une relation fusionnelle.

Vous l’avez élevé seule. Souffrait-il d’être le fils de Sheila ?

D’abord, il a eu une vraie vie de famille, il y avait les fêtes de famille, les Noël avec ses grands-parents, qu’il adorait. Il n’était donc pas seul. Ensuite, être Sheila, en 1975 [année de la naissance de Ludovic], ce n’était pas rien. Je sortais des rumeurs qui disaient que j’étais un homme, que j’avais une poche d’eau sur le ventre pour simuler ma grossesse, que mon enfant n’était pas le mien... Vous imaginez ? Alors, oui, j’ai fait des photos avec lui à sa naissance, car j’ai voulu que ces rumeurs cessent. Ensuite j’ai protégé sa vie de petit garçon. C’était un enfant très éveillé, qui adorait être dans la lumière. Il avait un imaginaire surdéveloppé, s’inventait des histoires. Qu’est-ce que cela a pu créer comme problèmes à l’école, où il n’a jamais rien foutu d’ailleurs ! Mais tous ses professeurs l’adoraient. Il leur racontait notamment qu’il était abandonné. Mais j’étais là ! Un jour, j’ai été convoquée par toute la direction. J’y vais avec ma mère. Et là, on nous explique que Ludo est un enfant qui s’élève tout seul. “ Vous plaisantez ?” leur a dit ma mère, estomaquée. Tout le corps professoral était tombé dans son jeu : la chanteuse populaire délaisse son petit garçon, tellement lumineux et attachant. Quand il a vu mon regard, il a pigé que ça n’allait pas le faire. Il a écrit dans son livre que le chauffeur lui corrigeait ses devoirs. Mais je n’ai jamais eu de chauffeur… [Elle rit.] Au fond, il était influencé par “Dallas”. Il me rêvait descendant dans les grands hôtels de New York en déshabillé de soie… Il me voyait en star hollywoodienne !

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Gamin, que voulait-il faire de sa vie ?

Pompier d’abord, puis chanteur à l’époque de Patrick Bruel. Un jour, je lui pose la question. Il me répond du tac au tac : “Je veux faire la couverture de Match.” Il avait 12 ans. Voilà… Moi j’aurais rêvé qu’il soit acteur parce que, vu son imagination, il aurait pu jouer n’importe quoi. A sa majorité, je l’ai envoyé faire son service militaire, pour qu’il se confronte à la vie d’homme. Hors de question que je l’aide d’une manière quelconque à obtenir un passe-droit. Il part le matin à 6 heures. Le soir, il m’appelle : “Maman, je suis réformé.” [Elle rit.] Il n’a même pas passé une nuit à la caserne ! Il avait simulé la folie, expliqué qu’il était le fils de Sheila et Ringo et qu’il ne supportait pas de voir du monde… En cela, c’était un personnage drôle, hors du commun.

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Etiez-vous inquiète de ce qu’il allait devenir ?

Non. D’autant que je ne pouvais pas l’attacher, je devais le laisser vivre. A 18 ans, il a fait des erreurs de jeunesse, sans comprendre les répercussions que cela pouvait avoir. Il est intervenu dans les médias, soi-disant pour attirer mon attention. Comme s’il ne l’avait pas… J’ai essayé plein d’autres choses. Un jour, j’ai appelé mon ami Michel Drucker pour qu’il accueille Ludo en stage, ce qu’il a fait. Mais il était si peu discipliné que ça n’a pas duré. Il voulait juste son petit quart d’heure de gloire médiatique. Je l’ai laissé faire, c’était facile. Je lui ai juste dit que laver son linge sale en public était assez exécrable. Mais je comprenais, car Ludo était tout amour et tout excès, tout était surmultiplié chez lui.

En 1993, dans Match, il raconte qu’il a eu du mal à partager sa mère avec le public. Comment l’avez-vous pris ?

Il ne supportait pas les fans et, en même temps, il adorait signer des autographes. Il a fini par devenir une star dans son univers, le monde de la nuit, où l’on boit, on fume, on se drogue... Mais si je vous raconte tous ces souvenirs, c’est parce que je veux qu’on comprenne que Ludo était tellement plus que le “fils de” sur qui l’on a raconté tout et n’importe quoi. Aujourd’hui, je ne veux garder que ses bons côtés, sa lumière...

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Pourtant vous gardez une terrible image de sa fin de vie.

Quand je suis arrivé à l’hôpital, le 4 juillet, il était déjà en réanimation. Les médecins m’ont fait part de leur inquiétude. Je me doutais qu’il était mal en point, mais on veut toujours espérer dans ces moments-là… [Sa voix se brise.] C’est horrible de voir son enfant dans cet état-là. J’étais face à lui. Et je lui en ai tellement voulu ! Mais tellement... Je n’ai pas pu m’approcher, ce n’était pas possible. On avait parlé maintes et maintes fois du danger. Il savait que plus il se droguait, plus il courait à la catastrophe. Et, surtout, je venais d’aider au financement d’une cure pour sa bipolarité, dont il était sorti depuis peu. Le Dr Perisson, de l’hôpital Sainte-Anne, me disait que Ludo ne guérirait que le jour où il déciderait lui-même de se faire soigner. Alors quinze jours après être sorti, il prend une forte dose de cocaïne, mélangée à des médicaments. A quoi bon ? Pour une mère, c’est très dur à vivre… Enfin voilà… Le deuxième jour, les médecins m’ont expliqué qu’il y avait un laps de temps très court pendant lequel ça pouvait s’arranger. Mais ça ne s’est pas arrangé. Alors je suis retournée le voir. Il avait été plongé dans un coma profond. Je lui ai parlé pendant deux heures. Seule avec lui, on a fait le point… Et le troisième jour, il est parti… Qu’y a-t-il de pire pour une mère ? D’autant qu’il a toujours su les risques qu’il prenait.

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Comment pouvez-vous affirmer qu’il ne s’est pas suicidé ?

Le jour de son hospitalisation, l’un de ses amis m’attendait dans le hall et m’a montré une photo. Et là, je reconnais Ludo couché sur le sol, la tête affaissée contre un mur, les bras ballants, en slip et en débardeur, des résidus de poudre blanche dans la bouche et le nez. Quand on voit ça, ce n’est pas quelque chose que l’on efface ou que l’on oublie. Encore aujourd’hui, dans ma tête, dans mon cœur, j’ai la vision de cette photo gravée à vie. Et comme je suis une mère qui ne lâche rien, quand on touche à la lumière de ma vie, je dis : “Mais comment peut-on faire une photo de mon fils en train de mourir ? Il y a un homme à terre et on déclenche son appareil ? Et personne ne le tient dans ses bras ?” C’est intenable, insoutenable, insupportable.

Y a-t-il eu non-assistance à personne en danger ?

Je ne sais pas. Peu importe. [Sa voix se brise à nouveau.] Ce soir-là, personne n’a pris Ludo dans ses bras, personne ne l’a soutenu. Non, ils ont préféré le photographier plutôt que de le chérir. Ils ont fait des clichés et les ont montrés à sa mère. Quelle est la part d’humanité ici ? Qui sont-ils pour agir ainsi ? Alors je veux récupérer cette photo pour pouvoir la détruire. J’ai déposé plainte pour ça, et pour comprendre les circonstances du drame. Ce soir-là, a-t-on tenté de détourner Ludo de ses démons ? Donc je ne sais pas s’il y a eu non-assistance à personne en danger. Mais ce que la justice ne sanctionne pas, la morale le fait.

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Il n’était pas seul le soir de son overdose…

Je n’entre pas dans ce débat-là. Je n’accuse personne, je ne cherche pas de coupables. Je veux savoir la vérité. Je veux savoir pourquoi Ludo est mort, je veux savoir qui a payé la cocaïne. Et, une fois encore, je veux récupérer l’image. Vous croyez que l’on peut laisser passer cela ? Impossible ! Parce que, même s’il avait 42 ans, Ludo restait mon bébé, mon petit patacouète.

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Etiez-vous au courant de son projet de mariage ?

Il n’y a pas de mariage ! Il y a une compagne qui rêve de faire un mariage posthume. Je ne ferai pas de commentaires. J’espère juste qu’auprès d’elle Ludo était heureux. Je n’aurais jamais imaginé que la destinée de mon fils était de mourir à 42 ans. Même si, pour moi, c’est un désastre, c’est peut-être ce que lui voulait. Je n’en sais rien. En tout cas, il n’a rien fait pour éviter l’issue fatale. Et si je prends la parole aujourd’hui, c’est aussi pour que mon histoire soit utile à d’autres, qu’elle leur permette peut-être de bloquer ce processus d’autodestruction chez leur fils, leur frère, leur père. Je souhaite m’investir dans une association qui soutient les parents de toxicomanes.

Qui vous a soutenue dans cette épreuve ?

J’ai reçu une montagne de courriers, auxquels je n’ai pas encore répondu. Mais c’est mon métier qui m’a permis de tenir. J’ai vécu deux grands drames dans ma vie. La mort de mes parents, en 2002, et celle de Ludo. En 2002, je devais chanter à l’Olympia et tout mon entourage voulait que j’annule. J’y suis quand même allée, parce que mes parents n’auraient jamais accepté que je ne le fasse pas. Là, je suis montée sur scène à l’Alhambra un mois et demi après le décès de Ludo. Parce que, dans la vie, soit on s’écroule, soit on se bat. Mais moi, mon monde s’est effondré. A part la musique, je n’ai plus de parents, je n’ai plus d’enfant, je ne vois pas ce qu’il me reste d’autre. [Elle pleure.] Donc, oui, je suis remontée sur scène parce que je n’avais pas le choix. Alors je chante. Parce que les gens m’aident. Je ne fais pas ça pour avoir de l’admiration, je fais ça pour survivre.

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Pourquoi Ringo n’est-il pas venu aux obsèques de son fils ?

Je ne sais pas. Ringo, c’est “l’absent” qui a fait beaucoup de mal à son fils quand celui-ci avait 20 ans. Après son accident de scooter, Ludo est allé le voir pour lui présenter Rosa. Mais il l’a jeté dehors. Je ne sais même pas comment ce géniteur peut vivre, être debout. Un géniteur, ça a un cœur quand même, non ? Eh bien, celui-ci n’en a pas. Même s’il ne l’a pas vu depuis des années, même s’il l’a mis dehors, même si, même si… C’est son fils. Et Dieu sait qu’il ressemblait à son père ! Donc, je n’ai rien d’autre à dire. Il ne m’a pas appelée, je ne sais même pas où il habite, ce qu’il fait. Et en réalité, je m’en fiche, c’est juste triste pour Ludo.

Vous n’avez jamais cherché à rapprocher Ludo de Ringo ?

Quand je me suis séparée de Ringo, j’ai fait tout ce que j’ai pu : un week-end chez l’un, un week-end chez l’autre, la moitié des vacances, ce genre de choses. Je n’y suis pour rien si Ringo n’a pas voulu le voir. J’ai essayé de taper du poing sur la table, de discuter, de négocier. Cela n’a pas aidé, visiblement… La seule chose que je regrette, c’est que Ludo soit parti sans avoir réglé son problème avec son père. J’aurais aimé qu’il l’accroche au porte-manteau et qu’il lui dise : “Hé... Oh ! Il faut qu’on cause.” Mais ils ne se sont plus jamais reparlé. Je sais qu’il le fera là-haut, il est au taquet. Je ne me fais pas de soucis.

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Ludo avait une fille. Comment va-t-elle aujourd’hui ?

Je n’en parle pas. Il faut la laisser en dehors de ça, c’est suffisamment triste comme ça.

Et vous, comment allez-vous ?

Pas bien. Je m’accroche à ce que j’ai à faire. On a sa route, je l’écrirai un jour, parce que j’en ai tellement bavé qu’il faudra, à un moment, que la vérité soit faite. Je n’ai pas envie qu’on fasse un biopic sur ma vie, racontée par “les proches”. La seule personne qui sait ce qui s’est passé, c’est moi. J’ai encore beaucoup de vérités à dire. J’ai l’impression que j’ai été placée sur cette terre pour voir jusqu’où va la résistance de l’être humain. Eh bien, elle est solide.

Vous resterez debout contre vents et marées ?

C’est l’image qu’on a de moi, je ne suis pas là depuis cinquante-trois ans par hasard ! La vie a l’avantage de vous faire grandir, mais aussi de vous laisser des cicatrices indélébiles. Tout cela m’a pas mal entamée. Mais le seul qui me fera tomber, c’est celui qui est au-dessus de ma tête.

Ludo était-il fier de vous ?

Oui. Tout a été dit sur moi. Mais c’est trop facile. Ludo et moi savons. C’est le principal.

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Lui avez-vous pardonné ?

Une mère n’a pas à pardonner à son fils, elle le comprend. Il est la plus belle chose que j’ai eue dans ma vie. Alors oui, j’ai compris toutes ses erreurs. Mais je lui en veux encore un peu de m’avoir laissée toute seule. Et aussi parce que sa fin est moche. Il a été emmené par ce contre quoi je me suis battue pendant des années. Et, au final, nous avons perdu tous les deux…

Il repose désormais auprès de ses grands-parents.

Il existait à côté de la tombe de mes parents une petite place libre. Elle était pour moi. J’imaginais qu’à ma mort nous serions eux et moi ainsi tout le temps fleuris. Quinze ans plus tard, quand je suis allée à la mairie de Louveciennes pour faire inhumer Ludo, cet espace était toujours là. Le destin a réuni Ludo et ses grands-parents. Mais le plus tragique, finalement, c’est que le décès de mon fils n’est pas dans l’ordre naturel des choses.

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