La fortune amassée par Laeticia Hallyday grâce aux royalties
Si Laeticia Hallyday a récemment perdu une bataille importante dans l’affaire de l'héritage de son époux, sa situation financière n’a pas été touchée pour autant. Selon les informations du Closer, la veuve du rockeur a d'ores et déjà touché une somme très importante grâce aux royalties.
Le 28 mai 2019, la justice française n’a peut-être pas donné la décision que pouvait espérer la veuve du rocker, mais selon les dires de Maître Ardavan Amir-Aslani, sa cliente était "préparée" à cette éventualité.
Invité dans C à vous sur France 5, ce mercredi 29 mai, l’avocat de Laeticia a révélé sa réaction :
"Je l’avais informée des différentes possibilités qui allaient peut-être pouvoir se réaliser à l’issue de ce rendu. Elle s’attendait à cette éventualité, parmi d’autres. Elle est très sereine. Vous savez, elle a confiance en la justice française. Pour elle, un jour, le droit va prévaloir."
La veuve de Johnny a par ailleurs prévu d'entreprendre une action plus radicale pour la suite des événements.
LES ROYALTIES TOUCHÉS PAR LAETICIA
Malgré une autre ordonnace du tribunal de Nanterre qui avait décidé en octobre 2018 de geler la part des royalties (37,5%) que Laura Smet et David Hallyday réclamaient, Laeticia Hallyday a tout de même pu toucher les 62,5% restants.
Pour ses 25% et les 18,75% qui reviennent à chacune de ses filles, elle a obtenu la modique somme de 1,8 million d'euros, comme le révèle Closer dans son numéro en kiosques vendredi 31 mai, qui lui ont été payé via la société Born Rocker.
LES BIENS GELÉS PAR LA JUSTICE
Bien avant la décision rendue par la justice française, mardi 28 mai 2019, plusieurs biens de Johnny Hallyday ont été gelés. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Explications dans notre prochain article.
Au printemps 2018, c'était une première victoire pour Laura Smet et David Hallyday. Selon l’ordonnance de référé du tribunal de grande instance de Nanterre du 13 avril 2018, les enfants aînés du rockeur ont obtenu la mise sous séquestre de tous les droits artistiques de leur père, ainsi que le gel de ses biens immobiliers français.