Nicolas Sarkozy se confie sur ses difficultés lors de son divorce avec Cécilia Attias
Nicolas Sarkozy, ancien président de la République de France, était l‘invité de C à vous, mercredi 4 septembre 2019. L’ancien dirigeant, qui est venu parler de son best-seller “Passions“, a également parlé de sa rupture avec Cécilia Attias.
Paru le 27 juin 2019, le nouvel ouvrage de Nicolas Sarkozy défraie la chronique. “Passions“ est un ouvrage autobiographique dans lequel l’illustre auteur livre ses souvenirs au sein du gouvernement, parle des rapports qu’il entretient avec Jacques Chirac et François Hollande, et évoque ses relations amoureuses.
L’ancien chef de l’Exécutif français a mis sur écrit son histoire d’amour avec Carla Bruni, celle qui partage sa vie depuis 2008, mais aussi et surtout, il a parlé de son ex-femme, Cécilia Attias. Plus singulièrement, Nicolas Sarkozy a évoqué les circonstances du divorce qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive.
“Je n'avais rien anticipé. Je n'y avait rien compris. Je subissais sans pouvoir contrôler une situation, qui, chaque jour, devenait plus incompréhensible“,
révèle-t-il sur le plateau de “C à vous“.
Visiblement, l’ancien président de la République a mal vécu cet épisode triste de sa vie qui s’est retrouvé au-devant de la scène sans qu’il ne puisse rien contrôler.
"Ça a été tellement médiatisé. Ça a été tellement au cœur du débat",
affirme-t-il.
Nicolas Sarkozy voyait cet acharnement de la presse comme une injustice, car pendant ce temps, Ségolène Royal, sa principale rivale à la course à la présidence, vivait également des déboires dans son couple avec François Hollande.
La seule différence était que les problèmes de couple de son adversaire, pourtant bien connus par la presse, n’étaient pas révélés au grand jour.
“C'est d'ailleurs tellement extraordinaire... Au moment où je vivais cette situation, la candidate de gauche vivait la même situation. Toute la presse était au courant, mais moi je ne savais pas. Mais on parlait de moi et de mes déboires conjugaux chaque minute, et pas un mot sur François Hollande et Ségolène Royal“,
Bien que cette injustice ait été un peu amère pour Sarkozy, celui-ci se permet quand même d’ironiser sur la situation.
"Et d'ailleurs tant mieux, ça m'aurait donné de la sympathie, peut-être une certaine faiblesse vis-à-vis de Ségolène Royal",
confie Nicolas Sarkozy.