Sylvie Vartan ne pouvait pas être avec Johnny avant sa mort à cause de sa belle-mère
Sylvie Vartan, l'ex-femme de Johnny Hallyday et la mère de David Hallyday était à l’honneur dans le magazine “Point de Vue”. Elle y a notamment expliqué les raisons qui l’ont empêchée d’accompagner le rockeur dans les derniers instants de sa vie.
Sylvie Vartan évoque souvent Johnny Hallyday, le père de son fils pour qui elle éprouve une profonde affection. Lors de cette interview, elle a notamment expliqué qu’elle n’a pas pu accompagner le Taulier comme elle l’aurait voulu dans ces derniers instants.
“Je l'avais vu à l'hôpital, mais je n'ai pas pu rester car mon mari perdait en même temps sa maman. Ce fut pour moi une période noire”,
a déclaré la chanteuse.
En effet bien que Sylvie Vartan ait été en couple avec Johnny Hallyday pendant plus de 15 ans, après leur divorce, la maman de David Hallyday a refait sa vie avec le producteur américain Tony Scotti.
Elle explique aussi que pendant les derniers instants du rockeur elle était terrassée parce qu’elle le savait condamné, son fils David lui racontait d’ailleurs tout ce qui se passait autour du Taulier.
De plus lors des obsèques religieuses de Johnny Hallyday à “la Madeleine” qui ont eu lieu le 9 décembre 2017 devant des millions de téléspectateurs.
La mère de David Hallyday était extrêmement mal à l’aise. En effet, la chanteuse de 75 ans a eu l’impression que la cérémonie était une mise en scène.
Mais, la femme de Tony Scotti s’est rattrapée puisqu’elle a organisé des représentations au “Grand Rex” prévues le 23 et 24 octobre 2019 pour rendre hommage à Johnny Hallyday.
D’ailleurs, lors de son passage dans l’émission “Morandini Live”, le 7 octobre 2019, l’ex-femme de Johnny a déclaré avoir toujours été en contact avec le Taulier mais pas quotidiennement.
Sylvie Vartan a toujours soutenu son fils David Hallyday sur le litige de l’héritage de la défunte star, que ce soit publiquement ou en privé. Elle en a d’ailleurs parlé au magazine “Point de vue”. La chanteuse affirme, entre autres, que cette guerre avait dépassé les limites de la décence.