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Bruce Toussaint, accusé de fake news, se défend : les internautes réagissent

Nkongo Odile Carine
01 déc. 2020
20:00

Suite à un de ses Lives sur BFM TV, Bruce Toussaint a été accusé de fake news, par Linda Kebbab. Ce dernier a choisi de ne pas se laisser faire, et d’y répondre face au public. Zoom sur cette affaire.

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Dans son émission Live sur BFM TV, Bruce Toussaint avait abordé le sujet de l’article 24, qui parle du respect de l’image des forces de police.

Cependant, son commentaire n’a pas été apprécié par certaines personnes, et il avait été accusé de propager une “fake news”,

Loin de se laisser faire, il est revenu sur cette histoire, afin de mettre les choses au clair. Découvrez ses révélations.

 Le journaliste Bruce Toussaint pose lors d'une séance photo le 03 juillet 2015 à Boulogne Billancourt, France. | Photo : Getty Images

Le journaliste Bruce Toussaint pose lors d'une séance photo le 03 juillet 2015 à Boulogne Billancourt, France. | Photo : Getty Images

LINDA ATTAQUE LES PROPOS DE BRUCE

Suite à la publication de l’article 24, une crise politique s’est levée, créant des courants divergents entre diverses parties.

En effet, selon cette dernière, la loi punira toute diffusion malveillante d’images de policiers, dans l’exercice de son travail. Seulement, suite à cela, de nombreuses affaires de violences policières ont été révélés, remettant un doute les fondements de cette décision.

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C’était donc sur ce sujet que Linda Kebbab, invitée chez Jean-Jeaques bourdin, a réfuté les informations qui avaient précédemment été mentionnées par Bruce, sur son live.

“...Voire même de certains journalistes, qui jouent le jeu de l’extrême gauche et qui font croire que cet article 24 est liberticide et porte atteinte à la liberté de filmer l’action de police".

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IL BRANDIT SES SOURCES

Rappelons-le, Linda est la déléguée nationale du syndicat de police, Unité SGP ouvrière. Le fait qu’elle se soit attaqué au reportage de Bruce n’est pas entré dans les oreilles d’un sourd, parce que ce dernier a souhaité rétablir sa vérité.

“Linda Kebbab, peut-être malencontreusement, a sans doute arrêté un tout petit peu trop tôt son enregistreur.”

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Celui-ci expliquait qu’avant de partager cette information, il s’était appuyé sur de nombreux témoignages recueillis, lors des manifestations de foules, qui se sont préalablement effectuées. Il proclamait donc être en accord avec ses informations, qui sont toutes, de sources sûres.

"Voilà la précision. Linda Kebbab doit peut-être aussi constater qu’il faut bien vérifier ses sources. C’est un métier, le métier de journaliste."

Les internautes sont souvent révoltés par ce qui se dit, ou ce qui semble être. Découvrez l'histoire de cet appel au boycott d’Omar Sy, sur Twitter.

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