Magali Blandin : "Je suis tellement touchée par ce drame", réagit une ministre
L’histoire de Magali Blandin a été un énorme choc pour les foules, qui ont été nombreuses à s’exprimer sur les réseaux. Sans plus tarder, Amomama vous propose de fait le point sur l’annonce d’Elisabeth Moreno, sur les contours de ce drame.
Le corps de Magali Blandin a fini par être retrouvé dans une forêt. C’est suite à cela, que la famille de la femme disparue le 11 février 2021, a annoncé la date de ses obsèques.
Alors que les annonces concernant cette affaire font couler l’ancre, les internautes sous le choc, sont nombreux à laisser un commentaire bien tranché. Faites un zoom particulier sur l’expression d'Elisabeth Moreno, ministre déléguée à l’égalité femmes-hommes.
UNE HISTOIRE DRAMATIQUE
Le coupable dans l’affaire de Magali, n’est autre que son mari Jérôme Gaillard. En effet, celui-ci est passé aux aveux quelque temps après que le corps de sa femme ait été retrouvé.
Selon les informations, la victime subissait des violences conjugales et était en instance de divorce. Bien qu’elle se soit plainte à la police, son dossier qui n’était pas assez solide, a été classé. Finalement, elle a perdu la vie des mains de son bourreau, qui apparemment, prévoyait son meurtre depuis déjà bien longtemps.
DANS UNE VAGUE DE SENSIBILISATION
Suite au dénouement de cette affaire, Elisabeth s’est exprimée sur ce drame, particulièrement navrant.
"Je suis tellement touchée par le drame de Magali Blandin et de ses quatre enfants qui sont aujourd’hui orphelins, parce qu’un homme n’a pas accepté qu’elle le quitte. C’est ça les féminicides."
Elisabeth Moreno assiste à une séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.|Photo : Getty Images
C’était sur France Info qu’elle partageait son ressenti. Selon cette dernière, il est nécessaire d'éduquer et de sensibiliser tout le monde, mais aussi de sanctionner les délits, afin de mettre les femmes à l'abri.
Comme mentionné plus haut, la plainte de Magali pour violence contre son mari avait été classée sans suite Zoom sur l'explication du procureur de la République à ce sujet.