Yannick Noah a déménagé au Cameroun après sa séparation - Là-bas, il a contracté le paludisme faisant près de 627 000 victimes dans le monde en 2020

Yannick Noah aurait pu mourir sans l’intervention d’un certain docteur Bernard. Son déménagement dans son pays natal a eu quelques répercussions sur sa santé. S’en est-il réellement sorti indemne ?

Ce sont les valises d’un célibataire que Yannick Noah a déposées dans un petit village du Cameroun dont il est devenu le chef. Impliqué à fond dans sa nouvelle fonction et son nouvel environnement, le chanteur aide comme il peut.

Pour lui, il ne fallait pas simplement revenir au pays et se dire être chez soi, il fallait faire quelque chose pour son chez soi. Et ce n’était pas négociable.

Ses projets et son implication pour essayer d’améliorer la vie de son nouvel entourage ne manquent pas mais tout aurait pu s’arrêter à cause d’une maladie qui aurait pu le mettre genoux à terre.

En effet, l’ancien joueur de tennis a récemment vécu des jours assez difficiles à cause de cette grave maladie dont il était atteint. Heureusement, il a pu bénéficier des soins nécessaires à temps et s’en est tiré.

“Ça va mieux”, dit-il ”ça va mieux…j’espère qu’il n’y aura pas de rechute”. Une rechute ? Comment cela une rechute ? Découvrez-en plus en lisant la suite.

LA RUPTURE DE YANNICK NOAH

Isabelle Camus est passée de “Yannick est l’homme de ma vie” à “La séparation était la meilleure solution”. Après dix-huit ans de vie commune, il n’y avait plus de retour en arrière pour le couple.

Certes, rien de leur amour, comme rien de ce qui a été, ne pourra jamais être effacé, mais pour Yannick Noah et Isabelle Camus, c’est fini.

Décidément, l’amour ne survit pas à tout. La séparation est parfois la meilleure solution quand les douleurs, le silence et le chagrin deviennent plus lourds que l'enchantement, la douceur et l’amour.

Tout s’est passé durant le premier confinement, tandis que le couple rentrait à Paris après avoir vécu quatre ans sur un bateau. Apparemment, cette période a remis en cause beaucoup de choses. Chez Gala, la productrice confie :

“Pour Yannick et moi, le confinement a été une épreuve psychologique. Un couple, pour qu’il fonctionne, il faut l’arroser. Nous étions entrés en crise. J’ai eu besoin de réfléchir. La séparation était la meilleure solution. Au second confinement, nous n’étions plus ensemble.”

Quant au chanteur, décidé de profiter pleinement de sa liberté, il a déclaré :

“Quand il y a séparation, chacun est responsable du fait de ne pas avoir réussi à garder la flamme allumée. Mais là, c'est terminé. J'aime trop me réveiller le matin tout seul dans mon jardin. C'est trop bon."

Ainsi, chacun a pris sa vie en main de son côté. Si la productrice d’"Un gars, une fille" a profité de cette séparation, pour se recentrer sur elle-même, le chanteur, lui, est parti entamer une nouvelle vie au Cameroun.

INSTALLÉ AU CAMEROUN SANS FAMILLE

Étoudi, c’est le nom du village où Yannick Noah a déposé ses valises. Et ce n’est pas du tout un hasard car c’est LE village des Noah. En effet, le tennisman n’est pas qu’un simple habitant parmi une dizaine de milliers de personnes qui y vivent.

Par tradition, il est devenu le chef du village. Une situation un peu étrange pour celui qui se sent “très Français”.

Conscient de ne pas forcément détenir toute la sagesse du monde, il s’appuie sur les conseils des anciens afin d’aider comme il peut face aux problèmes des habitants dont il est responsable. Une fonction qui n’est pas toujours évidente mais dont il ne s’est jamais détourné.

Mais le quotidien de Yannick au Cameroun n’est pas que problèmes et doléances. Là-bas, il organise des travaux, notamment pour son nouveau studio de répétition, une salle de gym, l’école qui a appartenu à sa maman et un dispensaire pour les anciens du village.

Il fait aussi des concerts, des répétitions et discute même avec un cuisinier pour travailler sur le menu. Décidément, sa nouvelle fonction n’a pas enlevé l’homme qu’il a toujours été.

Le chef du village transmet également sa passion pour le tennis à des enfants qu’il entraîne. Parmi ses joueurs, Uma, une petite fille de 8 ans prometteuse qu’il a décidé d’accompagner pour l’aider à aller au bout de son rêve.

“J’ai notamment une petite jeune qui joue vraiment, vraiment, bien, qui a des qualités extraordinaires. Et avec son papa et sa maman, notre rêve fou, c’est un jour d’être sur le Central, dans les tribunes et de voir la petite rentrer sur le Central, à Roland Garros”,

dit-il avec le sourire.

Un jour peut-être nous la verrons tous sur ce fameux Central. Après tout, la vie est pleine de surprises et d’ailleurs, aucun rêve n’est jamais complètement inatteignable tant qu’on le nourrit et que la petite lueur reste toujours.

MALADIE MORTELLE SOUDAINE

Yannick Noah aurait pu être un chiffre de plus dans les statistiques de l'Institut Pasteur mais il en a réchappé. L’ancien sportif a vécu des journées pour le moins difficiles à cause de cette maladie qu’il aurait pu contracter durant son séjour à Kribi - une station balnéaire du Cameroun. Néanmoins, grâce au docteur Bernard, “ça va mieux”.

“Ça va mieux !! Merci doc Bernard M .. back to work ! J’espère qu’il n’y aura pas de rechute .. le palu .....🍀😨 direction Seignosse”,

lache-t-il sur Instagram.

Si fort heureusement, ce fut plus de peur que de mal, être atteint de cette maladie n’a fait que renforcer davantage son engagement pour en venir à bout. Un paludisme qui ne cesse de gagner du terrain en Afrique.

Là-bas, il y a des gens qui ont la chance d’avoir l’accès aux soins mais il y en a d’autres pour lesquelles c’est beaucoup plus difficile. Une situation injuste et déplorable contre laquelle Yannick mène un combat à son échelle.

Pour le tennisman, il est temps que cela cesse. Il y a trop de femmes et d'enfants qui meurent de ce fléau. Il faut qu’ils puissent avoir accès à des soins pour prévenir et vaincre ce paludisme.

Quoi qu’il en soit, l’ex d’Isabelle Camus a évité le pire et semble désormais en grande forme pour mener à bien ses projets et ses combats. Comme il l’a si bien dit, il est “Alive and kicking !”.

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