Une femme âgée paie les achats d'une jeune mère pauvre et s'en va rapidement en refusant de dire son nom – Histoire du jour

La pauvre mère a été confuse lorsqu’une femme âgée est sortie en trombe du magasin sans révéler son nom, et a décidé de la suivre. Ce qu'elle a découvert ensuite lui a brisé le cœur.

Jenny Ferguson était déprimée alors qu'elle marchait dans les rayons d'une épicerie en Californie, à la recherche de couches pour sa fille Anne, âgée de quatre mois. Elle était une mère célibataire dont le compagnon les avait quittés, prétextant qu'il voulait être un homme libre.

Jenny a été bouleversée par son abandon, car elle était orpheline et n'avait aucun parent en vie pour subvenir à ses besoins. Mais neuf mois plus tard, alors qu'elle tenait sa fille dans ses bras, elle s'est rendu compte que garder Anne était la meilleure décision qu'elle ait jamais prise. Anne avait de grands yeux bleus comme elle, et elle était adorable – le plus beau bébé du monde pour elle.

Cependant, en parcourant les rayons du magasin pour acheter les couches d'Anne, Jenny était en larmes à cause des prix exorbitants, regrettant sa décision de devenir une mère célibataire. "Les choses ne fonctionneront pas longtemps de cette manière. Je ne pense pas pouvoir offrir une bonne vie à Anne", s’est-elle dit tristement.

Soudain, son regard a été attiré par une étagère où un lot de trois paquets de couches était en vente. Elle a compté ses pièces de monnaie et ses billets et a découvert qu'elle pouvait facilement les payer.

L'humeur de Jenny a rapidement changé et elle s'est précipitée vers le caissier avec les paquets. "Bonjour, je vais prendre ceux-ci, s’il vous plaît !", a-t-elle dit au caissier, en cachant son excitation.

Le caissier l’a regardée de la tête aux pieds, lui jetant un mauvais regard. "C'est 30 dollars, madame. Vous avez l'argent sur vous ?"

"30 dollars ?!", s’est écriée Jenny. "Mais il y a une réduction ! Ils devraient être beaucoup moins chers !"

"Je suis désolé, madame, mais l'offre a expiré. Vous êtes en retard ! Alors, si vous avez l'argent nécessaire, je vais emballer ça pour vous, ou sinon vous pouvez vous écarter parce que d'autres clients attendent leur tour".

"Oh, non", a-t-elle murmuré, les larmes aux yeux. "Je… Je n'ai pas l'argent nécessaire. Pouvez-vous me faire une réduction ? Vous voyez bien que j'ai un bébé. S'il vous plaît...."

Le caissier a ri. "Bien essayé, madame. Mais vos larmes ne serviront à rien ici. Vous n'auriez pas dû venir si vous ne pouviez pas payer vos factures".

Jenny ne pouvait plus contrôler ses larmes. Elle a regardé Anne et a éclaté en sanglots. "Désolée, ma chérie... maman ne pouvait pas...", a-t-elle murmuré à Anne lorsqu'elle a soudain senti une main sur son épaule. Elle s'est retournée et a vu une femme d'environ 80 ans qui se tenait derrière elle.

"Oh, ne pleurez pas", lui a-t-elle dit. "Je vais payer pour vous. Venez avec moi."

Elle a pris la main de Jenny, a acheté des aliments pour bébés, des fruits et du pain, et a dit au caissier de tout enregistrer. "Nous prenons tout, y compris les couches. Emballez tout pour cette femme. La facture est pour moi."

Jenny n’a pas pu s'empêcher de pleurer et a remercié la femme âgée pour son aide. "J'apprécie beaucoup, madame. Je suis désolée de ne pas vous avoir demandé votre nom. Vous êtes..."

"Oh, madame", a dit la femme en haussant les épaules. "Ne vous inquiétez pas. Je dois partir maintenant...." Elle s'est précipitée hors du magasin sans même révéler son nom. Jenny a trouvé cela étrange et a décidé de suivre la femme ce jour-là.

Elle a remarqué que la femme âgée se dirigeait vers une maison délabrée à l'autre bout du quartier. Elle a voulu s'approcher d'elle et lui demander si elle allait bien, mais la petite Anne s’est mise à pleurer et elle a dû se dépêcher de rentrer chez elle. Mais le lendemain, elle est retournée chez la femme âgée.

Lorsque la femme âgée a ouvert la porte, Jenny était choquée. La femme était pâle et faible, et elle avait du mal à respirer.

"Madame, vous allez bien ? Laissez-moi vous aider", a proposé Jenny.

Jenny a rapidement fait entrer la femme âgée à l'intérieur, et lorsqu'elle a regardé autour d'elle, elle a remarqué que des moisissures et de la poussière recouvraient toute la maison. Il n'y avait que quelques bouteilles d'eau dans le réfrigérateur et des produits d'épicerie périmés dans la poubelle d'un coin de la cuisine.

Jenny a versé un verre d'eau à la femme âgée et le lui a offert. "Prenez de l'eau, madame. Vous vous sentirez mieux."

La femme a bu quelques gorgées et a respiré profondément. "Merci beaucoup, ma chère. Qu'est-ce qui vous amène ici ?"

"Je voulais juste vous remercier, madame, pour tout ce que vous avez fait pour Anne et moi. Mais vous n'avez même pas mentionné votre nom hier. Alors..." a-t-elle dit, embarrassée, "je vous ai suivie par curiosité".

"Oh !", la femme âgée a ri faiblement. "Je suis vraiment désolée. Je m'appelle Catherine Fisher. Je ne me sentais pas bien hier. Je n'ai pas mangé depuis des jours et je ne peux pas rester debout très longtemps", a-t-elle avoué timidement. "Je suis allée faire les courses hier, mais vous aviez plus besoin d'argent, alors j'ai décidé de vous aider".

Jenny s’est sentie coupable d’avoir provoqué l'état de faiblesse de la femme âgée et a décidé de l'aider. Elle lui a demandé de s'occuper d'Anne jusqu'à ce qu'elle revienne de l'épicerie. Elle a dépensé tout son argent dans un paquet de soupe qu'elle a préparé pour Mme Fisher. Plus tard, elle a pris un balai et une pelle à poussière et, en quelques heures, la maison de Mme Fisher a été remise en état.

"Mme Fisher, votre maison est rangée ! Il nous reste plus qu’à…" Jenny avait commencé à parler en entrant dans le salon lorsqu'elle a vu la femme âgée pleurer.

"Mme Fisher, que s'est-il passé ? Vous allez bien ?"

La femme âgée a essuyé ses larmes et a montré un tableau accroché au-dessus de la cheminée. On y voit un jeune homme souriant tenant un bébé dans ses bras.

"Ce sont mon fils et mon mari", a expliqué Mme Fisher. "Il y a des années, ils sont morts dans un accident d'avion. J'étais tellement épuisée et faible que je ne pouvais même pas nettoyer leur photo. Maintenant que je peux la voir sans poussière, j'ai l'impression qu'ils sont revenus dans la maison. Merci beaucoup, ma chère."

"Oh, Mme Fisher", a dit Jenny, en la consolant. "Tout va bien. Je suis là, et Anne aussi. Vous savez, en fait, je me demandais....si cela ne vous dérange pas....vous pourriez emménager avec nous. Je n'ai pas de mère, et Anne adorerait vous avoir comme grand-mère !"

La femme âgée a jeté ses bras autour de Jenny et a pleuré à chaudes larmes. "Oh, j'adorerais cela, chérie. J'aimerais vraiment beaucoup", a-t-elle murmuré.

Sur ce, Mme Fisher a vendu son ancienne maison et a emménagé avec Jenny et Anne. Elle a utilisé l’argent pour réparer la maison de Jenny et Anne, qui avait également besoin de réparations. Plus tard, Jenny a trouvé un meilleur emploi et a pu se consacrer pleinement à sa carrière, tandis qu'Anne avait retrouvé son adorable grand-mère qui s'occupait d'elle en l'absence de sa mère.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• L'amour est ce qui fait une famille. Jenny, Anne et Mme Fisher ont appris à compter les unes sur les autres dans les moments difficiles et sont devenues une famille.
• La gentillesse engendre la gentillesse. Mme Fisher a aidé Anne et Jenny, et en remerciement, Jenny a décidé de s'occuper de Mme Fisher et l'a chaleureusement accueillie dans sa maison.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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