Un homme riche de 52 ans qui ne sort qu'avec des mannequins tombe amoureux d'une pauvre caissière de café de son âge – Histoire du jour

Un homme riche de 52 ans qui ne sort qu'avec des femmes plus jeunes tombe amoureux d'une femme de son âge qui n'est pas impressionnée par son argent et son pouvoir.

Paul Barnett n'était pas un romantique. Ce n'était pas un homme aimable. Il était désagréable et universellement détesté. Mais ce n'était pas grave. Paul Barnett pouvait se permettre d'être détesté, voire haï, car il était extrêmement riche.

Ainsi, lorsqu'il était grossier avec ses employés ou qu'il les malmenait, ils souriaient et disaient : "Oui, M. Barnett." Paul payait d'énormes salaires pour s'en assurer, et c'est pourquoi il était extrêmement généreux avec ses nombreuses petites amies.

Paul aimait les belles femmes et a donc fréquenté une série de mannequins éblouissants, assez jeunes pour être ses filles (bien qu'il ne se soit jamais marié). Ses relations étaient généralement brèves et superficielles – il était difficile de rester avec lui.

Les femmes avec lesquelles il a eu des relations l'auraient décrit comme inconsidéré, égoïste et grossier. Il était tout cela et il pensait que puisqu'il les couvrait de bijoux, de voitures et de vacances exotiques, il avait le droit d'être comme cela – avec tous ses défauts.

Bien sûr, le résultat de tout cela est qu'en fin de compte, Paul était un homme extrêmement seul. Il savait que tous ceux qui supportaient son entreprise depuis longtemps étaient là pour l'argent, qu'il s'agisse d'employés ou de partenaires romantiques.

Ce qui est triste, c'est que Paul aurait pu être un charmeur. Il était grand, beau et en pleine forme pour ses 52 ans. Lorsqu'il souriait (rarement), il donnait à son entourage un aperçu de l'homme qu'il aurait dû être. Mais ce n'était qu'un aperçu. Quelques secondes plus tard, les volets claquaient et Paul Barnett redevenait un dur à cuire.

Un jour, Paul a passé une mauvaise journée. Lors d'une réunion avec ses chefs de service au sujet d'un retard dans un nouveau projet, il a fini par piquer une crise de colère qui a fait fondre en larmes la moitié de son personnel et étouffer l'autre moitié sous l'humiliation. Il a crié : "Demain, j'attends des suggestions COMPÉTENTES !" et a claqué la porte de la salle de réunion derrière lui.

Il est sorti en trombe du bâtiment et s’est rendu compte qu'une douleur persistait entre ses sourcils. Il a gémi. C'était un mal de tête, et un mauvais mal de tête.

Son médecin lui avait dit que ses maux de tête étaient dû à son stress et lui avait proposé des médicaments, mais il avait refusé. Ce qui l'aidait souvent, c'était le café, un expresso, le plus fort possible.

Paul a aperçu un petit café situé entre deux grands restaurants et s’est dirigé vers celui-ci. C'était un petit endroit, mais d'après l'arôme qui embaumait l'air, le café était bon.

Il s'est approché du comptoir et a demandé un expresso à la femme qui se trouvait derrière. Celle-ci a souri. "Brazillian, Tanzania ou Sulawesi ?"

Paul a gémi de plaisir. "Vous êtes sérieuse ?"

La femme a souri. "Je les prépare sous vos yeux. Vous avez le choix ou vous pouvez essayer le mélange spécial de Lucie".

"Qui est Lucie ?", a demandé Paul.

La femme a ri. "C'est vrai ! Et croyez-moi, je peux vous emmener au paradis du café !"

Paul ne faisait pas que sourire, il riait ! Il a regardé la femme. Elle était jolie, très jolie, avec des yeux marron chocolat et une crinière de boucles noires. "Essayons ce fameux mélange spécial, Lucie !", a dit Paul.

Le café était tout aussi bon que Lucie le prétendait et Paul s’est mis à boire sa tasse en s'attardant sur la conversation. Finalement, il a payé son café et est parti avec un vague sentiment de regret.

Cette nuit-là, il n'a cessé de penser à Lucie. Elle n'était pas jeune, réalisa-t-il. Ce n'était pas du tout son genre ! Il y avait des petites lignes autour de ses yeux qui se plissaient de façon charmante lorsqu'elle souriait, et quelques mèches d'argent sur ses tempes.

"Elle doit avoir une quarantaine d'années au moins", s’est-il dit. Mais penser à Lucie en termes d'âge ne lui semblait pas correct, ni réduire l'impact puissant de son sourire ou la qualité apaisante de sa voix.

Paul était intrigué et attiré, mais il savait qu'une relation avec Lucie n'aurait rien à voir avec ses brèves aventures avec de jolis visages superficiels. À ce moment-là, il s'est demandé s'il était prêt à s'engager.

Tôt le lendemain matin, Paul est venu boire une tasse de mélange spécial de Lucie et discuter avec la propriétaire avant de se rendre au bureau. Même s'il ne s’en était pas rendu compte, c'était un homme différent qui était entré dans l'entreprise.

Le pouvoir et l'argent ne donnent pas aux gens le pouvoir d'humilier les autres.

Il avait les mains dans les poches et sifflait. Il a dit à la réceptionniste "Bonjour, Marge" et les coins de ses lèvres se sont contractés. Il a presque souri !

Marge était en état de choc, tout comme les chefs de service, lorsque Paul a écouté leurs propositions calmement et sans interruption, et qu'il s'est rallié à leurs conclusions !

Ce soir-là, en rentrant chez lui, Paul est passé à nouveau au café de Lucie. "Je crois que ce café est magique !", a dit Paul en souriant.

"Oui, c'est vrai." Lucie lui a rendu son sourire. "En tout cas, tous mes clients le disent !"

"Vous devriez le commercialiser", a dit Paul. "Vous feriez fortune."

"Pourquoi voudrais-je faire ça ?" Lucie a froncé les sourcils. "Alors, je ne serais plus ICI en contact avec les gens, en train de voir le plaisir que mon café leur procure".

"Mais... et l'argent ?", a demandé Paul, effaré.

"Je gagne suffisamment pour mes besoins et mon avenir", a souligné Lucie. "Que ferais-je avec PLUS ?" Ce soir-là, Paul s'est demandé ce qu'IL faisait des centaines de millions de "plus" qu'il possédait.

La réponse, bien sûr, est : rien. L'argent restait là. Alors pourquoi travaillait-il 14 heures par jour pour en gagner encore plus ? Le lendemain, il a invité Lucie à dîner et elle a accepté.

La vie de Paul a commencé à tourner autour du petit café et de Lucie. Il la voyait le matin et le soir en rentrant chez lui, et maintenant, ils dînaient ensemble au moins deux fois par semaine.

Leur amitié a grandi et Paul a enfin trouvé le courage de lui tenir timidement la main. Il n'avait jamais été timide avec ses petites amies, pas du tout, mais avec Lucie, il se sentait comme un garçon lors de son premier rendez-vous.

La transformation de Paul Barnett est devenue une merveille dans son entreprise. Il était plus accessible, moins grossier et abrupt, et parfois même souriant. Il était presque humain !

Un jour, Paul a pris une décision. Il allait demander à Lucie de l'épouser. Il a réservé une table dans un restaurant italien romantique, éclairé aux bougies et animé par des violonistes tziganes, et a donné rendez-vous à Lucie.

La soirée est un vrai régal ! La nourriture était incroyable et Lucie était toujours aussi géniale. Le moment venu, il a posé sa serviette sur la table et s'est agenouillé, une petite boîte à la main.

Malheureusement, au moment où il s’est agenouillé, le violoniste du restaurant se promenait en jouant une chanson romantique et il n'a pas vu Paul. Le résultat fut un désastre.

Le violoniste a heurté Paul et l'a laissé s'étaler face contre terre sur le tapis aux pieds de Lucie, et la petite boîte s'est envolée de sa main et a atterri dans le minestrone de l'homme à la table voisine.

Paul s’est levé d'un bond, rouge comme la betterave et furieux. "Espèce de mufle !", a-t-il hurlé. "Vous ne regardez pas où vous allez ?" Le violoniste a commencé à s'excuser, mais Paul ne l’a pas écouté.

"Pour qui vous prenez-vous ? Un violoniste de seconde zone !", s'est-il emporté. "Je vais vous faire virer ! Vous ne travaillerez plus jamais dans cette ville..."

Un mouvement a attiré son attention. Lucie se levait et se détournait. "Lucie !", a-t-il appelé. "Je suis désolé que cet idiot ait gâché notre soirée !" Paul a brandi la petite boîte dégoulinant de soupe. "J'allais te demander en mariage..."

Lucie était très pâle. "Alors je dois être très reconnaissante au garçon, car j'aurais dit oui", a-t-elle dit tristement. "Mais maintenant, grâce au pauvre violoniste, je vois qui tu es vraiment. S'il te plaît, Paul, ne t'approche pas de moi."

Paul l'a laissée partir, mais le lendemain, il lui a envoyé des fleurs pour s'excuser. Il lui a envoyé des textos, mais en vain. Lucie lui a répondu par un message : "Paul, l'homme que j'ai vu au restaurant, n'est pas quelqu'un que je veux dans ma vie. Je suis désolée."

Le lendemain matin, Paul était là, suppliant Lucie de lui donner une seconde chance, mais elle s'est contentée de secouer la tête. "Mais Lucie", a-t-il dit. "Tu n'as pas idée de la façon dont tu m'as changé..."

"Écoute, Paul", a dit Lucie. "Je ne peux pas te changer. La seule personne qui peut te changer, c'est TOI, et tu dois VOULOIR changer. Je ne pense pas que tu le veuilles. Je crois que tu ne te connais même pas toi-même."

Paul est reparti dévasté, mais il n'est pas redevenu aussi désagréable qu'avant. Il a commencé à réfléchir avant de réagir et à s'adresser aux gens de manière polie. Il s'est enfin rendu compte à quel point il était seul et malheureux.

Au bout de trois mois, Paul n'en pouvait plus et est entré dans le café de Lucie. "J'ai changé", s’est-il exclamé. "Je ne sais pas comment je vais te le prouver, mais j'ai changé, je t'aime et je veux t'épouser !"

Lucy a haussé le sourcil. "Tu as vraiment changé ? Alors fais-moi plaisir et apporte ce cappuccino à la troisième table, c'est un de nos clients réguliers".

Paul a regardé le cappuccino sur le plateau, puis les yeux bruns de Lucie. "Tu veux que je serve... je ne suis pas un serveur...". Puis il a pris une grande inspiration. "D'accord ! Pas de problème."

Paul s’est dirigé vers la troisième table et a placé le cappuccino devant un vieux monsieur. "Votre cappuccino, monsieur", a-t-il dit en souriant.

L'homme a levé les yeux vers Paul et a grogné : "Cappuccino ? Quel cappuccino ? Est-ce que j'ai l'air d'un buveur de cappuccino qui n'a rien à faire là ? Êtes-vous un imbécile ? J'ai commandé un expresso !"

Paul a levé les yeux et a vu Lucie qui l'observait attentivement. "Je suis vraiment désolé, monsieur", a dit Paul d'une voix douce. "Je suis nouveau, c'était une erreur de débutant... Permettez-moi de vous apporter un expresso et un muffin de la maison avec mes sincères excuses !"

Paul a apporté à l'homme son expresso et son muffin et est retourné auprès de Lucie. "Tu as fait exprès de te tromper de commande ?", a-t-il demandé.

Lucie a un grand sourire. "Oui, je l'ai fait ! Je savais que le vieux M. Solomon te ferait la leçon et je voulais voir comment tu réagirais. Tu as certainement fait quelques changements".

"Une chose n'a pas changé", a dit Paul timidement. "Je t'aime toujours, et j'aimerais t'inviter à dîner ce soir pour te poser la question..."

"Oui !", a dit Lucie.

"Génial !", a dit Paul. "Je passe te prendre à huit heures ?"

"Non, idiot", a dit Lucie en riant. Je voulais dire "OUI" à la question. Oui, je vais t'épouser !" Et c'est ce qu'elle a fait, et tous les employés de Paul lui ont été reconnaissants jusqu'à la fin des temps.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Traitez les gens comme vous aimeriez qu'ils vous traitent. Le pouvoir et l'argent ne donnent pas aux gens le pouvoir d'humilier les autres. La gentillesse et la politesse ne coûtent rien et rapportent énormément.
• Il n'est jamais trop tard pour changer les choses. Paul avait pris l'habitude de piétiner tout le monde, mais lorsqu'il a rencontré Lucie, il s'est rendu compte qu'elle ne supporterait pas son comportement.

Partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait égayer leur journée et les inspirer.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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