Un vieux coiffeur surprend son client en lui rendant service ; le lendemain, le client revient avec une pochette de documents – Histoire du jour

Un homme d'affaires s'arrête dans un petit salon de coiffure d'une petite ville pour une coupe rapide et est stupéfait par le niveau de service qu'il obtient pour le prix qu'il paie.

Jordan Sportal était en visite dans l'une des succursales de son entreprise dans le Massachusetts et il était très contrarié. C'était le deuxième jour d'une réunion marathon avec ses directeurs et ils ne semblaient pas comprendre ce qu'il voulait.

Jordan est passé devant un vieux salon de coiffure et, sur un coup de tête, a décidé de s'arrêter. Il a garé sa voiture, est sorti et s'est dirigé vers la porte. À côté, il y avait un poteau rouge et blanche, comme il s'en souvenait lorsqu'il était enfant.

Jordan ne le savait pas, mais il était sur le point de faire un voyage dans le temps, à une époque plus gracieuse.

Jordan a entendu une cloche d'argent sonner lorsqu’il est entré dans le salon de coiffure et un homme d'une cinquantaine d'années est apparu à l'arrière du salon. Il portait une tunique blanche impeccable et affichait un large sourire de bienvenue.

"Bienvenue, monsieur !", s’est-il écrié. "Comment puis-je vous servir au mieux ?"

Plus on donne, plus on reçoit.

"Je voudrais une coupe rapide", a dit Jordan. "Je ne me sens pas très bien..."

"Vous le serez bientôt", a déclaré joyeusement l'homme en conduisant Jordan vers l'un des fauteuils de barbier en cuir rouge et en chrome brillant. "Asseyez-vous et je vais m'occuper de vous".

Jordan s’est enfoncé dans le fauteuil avec un soupir et a appuyé sur ses pieds. Cela lui faisait du bien d’être pris en mains de quelqu'un d'autre. "Alors", a-t-il demandé, "combien coûte une coupe de cheveux ?"

"25 dollars pour une coupe de cheveux", a dit l'homme. "Et si vous voulez un rasage avec un massage, c'est 16 dollars de plus."

"Prenons le traitement complet", a dit Jordan. "Pourquoi pas ?"

L'homme est revenu rapidement et a placé des serviettes chaudes parfumées sur le visage de Jordan. "Puis-je vous apporter quelque chose à boire, monsieur ?", a demandé le coiffeur. "Un expresso, un soda ou de l'eau glacée ?"

Jordan a fixé l'homme. Dans son salon de coiffure new-yorkais, il a payé près de 90 dollars pour une coupe de cheveux, et il n'a bénéficié d'aucun traitement de faveur ! "J'aimerais bien de l'eau glacée", a-t-il répondu.

L'homme est revenu avec l'eau et a retiré les serviettes chaudes du visage de Jordan. Il a alors commencé à lui appliquer une crème parfumée. "Cela va adoucir la peau et rendre le rasage plus doux", a-t-il expliqué. "Mais le mieux est de la laisser pendant 20 minutes. Que diriez-vous d'un journal pour passer le temps ?"

"Un journal ?", s’est écrié Jordan, ravi. "Je n'ai pas tenu un journal depuis des années !"

Il s’est assis et a lu le journal que le coiffeur lui avait apporté jusqu'à l'heure du rasage. L'homme lui a alors coupé joliment les cheveux et a ajouté de la lotion. "Voilà !", a-t-il dit. "Parfait !"

Jordan s’est levé et s’est approché du miroir pour regarder sa coupe de plus près. C'est alors qu'il a remarqué les mots soigneusement peints au pochoir sur la vitre : "Que vous veniez ici pour une coupe de cheveux ou pour discuter, vous êtes le bienvenu. Alors, asseyez-vous et enlevez votre chapeau !".

"C'est une belle devise !" Jordan a souri.

"C'est ce que je crois", a dit l'homme. "Lorsqu'un client entre, il est mon invité et je l'accueille comme tel. Je veux qu'il se sente détendu et qu'il prenne du plaisir. Ainsi, il deviendra un ami et reviendra toujours."

"J'aime votre façon de penser !", a dit Jordan à l'homme. "Vous avez toujours été coiffeur ?"

L'homme a souri. "Oui et non... Quand j'étais adolescent et quand j'étais à l'université, j'aidais mon grand-père dans son salon de coiffure", a expliqué l'homme. "Puis j'ai obtenu mon MBA et je me suis trouvé un emploi en tant que cadre supérieur dans une entreprise."

"Vingt ans plus tard, je me suis retrouvé au chômage lorsque l'entreprise pour laquelle je travaillais a fait faillite, alors je suis revenu au salon de coiffure..."

Jordan est resté bouche bée. "Vous êtes passé du jour au lendemain d'un poste de cadre supérieur à celui de coiffeur ?"

"Il n'y a pas de différence, vous savez", a dit doucement le coiffeur. "Mon grand-père m'a appris que quoi qu’on fasse, on doit faire de notre mieux, et c'est ce que je fais. J'étais le meilleur cadre, maintenant je suis le meilleur coiffeur".

Jordan a payé l'homme (qui s'appelle Oscar Martin) et est parti en réunion avec ses responsables. Mais tout au long de sa réunion, il n’a cessé de repenser à sa conversation avec le coiffeur.

Le lendemain matin, de bonne heure, Jordan a frappé à la porte du salon de coiffure d'Oscar et a sonné avec enthousiasme. "Écoutez", a dit Jordan. "J'ai une proposition à vous faire..."

"J'aime votre façon de penser. Votre conception du service à la clientèle est EXACTEMENT ce que je veux pour mon entreprise, leur donner le meilleur, pas le strict minimum..."

Oscar a regardé Jordan, confus. "D’accord..." a-t-il dit en hésitant. "Mais...

"Je veux que vous veniez travailler pour moi en tant que responsable des services. Regardez !" Jordan tenait un épais dossier à la main. "J'ai un contrat ici. Je pense que vous trouverez le salaire très intéressant..."

Oscar était triste de quitter son salon de coiffure, mais il était enthousiaste à l'idée de relever un nouveau défi. Il a commencé à mettre en œuvre ses concepts de service à la clientèle dans l'ensemble des nombreuses succursales de l'entreprise de Jordan.

À la fin de la deuxième année, les bénéfices avaient énormément augmenté et leurs clients sont devenus fidèles. "Wow !", s’est écrié Jordan en serrant la main d'Oscar. "Vous m'avez vraiment aidé !"

Oscar a souri et a secoué la tête. "Vous savez, si vous traitez bien les gens, ils reviennent toujours, et plus vous donnez, plus vous recevez !"

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Plus on donne, plus on reçoit. Oscar savait que la générosité est récompensée par la générosité, et il a appliqué ce concept dans son entreprise.
• Faites de votre mieux dans tout ce que vous entreprenez. Oscar faisait toujours de son mieux. Qu'il s'agisse de diriger une entreprise ou de couper les cheveux, il se donnait à 100 %.

Partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait égayer leur journée et les inspirer.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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