Le dernier jour après son licenciement, un jardinier trouve des bijoux dans un pot de terre à côté de la maison de son patron – Histoire du jour

Jacob travaillait comme jardinier et essayait de collecter de l'argent pour sa mère malade. La fille de son patron, Lucie, était une gentille fille qui voulait l'aider, et elle en a parlé à son père. Ce dernier a pensé que Jacob avait dupé sa fille et l'a renvoyé, mais Jacob a découvert quelque chose de choquant lors de son dernier jour de travail.

"Maman, tout va bien se passer. J'ai de plus en plus de travail, grâce à M. Barnes, et je vais obtenir l'argent pour tes médicaments et tout ce dont tu as besoin", a assuré Jacob à sa mère au téléphone. Elle l'avait appelé, interrompant son travail chez M. Barnes, mais il répondait toujours en cas d'urgence.

Alors qu'il remettait son téléphone dans sa poche après avoir dit au revoir à sa mère, il a découvert que la fille de M. Barnes, Lucie, se tenait juste à côté de lui. Elle avait 12 ans et était étonnamment gentille, compte tenu du fait qu'elle était née dans une famille très riche du Connecticut.

"Hey Jacob", a-t-elle dit, les mains derrière le dos, en balançant son corps d'avant en arrière.

La parcelle de terre avait l'air toute neuve, comme si quelqu'un y avait travaillé la veille, mais cela n'avait pas de sens.

"Hé, Lucie. Comment vas-tu ? Je plante aujourd'hui à cet endroit, les roses que ton père a dit que tu voulais", lui a-t-il dit en souriant.

"Tu as besoin d'argent pour quelque chose ?", a dit Lucie, ignorant ce qu'il venait de lui dire.

Jacob a acquiescé à contrecœur. "Oui, ma mère est malade. Mais ce travail va vraiment nous aider, et ton jardin sera le plus beau du quartier."

Lucie a acquiescé, les lèvres pincées, et est revenue sur le sujet du jardinage.

Le lendemain, Jacob est arrivé au travail et a été accueilli par un M. Barnes au visage rouge et à l'expression pleine de colère. "Vous avez poussé ma fille à me demander de l'argent ! Comment osez-vous, espèce de bon à rien ?", lui a crié le vieil homme d'affaires.

Jacob a levé les mains pour se défendre. "Non, monsieur. Je n'ai jamais fait ça. Je le jure ! Je ne ferais jamais ça !"

Mais M. Barnes n’a voulu rien entendre. Il a secoué la tête, pointé son doigt vers Jacob et lui a dit : "Je veux que vous finissiez le travail d'aujourd'hui parce que vous avez laissé une horrible tache de terre sur le côté de la maison. Mais c'est votre dernier jour ici ! Est-ce que vous comprenez ?", a demandé M. Barnes à Jacob.

Jacob ne pouvait que hocher la tête, choqué, et M. Barnes s’est éloigné à grands pas, toujours en colère contre lui. Jacob s’est dirigé vers le hangar, les épaules voûtées, se lamentant d'avoir perdu l'un des contrats les mieux payés qu'il ait jamais eus. Il n'avait pas encore terminé la moitié de son travail, et maintenant il ne gagnerait plus assez d'argent pour le traitement de sa mère.

Il aurait préféré que Lucie ne dise rien, mais c'était une jeune fille adorable qui voulait seulement aider. Ce n'était pas de sa faute. Il a pris ses outils dans la remise et a inspecté la parcelle de terre dont parlait M. Barnes, même s'il ne se souvenait pas d'avoir commencé à travailler sur cette section.

La parcelle de terre semblait toute neuve, comme si quelqu'un y avait travaillé la veille, mais cela n'avait aucun sens. Il était sûr de n'avoir touché à rien dans cette zone. Hier, il s’était juste occupé des roses de Lucie qui se trouvaient à quelques mètres de là.

Il a commencé à fouiller dans la terre, pensant que c'était peut-être un chien qui cachait quelque chose, puis sa main a touché une surface dure. Il a retiré sa main, choqué, puis a pris la pelle et a creusé. Le tintement qu'il a entendu indiquait que quelque chose de métallique avait été enterré là, et il s’est mis à genoux pour découvrir les objets.

Jacob a sursauté lorsqu'il a sorti de terre un calice en or, suivi d'une horloge ancienne et de plusieurs bijoux. Il était en train d'inspecter les objets lorsqu'un énorme mugissement a retenti derrière lui.

"COMMENT AVEZ-VOUS VOLÉ CES OBJETS ? VOUS ÊTES ENTRÉ DANS MA MAISON ET VOUS AVEZ PRIS NOS AFFAIRES ? Oh mon Dieu, même les bijoux de ma grand-mère ! J'appelle le 911 immédiatement, espèce de voleur !", a hurlé M. Barnes et s’est retourné, sans doute pour prendre le téléphone, mais Lucie est sortie précipitamment.

"NON ! PAPA ! NON ! C'est moi qui les ai enterrés là !", a-t-elle révélé, choquant les deux adultes.

"N'essaie pas de le défendre, Lucie. C'est un voleur !", a grondé son père, toujours en colère mais baissant le ton pour la petite fille.

"Je ne défends personne. Quand tu m'as dit hier soir que ses problèmes d'argent n'étaient pas les nôtres, j'ai pris quelques objets. Nous n'en avons pas besoin, mais ils pourraient vraiment aider la mère de Jacob !" Lucie s’est mise à pleurer.

Alors que M. Barnes est choqué par les aveux de sa fille, Jacob a pris la parole. "Monsieur, je vous jure que je n'ai jamais rien dit ni demandé à votre fille, et que je n'aurais pas gardé ces objets non plus. Je les ai juste découverts parce que vous m'avez parlé de ce pot de terre."

L’homme âgé a regardé Jacob et a hoché la tête, même s'il était évident qu'il était sous le choc. Mais il a ensuite vérifié les caméras de sécurité et a constaté que sa fille avait effectivement enterré les objets tard dans la nuit. Il s'est excusé auprès de Jacob pour son emportement et lui a permis de conserver son emploi.

Pour se faire pardonner, l'homme d'affaires a parlé à plusieurs de ses amis de Jacob et de la qualité de son travail. Cela a permis à Jacob d'avoir plus d'opportunités d'emploi dans leur quartier aisé, ce qui lui a finalement permis de payer les traitements dont sa mère avait besoin.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Ne jamais juger une personne en fonction de son statut social ou de sa profession. M. Barnes s'est méfié de Jacob lorsque Lucie a demandé de l'argent pour lui et a supposé que son jardinier lui avait volé des bijoux. Mais il s'est trompé et s'est excusé à la fin.
• Les enfants ont une vision du monde plus simple et plus douce que la plupart des adultes. Lucie ne comprenait pas pourquoi son père était si en colère alors qu'elle voulait simplement aider. C'est parce que les enfants peuvent voir le monde avec naïveté et avec un cœur pur.

Partagez cette histoire avec vos amis. Elle pourrait égayer leur journée et les inspirer.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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