Un sans-abri trouve un sac étrange dans une benne à ordures et s'achète une grande maison et une voiture le lendemain – Histoire du jour

Johnny, 46 ans, fouillait dans la benne à ordures lorsqu'il a trouvé un sac contenant 5 millions de dollars. Il s’est enfui avec l'argent et s'est acheté un manoir et une voiture. Mais les choses ont pris une mauvaise tournure lorsque des gangsters sont arrivés sur le pas de sa porte, exigeant de récupérer leur argent.

"Ugh... c'est plus que pourri !" Johnny a grimacé de dégoût tandis que ses mains usées s'enfonçaient dans les profondeurs de la benne et en sortaient un hamburger rassis et à moitié mangé. L'odeur âcre de pourriture et d'humidité émanant de la poubelle publique de City Park était nauséabonde. Mais Johnny n'était pas du genre à abandonner.

En continuant à creuser, il a trouvé un étrange sac poubelle noir qui a attiré son attention. Curieux, Johnny l’a fait sortir et l’a ouvert dans l'espoir d'y trouver de la nourriture. Mais ses yeux se sont écarquillés d'horreur lorsqu'il l’a ouvert. Des liasses de billets de 100 dollars bruts et intacts étaient cachés à l'intérieur du sac...

"Est-ce que... Est-ce que cette chose est réelle ?" Johnny a regardé anxieusement autour de lui, s'assurant que personne ne l'avait vu, et s’est précipité vers un passage souterrain isolé à proximité, où il se cachait dans un coin tranquille et comptait les billets.

"Jésus-Christ ! C’est quoi tout ça ?" Johnny était choqué. Il y avait trop de billets pour les compter, mais d'après ses calculs, l'argent devait être à peu près 5 millions de dollars.

Johnny a caché le sac rempli d'argent dans son chiffon et s’est dépêché de rejoindre son vieil ami, Billy, ancien sans-abri devenu concierge dans un café.

"Quoi ? Tu as hérité de 5 millions de dollars ?" Billy a sursauté lorsque Johnny lui a montré l'argent dans un coin tranquille.

"Oui, mon pote. Je ne savais pas que j'avais un grand-père qui me laisserait autant d'argent. Mais Bill, je ne suis plus un sans-abri ! Je suis riche ! Hé, mec, j'ai besoin d'une faveur de ta part".

Billy s’est frotté le menton et a acquiescé. "Quel genre de faveur ?"

"Je veux que tu m'aides à acheter une maison et une voiture d'ici demain !"

Billy a laissé échapper un petit rire. "Tu dois te détendre, mec. Ce n'est pas possible. Et quelle est l'urgence ?"

"Écoute, mec. Tu sais, je suis sans abri depuis une éternité. Je n'ai pas de carte d'identité et tous les papiers dont ils ont besoin... Fais juste enregistrer cette maison à ton nom. Et tu n'as pas à le faire gratuitement, mec. Tu m'achètes la voiture et la maison, et 100 000 dollars en liquide sont à toi. Pense à l'aide que ça peut apporter à Ellie !"

La fille de Billy, Ellie, âgée de 15 ans, vivait avec ses parents d'accueil parce que Billy avait été privé de ses droits parentaux il y a plusieurs années en raison de ses mauvaises conditions de vie et de son statut de sans-abri.

Billy voulait l'envoyer dans un bon collège et compenser son absence dans sa vie. Et cet argent pourrait l'aider.

"Très bien", a dit Billy. "Je connais un agent immobilier qui s'en chargera pour quelques dollars de plus."

"Parfait, mec ! Merci !" Johnny a souri à son ami.

Le lendemain, Billy et Johnny ont rencontré l'agent immobilier, et Johnny était désormais propriétaire d'un manoir. L'agent immobilier a rapidement rempli les formalités et Johnny lui a donné un généreux pourboire. Les deux amis se sont ensuite rendus dans un garage de la ville pour acheter la voiture de Johnny.

"C'est ce que j'appelle une bête sur roues !" Le rire bruyant de Johnny résonnait à travers la fenêtre ouverte alors qu'il conduisait sa nouvelle voiture et descendait la rue à toute allure.

"Hé, mec... Et si on fêtait ça ce soir ?" a demandé Johnny à Billy alors qu'ils s'arrêtaient devant le manoir de Johnny.

"Eh bien, j'ai encore un travail à faire au cimetière demain. Un autre jour, ouais ? Et ne me convainc pas encore une fois parce que je dois vraiment partir", a dit Billy en sortant de la voiture. "Et merci pour les 100 000 dollars."

"Tu l'as mérité, mon pote !" Johnny a mis sa main autour de sa bouche et a crié tandis que Billy s'éloignait.

Johnny a bu une bière et s'est assoupi dans son lit cette nuit-là, avant de se réveiller au son de quelqu'un qui frappait à sa porte. "Qui cela peut-il être ? Il a mis son peignoir et s’est précipité vers la porte.

Sur le pas de la porte se tenait un groupe de six hommes vêtus de noir, et Johnny déglutit en les regardant de la tête aux pieds – des tatouages sur leur cou, leurs visages portaient des piercings – Johnny savait qu'il s'agissait de gangsters.

"Vous pensiez vraiment qu'on ne trouverait pas la personne qui a volé cinq millions dans la benne à ordures et qui erre dans les rues ?", a crié le chef de gang, donnant des frissons à Johnny.

"Cinq millions ? Je... je ne sais pas de quoi vous parlez !", a-t-il dit en reculant d'un pas.

"Vous le saurez maintenant", l'homme a sorti un couteau Bowie et a fait irruption dans le manoir avec son gang. "Vous vendez votre maison et votre voiture et vous nous donnez chaque centime de la vente, vous comprenez ? Et oui, vous devez nous donner un petit bonus – 10 % de plus – pour avoir bousillé nos plans. Oh, et le reste de l'argent que vous avez caché ici... Allez prendre cet argent !"

"Oui... oui, je vais le chercher". Terrifié, Johnny s’est précipité à l'étage pour récupérer l'argent, mais alors qu'il rangeait tout l'argent restant dans son sac, il a pris une décision en une fraction de seconde.

Johnny a sauté par la fenêtre et s'est précipité vers la sortie aussi vite qu'il le pouvait. Il s'est arrêté dans un magasin d'occasion et s'est acheté de nouveaux vêtements. Il a ensuite couru jusqu'à un vieux motel sur l'autoroute pour y passer la nuit.

"J'ai besoin d'une chambre. Je n'ai pas de papiers d'identité sur moi, mais je peux vous donner un bon pourboire, d'accord ?" Il s’est approché de l'employé du motel, haletant.

"Écoutez, monsieur, c'est contraire à notre politique..."

Johnny a sorti une liasse de billets et la lui a montrée, ce qui a rapidement changé les intentions de l'homme.

"D'accord, d'accord, monsieur. Chambre 206. Deuxième à gauche en haut."

Johnny a passé la nuit au motel, mais la rencontre avec les gangsters lui revenait sans cesse à l'esprit. Johnny savait qu'il devait fuir la ville, mais il ne pourrait pas le faire sans une pièce d'identité.

"Il y a une casse automobile pas loin d'ici..." pensa-t-il soudain. "Oui, ça ferait l'affaire !"

Le lendemain, Johnny s’est rendu au salon de coiffure dès la première heure. Il s’est rasé le crâne et la barbe pour que personne ne le reconnaisse. Puis il s’est rendu à la casse automobile.

"Vous avez une voiture en bon état ?", a-t-il demandé à un garagiste. "J'en ai besoin de toute urgence."

"Eh bien, j'ai peut-être quelque chose pour vous. Suivez-moi", a dit l'homme en conduisant Johnny vers une Mustang bon marché et usée. "500 dollars, et cette vieille beauté est à vous."

"Super, oui. Mais le problème, c'est que j'ai besoin de quitter cet état rapidement, et la paperasse et tout le reste, ce n'est pas vraiment mon truc. Si vous voyez ce que je veux dire, n'est-ce pas ?"

"Écoutez, monsieur, c'est techniquement illégal de faire un marché comme ça, mais 5000 dollars en liquide, ça pourrait peut-être arranger les choses."

"Parfait !" Johnny a donné l'argent à l'homme et a quitté la casse au volant de sa nouvelle voiture. Cependant, alors qu'il s'apprêtait à passer la frontière entre les États-Unis et le Mexique, son téléphone a sonné, l'incitant à s'arrêter.

"Hé, Billy. Jésus, il s'est passé tellement de choses. Écoute, j'ai des nouvelles...", a-t-il dit en décrochant, avant d'être interrompu par une voix menaçante à l'autre bout du fil.

"On dirait que Billy n'a pas pu décrocher le téléphone, Johnny", a dit le gangster en riant. "Vous pensiez vraiment pouvoir vous enfuir avec l'argent ? Pour votre information, votre ami n'est plus avec nous. Le pauvre. Il s'est arrêté de respirer quand nous avons pointé le pistolet sur sa tempe. Mais il nous a épargné une balle... et notre temps."

Le cœur de Johnny s'est effondré. "Vous... Vous avez tué Billy ?! Mais il n'a rien fait !"

"Eh bien, on dirait que quelqu'un a fait enregistrer sa propriété au nom de son ami. Écoutez, Johnny Boy, on vous retrouvera même en enfer. Et vous connaîtrez le même sort que votre ami le jour où nous nous rencontrerons."

Lorsque le gangster a raccroché, Johnny s'est cogné la tête contre le volant et a juré. Il savait qu'il ne pourrait pas échapper aux gangsters et c'est à ce moment-là qu'il a pris une décision qui a changé sa vie.

Johnny a fait demi-tour et s'est dirigé vers la ville. S'arrêtant devant un magasin de farce et attrappes, il s'est approché du vendeur et lui a demandé : "Avez-vous une douzaine de paquets de faux billets de 100 dollars ?"

"Eh bien, eh bien", a souri le vendeur. "Vous avez ici une douzaine de paquets de Benjamin Franklin ! Mais oui, monsieur, les faux billets ne servent qu'à des fins de fantaisie, d'accord ?"

"Parfait ! Oui ! Je prendrai une douzaine de paquets."

Johnny a acheté les faux billets, quitté le magasin et s’est rendu au foyer d'accueil d'Ellie pour la rencontrer. Il n'avait pas le courage de lui annoncer la mort de Billy, mais il n'avait pas le choix.

"Johnny ?", a demandé Ellie en ouvrant la porte. "Qu'est-ce que vous faites là ? Et où est papa ?"

"Il faut que je te parle de quelque chose, Ellie", a-t-il dit alors qu'ils entraient tous les deux à l'intérieur. "Je suis désolé. Billy est décédé. Il..." Johnny a trouvé le courage de mentir. "Il a eu une crise cardiaque. Il t'aimait, Ellie. Et il voulait te donner le meilleur".

"Oh mon Dieu !", a soufflé Ellie en fondant en larmes. "Il était tout ce que j'avais. Oh mon Dieu, dites-moi que vous mentez ! Il ne peut pas être... il ne peut pas me laisser comme ça !"

"Je sais que c'est difficile, ma chère, mais je t’en prie, reste forte", a consolé Johnny. "Écoute, il voulait que je te donne quelque chose". Johnny lui a donné une note et une clé. "Cette note contient le code d'un casier dans la réserve... dans le centre commercial tout près, d'accord ? Et voici la clé. Billy travaillait très dur pour te ramener à la maison. Et il avait économisé de l'argent pour toi. Prends soin de toi."

Johnny a ensuite quitté le domicile des parents adoptifs d'Ellie et s'est rendu chez Billy, où les gangsters l'attendaient.

Johnny a garé sa voiture à un carrefour assez éloigné de la maison de Billy et s’est approché du bâtiment. Prenant une profonde inspiration, il a tenu le sac de faux billets qu'il avait trempé dans l'essence.

La flamme vacillante de son briquet éclairait son visage d'une lueur sinistre, tandis que Johnny jetait le briquet dans le sac.

En quelques secondes, l'air est rempli du bruit des flammes qui crépitaient et de l'odeur âcre du papier brûlé. L'adrénaline se répandit dans ses veines lorsque la porte s'ouvrit une vingtaine de secondes plus tard.

Le visage du chef du gang se tordit de choc et de colère en voyant le sac d'argent en flammes sur le pas de la porte.

"ATTRAPEZ-LE !", a-t-il dit aux gangsters. Johnny a souri méchamment tandis que les gangsters l'encerclaient, sachant qu'ils ne récupéreront jamais leur argent.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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