Un étudiant qui est constamment humilié par son enseignante devant ses camarades finit par ruiner sa carrière

• Une enseignante se moquait constamment d'un élève avec de mauvaises notes et qui avait du mal avec l'algèbre
• L'enseignante rabaissait sans cesse le garçon devant la classe, le mettant dans l'embarras.
• Les dénigrements se sont poursuivis pendant six mois, jusqu'à ce que l'élève décide de riposter. Il a enregistré secrètement les insultes de la professeure et l'a fait renvoyer.

Les étudiants sont tous différents. Certains excellent dans leurs études, tandis que d'autres se distinguent dans des activités extrascolaires comme le sport ou la musique.

Un garçon est le premier à admettre qu'il n'est pas bon en maths. Il avait un bon niveau (C), mais un bon dossier scolaire.

Il ignorait pourquoi son enseignante était particulièrement dure avec lui.

Mme Frank enseignait depuis plus de dix ans. Elle était la "préférée" de l'administration.

Lorsque le garçon en a eu assez, il a raconté à l'administration ce que faisait leur soi-disant préférée. Ils ont alors envoyé un observateur, mais elle a changé d'attitude et a agit avec respect.

Qu'a fait l'élève ?

Cette situation s'est poursuivie pendant six mois sans que rien ne change. Le garçon a acheté un magnétophone et a enregistré secrètement chaque insulte que Mme Frank lui a lancé.

Parfois, il posait plusieurs questions pour avoir plus de preuves. Vers la fin de l'année scolaire, il a posé une question à Mme Frank. La réponse de cette dernière est restée graver dans son cerveau :

"J'enseigne ici depuis plus de dix ans et c'est la question la plus stupide que j'aie jamais entendue sortir de la bouche de quelqu'un"

C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Il s'est levé, a pris ses affaires et s'est rendu à la direction pour la faire renvoyer de l'école.

Les jeunes de 18 ans étaient autorisés à s'absenter de l'école, et il avait l'âge requis. Une fois rentré chez lui, il a compilé les cassettes pour en faire ce qu'il a appelé un "chef-d'œuvre".

Le lendemain, il l'a montré à la direction. Il s'est assis avec le directeur et ils ont écouté les insultes.

Il voulait que des témoins soient présents, ainsi que Mme Frank. Le directeur a dit qu'ils se réuniraient le lendemain pour que le garçon puisse montrer la cassette à tout le monde.

Le lendemain, le garçon avait peur lorsqu'il est arrivé à l'école. Il n'avait jamais été aussi nerveux.

Il a été convoqué dans le bureau, où se trouvaient quelques membres du conseil d'administration de l'école, un agent de la police scolaire locale, le directeur, le directeur adjoint et Mme Frank.

Au début, la direction ne voulait pas faire une énième réunion. Cependant, ils sont passés de la lassitude à la colère lorsque l'enregistrement a démarré.

De même, Mme Frank est passée de l'insouciance à l'inquiétude. Tout ce qu'elle a dit a été enregistré.

Lorsque l'enregistrement a pris fin, les administrateurs se sont regardés, choqués. La directrice s'est tournée vers le garçon et l'a remercié avant de lui demander de quitter la pièce.

Quelques instants plus tard, le garçon a vu Mme Frank pour la dernière fois. Elle avait l'air triste en sortant de la pièce.

Lorsqu'ils se sont croisés, ses yeux étaient remplis de larmes. Inébranlable, le garçon lui adressa le plus grand et le plus diabolique des sourires.

Le garçon est retourné en classe la semaine suivante sans Mme Frank. L'histoire de son licenciement s'est rapidement répandue dans l'école et les gens ont applaudi le garçon pour son courage.

Malheureusement pour Mme Frank, il lui sera difficile de continuer à enseigner. Elle a coupé la plupart de ses relations avec les autres enseignants de l'école et aucun district de la région ne l'embauchera après le procès public qui s'est déroulé.

Que pensent les gens de la situation ?

Les internautes n'ont pu s'empêcher de féliciter le garçon pour son courage. Ils ont partagé leurs pensées avec le garçon, affirmant que l'enseignante n'avait que ce qu'elle méritait.

Cependant, certains ont reconnu que les manières de l'enseignante étaient peut-être mauvaises, mais qu'elle n'était pas entièrement à blâmer.

"Il semble que tu aies nui à tes camarades de classe. Elle a mal géré la situation, mais je comprends sa frustration face à un bonhomme incapable de comprendre l'algèbre", a écrit l'un d'entre eux.

"Si tu consacrais la moitié de tes efforts à étudier, tu n'aurais peut-être pas besoin de poser autant de questions stupides" , a fait écho un autre.

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