Des voisins bruyants disent à un vieil homme de déguerpir, ils le regrettent amèrement plus tard – Histoire du jour

Un groupe de jeunes étudiants a emménagé à côté d'un voisin plus âgé et n'a pas voulu arrêter de faire jouer sa musique. Ils ont insulté le vieil homme, mais ils ont vite compris qu’il ne faut pas jouer avec le karma.

M. Adams vivait dans sa petite maison de deux chambres depuis de nombreuses années. Sa chère épouse est décédée il y a quelque temps, et ses enfants vivent à l'autre bout du pays. Il pouvait se sentir seul, mais son quartier était extraordinaire.

Il était entouré de familles bienveillantes et de tonnes de gens adorables, surtout à côté de chez lui. Cependant, ils allaient bientôt déménager parce qu'ils avaient besoin de plus d'espace pour leur famille qui s'agrandissait.

M. Adams leur a souhaité bonne chance et a espéré que la personne qui occuperait le poste vacant serait tout aussi gentille. Malheureusement, ses prières n'ont pas été exaucées. Un groupe de jeunes étudiants a emménagé dans la maison quelques semaines plus tard.

Ils ne devaient pas avoir plus de 18 ans, ce qui signifie qu'ils sortaient tout juste du lycée. M. Adams redoutait cette situation mais espérait que ce groupe comprendrait qu'il venait d'emménager dans un quartier tranquille.

Malheureusement, il s'est trompé une fois de plus. Dès qu'ils ont eu fini de déménager toutes leurs affaires, les adolescents ont commencé à faire la fête. Ils sont devenus bruyants et beaucoup d'autres jeunes se sont présentés. Ils n'ont éteint leur musique qu'à 5 heures du matin, un lundi.

M. Adams ne savait pas quoi faire, mais il pensait appeler l'association des propriétaires en arrosant ses plantes ce matin-là. C'est alors qu'il a vu Linda Shaw s'approcher de lui. Elle vivait en face de Mr. Adams avec son mari et ses deux enfants d'âge préscolaire.

"Bonjour, M. Adams !" dit-elle en guise de salut.

"Bonjour, Linda. Comment s'est passée ta nuit ?" dit-il.

"Oh, elle a été absolument terrible. Je n'ai pas pu dormir une seule seconde. Puis mes enfants se sont réveillés vers 2 heures du matin et ne se sont pas recouchés avant 5 heures, quand la musique s'est arrêtée", explique Linda. "C'est drôle parce que nous n'avons jamais eu de problèmes dans ce quartier".

"Je vois ce que tu veux dire. C'était quand même un cauchemar pour moi", a ajouté monsieur Adams. "Mais je ne savais pas si appeler les flics était la bonne décision".

"J'ai failli le faire moi-même, mais je ne voulais pas causer de problèmes s'ils fêtaient simplement cette première nuit dans leur nouvelle maison", a-t-elle poursuivi.

"Est-ce que l'association des propriétaires aiderait ?" demande M. Adams.

"Peut-être, même s'il est difficile de dire pourquoi ils ont laissé un groupe d'adolescents s'installer dans ce quartier. Ils ont peut-être des relations", dit Linda. "Bon, il faut que j'y aille. J'ai beaucoup de courses à faire aujourd'hui et j'espère pouvoir faire une sieste avant d'aller chercher les enfants."

M. Adams dit au revoir et décide de parler à ces jeunes s'ils continuent à être bruyants, ce qui n'arrivera probablement pas avant le week-end. Mais les voisins ont décidé d'organiser une autre grande fête ce soir-là, et il n'en pouvait plus.

Il est allé chez eux et a frappé à la porte. Un jeune homme a ouvert et a froncé les sourcils en regardant M. Adams. "Bonjour ? Puis-je vous aider ?" dit-il.

"Jeune homme, vous habitez ici ?" demande Mr. Adams.

"Oui. Qui vous le demande ?", a-t-il répondu.

"Je suis votre voisin immédiat. Je dois vous demander de baisser votre musique. C'est un quartier agréable avec des tonnes de familles et de personnes âgées", a dit monsieur Adams aussi poliment que possible.

"Et alors ? Ce n'est pas mon problème. Je paie un loyer comme tout le monde, et je peux jouer autant de musique que je veux", a répondu le jeune homme de façon grossière.

"Je vais appeler les flics si vous ne baissez pas le son", a menacé calmement monsieur Adams.

"Allez-y. Mon père est le shérif du poste de police. Vous ne pouvez rien faire", a-t-il dit en souriant. "Maintenant, va-t-en mon vieux. Cette fête n’a pas besoin d’un vieux croulant qui traîne dans le coin. Si vous n'aimez pas la musique, allez vivre dans une maison de retraite."

L'adolescent claqua la porte au nez de monsieur Adams, le vieil homme choqué par tant d'insolence. Le garçon mentait-il au sujet de son père ? Les flics ne répondraient-ils vraiment pas à sa plainte ? Il devait au moins essayer.

Mais il semblait que son voisin ne mentait pas, car la voiture de police n'est jamais venue, et les adolescents ont profité de cette fête jusqu'à 4 heures du matin.

"Linda, sais-tu si on peut se plaindre à l’association des propriétaires à propos de ces jeunes ?" M. Adams a demandé ce matin-là après avoir frappé à la porte de Linda.

"Je me suis renseignée, monsieur Adams. La nuit dernière a été terrible aussi. J'étais au téléphone avec Mme Lowry, qui sait tout ce qui se passe ici. Elle m'a dit qu'une des mamans de l'adolescent fait partie de l'association", répond Linda.

"Je n'arrive pas à y croire. L'une d'entre elles a dit que son père était le shérif, et ça doit être vrai parce que les flics ne sont jamais venus après mon appel", a-t-il poursuivi.

"Mme Lowry a dit que nous devions déposer une plainte officielle auprès du conseil local avec plusieurs signatures. Je pense que beaucoup de gens la signeront, mais cela prend du temps. Mon mari ne s'est pas non plus reposé la nuit dernière. Je ne sais pas jusqu'à quel point nous pouvons supporter cela", dit Linda.

"Allons de l'avant avec la plainte. Je t'aiderai à obtenir les signatures. En attendant, on peut dire à tout le monde d'appeler l'association des propriétaires et la police pour voir si cette pression fait réagir", a imaginé M. Adams et il est rentré chez lui.

Malheureusement, on dirait que ces jeunes étaient vraiment bien connectés, car les appels à l'association des propriétaires et à la police n'ont servi à rien. Mais Linda et lui ont recueilli toutes les signatures nécessaires pour déposer la plainte officielle. Ils devront attendre pour le moment.

Pendant ce temps, les voisins continuaient à organiser des fêtes tous les jours depuis qu'ils avaient emménagé dans cette maison. Presque tout le voisinage avait frappé à leur porte pour essayer de les raisonner, mais ils ne voulaient rien entendre.

Un soir, ils ont ajouté une pancarte au-dessus de la façade de leur maison, qui disait : "PERSONNE NE DORT CE SOIR !" M. Adams n'en revenait pas d'un tel manque de respect pour les autres.

Ils ont même fait la fête de façon intensive pendant un énorme orage. Leurs haut-parleurs se mouillaient, mais ils semblaient aller bien jusqu'à ce qu'un énorme éclair tonne et semble toucher leur équipement.

La musique s'est miraculeusement arrêtée, et lorsque M. Adams a jeté un coup d'œil par ses fenêtres, il a vu que toute la maison avait été privée d'électricité. Il rit tout seul et se dit que la nature se vengeait en leur nom.

Il put enfin lire son roman et dormit profondément pour la première fois depuis quelques jours. Le lendemain, ils n'avaient toujours pas d'électricité. Apparemment, la tempête avait soufflé sur le système électrique vétuste de leur maison.

Il a fallu plusieurs jours avant qu'ils ne réparent complètement les choses. Mais entre-temps, la ville avait reçu la plainte officielle du voisinage. Les adolescents ne pouvaient plus jouer de la musique forte après 22 heures, et les flics sont venus lorsqu'ils ont essayé de défier cette décision.

Enfin, M. Adams et le reste de son quartier paisible ont pu poursuivre leur vie normale.

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

1. Respectez vos aînés. Ces jeunes n'ont pas écouté les adultes qui leur demandaient poliment d'arrêter, et le karma les a frappés en retour.

2. N'abusez pas de votre pouvoir. Ces jeunes utilisaient aussi leurs relations pour enfreindre les règles et s'en tirer à bon compte. Mais ils ont fini par perdre.

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Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec de véritables noms ou lieux est une pure coïncidence. Toutes les images sont utilisées uniquement à des fins d'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, envoyez-nous un mail à info@amomama.com.