Un homme et sa femme ont entendu frapper à leur porte à 3h du matin. En ouvrant, le mari a vu un homme ivre se tenant devant lui
Une petite blague pour vous donner votre dose de rire !
C’est l’histoire d’un homme qui est au lit avec sa femme, lorsque retentit une série de coups secs sur la porte d’ entrée. Le gars se tourne vers son radioréveil : trois heures du matin !
– Pas question que je sorte du lit à cette heure -ci, se dit-il, puis il enfouit sa tête dans l’ oreiller.
Mais un grand coup sur la porte tire l’épouse de son sommeil.
– Va voir ce que c’est, lui demande sa femme.
Alors, à regrets, le mari s’extirpe du lit, enfile peignoir et chaussons, descend l’escalier et ouvre la porte. Et là, qu’est-ce qu’il voit ? Un homme, visiblement bourré.
– Ehhhh, salut… Baragouine le clochard . Tu peux me pousser ?
Le mari comprend que l’homme est en panne de voiture, mais il n’a pas du tout envie d’aller l’aider à la démarrer :
– Non, allez voir ailleurs. Il est trois heures du matin et dans deux heures, je dois me lever à nouveau pour aller bosser.
Sur ces bonnes paroles , le mari rentre chez lui et claque la porte. Le mari se recouche et raconte à sa femme ce qui s’est passé. L’épouse, âme charitable s’il en est, lui répond :
– Chéri, ce n’était pas très gentil de ta part. Souviens -toi de la nuit où l’on est tombé en panne en pleine cambrousse, sous une pluie battante, et où tu es allé demander de l’aide à un fermier pour qu’il vienne nous aider à sortir de là ? Souviens-toi que LUI nous a très gentiment aidé !
– Mais ce type était ivre chérie ! Répond le mari.
– Peu importe ! Lui dit sa femme. Il réclamait ton aide et tu aurais dû lui donner un coup de main .
Alors, à contre cœur, le mari sort à nouveau du lit, s’habille, descend, ouvre la porte d’entrée et, incapable de voir où se trouve le poivrot dans l’obscurité, il crie :
– Eh ! Vous voulez toujours que je vous pousse ? Et il entend la voix imbibée d’ alcool répondre :
– Ouais, c’est sympa.
– Où êtes-vous ? Demande le mari, toujours incapable de voir le noctambule.
– Je suis ici, sur la balançoire…