Marine Carrère d'Encausse a frôlé la mort: "J’ai lâché prise et j’ai sombré dans le coma"
Marina Carrère d’Encausse a frôlé la mort : ce que cet accident lui a appris dans la vie.
Voici nous parle de Marine Carrère d'Encausse qui a frôlé la mort il y a plus de trente ans de cela après un terrible accident de voiture. Aujourd’hui, l’animatrice-médecin révèle ce qu’elle a compris à la suite de ce choc violent.
C'est un dimanche de l'année 1985 que tout a basculé. Marina Carrère d'Encausse venait de profiter d'un joyeux déjeuner en famille et elle rentrait chez elle en voiture.
Malheureusement, alors qu'elle roulait à plus de 120 km/h, elle a percuté un arbre de plein fouet et le radiateur de sa voiture a explosé en prenant feu.
Un incident extrêmement traumatisant et boulversant que la journaliste santé a partagé avec beaucoup d'émotion au cours de son passage dans l'émission Vivement dimanche en 2015.
"Ma brûlure ne mettait pas ma vie en jeu. C’est douloureux, c’est désagréable. En revanche, je me suis tout éclaté dans l’abdomen" racontait alors l'animatrice du Journal de la santé.
Quand elle a entendu parler d'"hémorragie interne" et de "péritonite", celle qui était alors encore une jeune interne aux hôpitaux de Paris a tout de suite compris que son état était critique et qu'elle pourrait ne pas survivre à cet accident.
"Il y a eu la douleur, la peur panique de mourir. Ça a duré très très longtemps. Il faisait très mauvais et l’hélicoptère n’arrivait pas à se poser," a-t-elle raconté à Michel Drucker.
Cela fait maintenant plus de trente ans qu Marine Carrère d'Encausse a vécu ce drame mais elle reste encore traumatisée par le brutal événement. En effet, le fait d'être passée si près de la mort lui a fait prendre conscience de certaines choses comme elle l'a révélé dans les colonnes de Paris Normandie.
"J’ai appris que la vie était courte et qu’il fallait donc en profiter au mieux, déclare l’échographiste. Mais le fait d’avoir été grièvement blessée, d’être passée près de la mort n’est pas quelque chose de simple à vivre."