
Claude François : La "malédiction" troublante de son appartement parisien où il est mort il y a 30 ans
Selon les nouvelles révélations d’un biographe de Claude François, l’appartement parisien où ce dernier est mort éléctrocuté il y a trente ans est frappé d'une terrible fatalité.
TéléStar nous partage une troublante révélation à propos de l’endroit où l’idole âgé de 39 ans avait rendu son dernier souffle le 11 mars 1978.
Ce jour-là en début d'après-midi, Claude François se prépare à son appartement parisien situé au 46, boulevard Exelmans, dans le 16ème arrondissement pour rejoindre le plateau de l’émission "Les rendez-vous du dimanche" de Michel Drucker.
Toujours tiré à quatre épingles pour sortir, le chanteur prend d’abord sa douche. Tout le monde connaît la suite de l’histoire où après s’être lavé, Claude François aurait tenté de réparer une applique murale, le corps encore mouillé.
Ce qu'on ne sait pas à l'heure où la France entière apprend la terrible nouvelle sur les ondes d'Europe 1, c'est que dans la salle de bains où l'idole est mort électrocuté, un autre drame s'était déroulé quinze ans auparavant.
C'est François Diwo, journaliste et biographe de Claude François qui a fait cette révélation dans une interview pour l'émission 100% Mag diffusée sur M6.
Quelques mois avant que la star yéyé n’achète fin 1962 ce bel appartement dans le 16ème arrondissement de Paris, situé non loin du pont du Garigliano, sa précedente occupante s'était ouvert les veines dans la baignoire où Claude prendra sa dernière douche !
Dans le souci d’échapper à cette malédiction, la personne qui a fait l’aquisition de l’appartement du célèbre chanteur après sa mort, a décidé d’y faire les travaux en changeant l’agencement des pièces.
Elle a notamment fait intervertir les emplacements de la salle de bains et de la chambre à coucher. Quelque temps plus tard, cette personne mourra dans son lit, donc à l'emplacement de la salle d'eau maudite, relate TéléStar.
Selon François Diwo, il s'agissait d'une femme qui se suicida d’une balle dans la tête en 1986. D'après un autre biographe, Bertrand Tessier, c'était un homme qui fut emporté par une crise cardiaque.