
De retour dans la maison de Marnes-la-Coquette pour la première fois, Laura Smet est «en larmes»
Bien qu’on en parle encore au conditionnel, mais un geste de Laeticia Hallyday à l’égard de sa belle fille Laura Smet a été interprété comme un signe d’apaisement dans la guerre des clans.
Comme le dévoilait le dernier numéro du magazine Public, ce mercredi 26 septembre, la fille de Johnny Hallyday et Nathalie Baye s'est rendue à La Savannah, la villa de Laeticia et Johnny à Marnes-la-Coquette, en région parisienne.
Selon les informations exclusives de Gala, Laura Smet aurait demandé à sa belle-mère de pouvoir pénétrer dans les lieux via ses avocats.
Requête immédiatement validée par Laeticia, malgré la bataille judiciare atour de l’héritage qui les a opposées jusqu'à présent. Ce mercredi 26 septembre, Laura "est ressortie moins d'une heure plus tard en larmes, complètement bouleversée", écrit Public.
La villa La Savannah, à Marnes-la-Coquette, est un lieu chargé de souvenirs et d'émotions pour tous les proches du rockeur. C’est ici que Johnny Hallyday a passé les dernières semaines de sa vie avant de s’éteindre le 5 décembre 2017.
En plus de sa tranformation partielle en chambre médicalisée, cette vaste demeure a aussi servie du studio d’enregistrement de son dernier album.
C’est d’ailleurs pour écouter les maquettes en cours de son père, que la fille aînée de Johnny s’est rendue ici pour la dernière fois en octobre 2017. En témoigne une vidéo de Johnny et Laura, très complices, publiée sur le compte Instagram de Laeticia.
Dans quelques jours, cela sera aussi une première pour Laeticia. Ayant choisi de loger à la Savannah lors de la promotion du dernier album du rockeur, Mon pays, c'est l'amour, la veuve de Johnny franchira pour la première fois les portes de la demeure où l’homme de sa vie a rendu son dernier souffle il y a dix mois.
Gala a aussi révélé la raison pour laquelle Laeticia ne restera pas plus de quinze jours dans l’Hexagone et quittera la métropole avant le 19 octobre.
En fait, elle et ses filles ne souhaitent pas entendre "en boucle sur les chaînes de télévision et à la radio la voix de l'être aimé" disparu le 5 décembre dernier. "Ce serait un déchirement de tous les instants", précisait le magazine mercredi 12 septembre.