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Brigitte Macron raconte comment la violence affecte les enfants : "Nos enfants ne peuvent pas s'épanouir"

Après le regain de violence qui a secoué la France dernièrement lors des manifestations des Gilets jaunes, la tension est à son comble.

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Ce mercredi 20 mars, lors du grand débat des enfants la Première dame s'est prononcée en faveur d'un climat d'apaisement et veut proscrire toute violence.

Elle affirme vouloir promouvoir le dialogue et se dit ouverte à toute négociation.

"J'ai envie d'abord de les écouter. Il n'y a aucun souci, on est prêt à écouter tout le monde".

Elle a surtout insisté sur le fait que le monde dans lequel nous vivons, fait de violence, que ce soit verbale ou physique est un monde où nos enfants ne pourraient pas vivre en toute épanouissement

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"Un message totalement de non-violence, parce que c'est ce que nous sommes tous. Nous sommes dans un monde actuellement, où nos enfants ne peuvent pas s'épanouir. C'est impossible de vivre dans ce monde. Je pense qu'ils en ont conscience et je pense qu'ils sont peut-être aussi dépassés par cette violence."

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Elle a d'ailleurs mentionné que nous pouvons faire quelque chose et que cela ne tenait qu'à nous et qu'il fallait que le dialogue se fasse et que la violence devait absolument cesser.

Brigitte Macron lors d'un match de charité au profit de la Fondation des Femmes et du Relais 51 entre anciennes joueuses du Stade de Reims et du Varietes Club de France au Stade Auguste Delaune. | Photo: Getty Images

Brigitte Macron lors d'un match de charité au profit de la Fondation des Femmes et du Relais 51 entre anciennes joueuses du Stade de Reims et du Varietes Club de France au Stade Auguste Delaune. | Photo: Getty Images

"Donc il est temps de dire, quoi qu'il arrive, non à cette violence, non à ce monde dont on ne veut pas. Aucun de vous ne le veut. Il faut que le dialogue persiste. Il y a beaucoup de choses à faire mais on ne pourra pas le faire dans ce climat."

Emmanuel Macron, terriblement indigné contre les Gilets jaunes, il a exprimé sa honte contre la violence de ces derniers.

Il a remercié les forces de l'ordre pour leur courage et leur professionnalisme. Il a également déclaré qu'il n'y avait pas de place pour la violence dans la République.

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