Jean-Pierre Pernaut pleure la mort de Christian Bousquet : "très tristes de l'apprendre"
2020 est une année bien sombre pour la France, qui a déjà perdu de plusieurs figures emblématiques. Dimanche 07 juin 2020, une autre mauvaise nouvelle a été annoncée, partageant le décès de Christian Bousquet. C’est dans ce sens que Jean-Pierre Pernaut s’est exprimé, pour partager ses sentiments.
Le décès de Christian Bousquet a été annoncé de manière subite, dimanche 07 juin 2020. Touché par cette nouvelle, Jean-Pierre Pernaut a partagé un hommage pour ce dernier et sa famille, avec le public.
UN BEAU PARCOURS
Christian Bousquet a eu une belle carrière, et était reconnu dans le domaine du journalisme comme l’une des plus grandes figures.
D’après l’AFP, la mort de ce dernier est survenue dimanche 07 juin, alors qu’il était âgé de 80 ans.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il était né en 1940, au Vietnam. C’est à 27 ans que ce dernier avait commandé sa carrière de journaliste, à l’Office de Coopération Radiophonique. C’était ainsi avant de rejoindre le service de politique étranger.
De grade en grade, Christian a tant de fois apporté au monde, et son départ cause un véritable vide dans le cœur du public.
HOMMAGE À CHRISTIAN BOUSQUET
De retour à la télévision pour le journal de 13h sur TF1, Jean-Pierre Pernaut n’a pas oublié de faire un rappel sur la disparition de Christian.
“La mort de Christian Bousquet. Il a été mon rédacteur en chef pendant dix ans, de 1988 à 1998”.
En effet, le journaliste expliquait que le défunt avait couvert de nombreux conflits, que ce soit dans le monde, ou au Vietnam. C’est donc par un hommage à son défunt camarade, qu’il a terminé son discours avec de la peine dans le cœur.
“il est mort à 80 ans ce matin des suites du coronavirus. Nous avons une pensée pour sa famille et ses proches, et nous sommes ici tous très, très tristes de l'apprendre.”.
Ce n'est pas la première fois que Jean-Pierre adresse un hommage à un de ses amis, collaborateur, ou supérieur. Redécouvrez cette pensé du journaliste, à la mort de Patrick Le Lay.