Un homme divorcé trois fois se moque de sa quatrième femme en congé maternité jusqu'à ce qu'elle rencontre ses ex-femmes – Histoire du jour

Un homme divorcé trois fois se moquait souvent de sa quatrième femme lorsqu'elle était en congé de maternité. Mais un jour, il s'est retrouvé dans de beaux draps après qu'elle a rencontré ses ex-femmes et est revenue à la maison avec un ultimatum pour lui donner une leçon.

"Va le dire à ta femme... Je la vois toujours en train de câliner le bébé, et elle n'a rien cuisiné", ronchonna Alice, la mère de Steve, comme à son habitude.

Steve a épousé Margaret il y a un an. C'était son quatrième mariage après son troisième divorce. Quant à Margaret, c'était son premier mariage et sa première maternité, et elle avait du mal à s'occuper du bébé.

"Même les robots font plus de travail que toi !" Steve l'a raillée la première semaine de son congé de maternité. "Ne reste pas plantée là... qui va cirer mes chaussures ?"

Margaret était consultante dans une entreprise privée. Elle avait pris un congé de maternité pour s'occuper de leur nouveau-né. Mais pour Alice et Steve, ce congé de maternité semblait être une occasion en or de faire travailler davantage la jeune mère...

"Margaret ? Tu n'as pas repassé mon costume ? Je t'ai dit de le faire, non ?" cria Steve depuis leur chambre à coucher. "Viens ici et fais-le vite !"

"Espèce de paresseuse ! Tu n'aurais pas dû épouser mon fils si tu ne pouvais pas t'en occuper."

Margaret nourrissait son bébé, mais cela n'avait pas d'importance pour Steve. Tout ce qui lui importait, c'était uniquement que ce qu’il avait demandé soit fait. C'est alors qu'Alice est intervenue.

"Ta femme ! Elle se prend pour une reine ! Je n'ai jamais vu une fainéante comme elle."

La pauvre Margaret plaça son bébé dans la chambre d'enfant et fit tout le travail qu'elle pouvait. Quelques instants plus tard, elle entendit son bébé pleurer et se précipita dans sa chambre.

Mais Alice lui barra la route en lui montrant le sac de courses. "Nous n'avons plus de lait ni de légumes... Va à l'épicerie avant qu'il n'y ait trop de monde".

Margaret regarda la femme, espérant qu'elle comprendrait qu'il était temps de nourrir le bébé qui braillait. "Je crois que Cody a faim... Je ne pense pas pouvoir aller faire les courses maintenant", dit-elle.

Sa réponse mit Alice sur les nerfs. Mais la vieille dame savait comment se défouler sur elle. "Je pensais qu'une promenade quotidienne à l'épicerie t'aiderait à perdre tous les kilos que tu as pris après l'accouchement... Oh mon Dieu, regarde comme tu es devenue grosse !"

Margaret fit la sourde oreille aux railleries d'Alice. C'est alors que Steve s'est joint à elle, aggravant encore la situation.

"Oui, maman ! Elle ressemble à un sac de pommes de terre qui ne fait rien dans la maison... Regarde comme elle est devenue grosse et laide !"

La pauvre Margaret avait envie de pleurer, mais elle ne pouvait pas. Elle ne voulait pas qu'ils l'insultent davantage, alors elle s'est précipitée vers son bébé. "Je suis désolée... je dois aller le nourrir", dit-elle en souriant.

À son grand désarroi, les frasques de Steve et d'Alice se sont intensifiées avec le temps. Un jour, Alice a invité toutes ses amies à un goûter. "Mais maman, tu crois qu'elle sera capable de cuisiner tout ça ?" demanda Steve à Alice.

"Oh, ne t'inquiète pas ! Ta femme cuisine bien et elle pourra faire la vaisselle plus tard... Va la chercher avant que les invités n'arrivent", dit Alice.

Margaret avait un léger mal de tête ce jour-là. Le petit Cody l'avait empêchée de dormir pendant presque toute la nuit, si bien qu'elle n'avait pas assez dormi.

"Hé, arrête de dormir pendant la journée et aide maman à la cuisine !" hurla Steve. Margaret lui dit qu'elle n'est pas bien, mais il s'en fichait. C'est alors qu'Alice est entrée pour jouer son rôle.

"Qu'est-ce qui se passe ? Je te l'ai dit, n'est-ce pas ? Tu as épousé une fainéante qui élève un autre petit fainéant !"

À ce moment-là, Margaret a craqué.

"J'ai pris un congé de maternité pour que mon corps puisse guérir et pour m'occuper de mon bébé ! Ce n'est pas pour faire le ménage !"

Alice et Steve sont restés stupéfaits devant le visage rougi de Margaret. Elle était visiblement en colère. Alice a claqué la porte et Steve l'a suivie en répétant "Maman... maman, attends...."

Peu après, les invités sont arrivés. Pendant la fête, l'une des amies d'Alice lui a demandé des nouvelles de Margaret. "Je ne la vois pas dans les parages... Où est-elle ?"

Margaret entendait les femmes bavarder et rire de tout et de rien. C'est alors qu'elle surprit sa belle-mère dire quelque chose à son sujet.

"Oh, vous parlez de la paresseuse de ma maison ? Dieu sait ce qui a attiré mon fils vers elle... elle ne fait rien et se contente de manger et de dormir !"

Les femmes se mirent à rire tandis que Margaret pleurait dans sa chambre.

"J'étais une bonne épouse et une mère parfaite... Pas une paresseuse !" ajouta Alice, suffisamment fort pour que Margaret l'entende.

Plusieurs jours passèrent, mais rien ne changeait pour Margaret. Son mari et sa belle-mère se disputaient constamment avec elle et lui faisaient faire toutes les tâches de la maison.

Un jour, Steve l'a emmenée avec leur enfant au parc pour une promenade. Margaret a accepté parce qu'elle voulait faire une pause.

Alors qu'ils se promenaient sur le sentier, Steve a commencé à agir bizarrement. Il a fait semblant d'être en train de téléphoner et s'est tourné d'un côté ou de l'autre, en essayant d'éviter trois femmes avec des enfants qui s'approchaient du côté opposé. Mais elles l'ont reconnu.

"Hé, regardez... c'est le fils à maman ! Et qui est-ce ?" se moqua l'une d'elles.

"Ce doit être sa quatrième femme. Qui d'autre pensez-vous ?" dit une autre.

Margaret était déconcertée. Elle ne savait pas qui étaient ces femmes. L'une d'elles lui tendit alors une carte de visite, lui demandant de l'appeler si elle avait besoin d'aide. "N'oubliez pas de nous appeler si vous avez besoin de nous, d'accord ?!"

Steve était embarrassé. Il a dit à Margaret que les trois femmes étaient ses ex et que les enfants qui étaient avec elles étaient ses enfants. Plus tard dans la soirée, Margaret a appelé l'une des ex. Elle était curieuse de savoir pourquoi Steve avait divorcé plusieurs fois.

"Lui et sa mère pensent que les congés maternité sont destinés aux travaux ménagers", a déclaré l'ex-femme. "J'étais sa deuxième femme et j'ai divorcé quand sa méchante mère s'est moquée de moi devant ses invités en disant que j'étais un âne paresseux."

Margaret finit par rencontrer les trois ex-femmes de Steve et apprit qu'elles avaient formé un petit club pour discuter des problèmes familiaux. Rapidement, elles lui ont conseillé de se défendre et de divorcer de Steve.

Réticente, Margaret a accepté mais a dit aux femmes qu'elle lui donnerait encore une chance. "S'il ne se range toujours pas de mon côté et reste un fils à maman, je lui enverrai les papiers", dit-elle.

Steve et Alice n'étaient pas au courant de la rencontre de Margaret avec ses ex et de son intention de divorcer s'il la décevait à nouveau. Ce soir-là, Alice reprocha à Margaret de ne pas avoir préparé le dîner.

"Espèce de paresseuse ! Tu n'aurais pas dû épouser mon fils si tu ne pouvais pas t'en occuper", fulmina-t-elle.

Margaret regarda Steve, attendant sa réaction. "Oui, maman ! Tu as raison... je n'aurais pas dû épouser ce sac à patates paresseux."

À ce moment-là, Margaret a explosé. "Oh, non ! Tu ne m'appelleras plus jamais comme ça ! Sois prêt à signer les papiers du divorce, toi, LE FILS À MAMAN !"

La réaction de Margaret choqua Alice et Steve. Ils pensaient qu'elle ne leur rendrait jamais la pareille. Peu après, le couple divorça et Margaret emménagea dans son nouvel appartement avec son fils.

De là, elle noua des liens plus étroits avec les ex de Steve. Les femmes sont devenues de grandes amies et ont souvent gardé un œil sur Steve pour voir s'il se remariait avec quelqu'un d'autre.

Mais Steve n'a pas réussi à trouver une fille qui lui convenait après avoir divorcé de Margaret. Il aspirait à une vie de famille, mais en vain. Finalement, tout ce qu'il a pu faire, c'est regarder ses enfants grandir de loin.

Bien qu'il se soit rendu compte de son erreur, les dommages causés étaient irréparables, et il était trop tard !

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Parfois, les jugements de valeur peuvent détruire les relations. Au cours d'une altercation, Alice a dit à Margaret qu'elle n'aurait pas dû épouser son fils si elle ne savait pas comment s'en occuper. Elle se moquait souvent de Margaret et disait qu'elle était paresseuse. En fin de compte, ces railleries constantes ont poussé Margaret à divorcer de son mari.
• La surprotection peut ruiner la vie de votre enfant. Alice ne pensait qu'au meilleur pour son fils. Bien qu'il n'y ait pas de mal à cela, sa nature surprotectrice l'a poussée à trouver constamment des défauts à sa belle-fille. En fin de compte, son approche a ruiné la vie de son fils.

Cliquez ici pour lire l'histoire d'une femme qui déposait souvent des fleurs sur la tombe de son mari et qui les a trouvées jetées par une autre femme. Elle a été stupéfaite lorsqu'elle a appris pourquoi.

Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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