Mon petit ami m'a invitée à un rendez-vous surprise pour la Saint-Valentin - Cela s'est transformé en un cauchemar que je n'avais pas vu venir

En rencontrant cette personne que je pensais parfaite, j'imaginais que nous serions heureux pendant longtemps. C'était jusqu'à ce qu'il fasse un mauvais coup qui m'a fait reconsidérer le rôle qu'il jouait dans ma vie. Aujourd'hui, je ne suis pas sûre d'avoir fait le bon choix.

Avant, je croyais beaucoup en l'amour. Je pensais également que la Saint-Valentin était consacrée à la complicité et à la célébration de quelque chose de réel entre deux personnes.

Puis est arrivé Andrew, qui a tout changé.

Andrew et moi sortions ensemble depuis seulement trois mois, mais pendant cette courte période, il était devenu tout mon monde ! Il était charmant, intelligent et beau !

Avant d'aborder d'autres aspects de notre relation, voici comment nous en sommes arrivés là.

J'avais 29 ans et mon petit ami, qui avait deux ans de plus, m'a rencontrée dans d'étranges circonstances. Un jour, il a eu un malheureux accident - il a trébuché dans son bureau, atterrissant la paume la première sur une paire de ciseaux qui dépassait d'une tasse sur son bureau !

En tant que stagiaire, c'est moi qui l'ai soigné. Il a souri malgré la douleur, en faisant des blagues sur lui-même, et quand j'ai fini de le recoudre, il m'avait déjà demandé mon numéro !

J'étais à la faculté de médecine et j'étais l'interne de garde à l'hôpital où il a été soigné. J'avais la tâche difficile de le recoudre alors qu'il grimaçait de douleur, mais il parvenait toujours à me ravir en faisant des blagues d'autodérision.

Contre mon gré, je l'ai laissé flirter et nous avons échangé nos numéros. Finalement, une chose en entraînant une autre, nous avons commencé à avoir des rendez-vous autour d'un café après mes quarts de travail épuisants à l'hôpital.

Nous avons parlé de tout et de rien. Je lui ai fait part de mes dettes, et du fait que j'arrivais à peine à joindre les deux bouts.

Mais Andrew ? Il avait déjà réussi. Il travaillait dans une grande entreprise de technologie, gagnait un salaire à six chiffres et vivait confortablement ! Ironiquement, ses parents étaient tous deux médecins. Ils voulaient qu'il suive leurs traces, mais il s'est rebellé, préférant le codage aux scalpels.

Ils lui ont coupé les vivres et l'ont renié pour cela. Bizarrement, je pense qu'il m'a considérée comme la preuve que sa décision était la bonne. Avec le recul, c'est peut-être pour cela qu'il s'est accroché à moi si rapidement - j'étais le médecin en difficulté qu'il avait évité de devenir.

Dès le début de notre relation, j'ai insisté pou partager les dépenses. Ce n'était pas parce que j'avais de l'argent à dépenser, mais parce que je refusais d'être considérée comme quelqu'un qui "sortait avec lui pour sa richesse". Cela semblait toujours l'amuser, il riait et disait : "Tu es différente de la plupart des filles."

J'aurais dû faire plus attention.

Puis vint la Saint-Valentin.

Une semaine avant, il m'a dit : "J'ai prévu quelque chose de spécial pour la Saint-Valentin"

J'ai hésité. "Où allons-nous ? Tu sais que je n'ai pas les moyens en ce moment. S'il te plaît, n'oublie pas que j'ai besoin de connaître le coût à l'avance. Je vis d'un salaire à l'autre et les rendez-vous extravagants ne font pas partie de mon budget."

"Ne t'inquiète pas, c'est une surprise", a-t-il dit en me faisant signe de partir. "Fais-moi confiance."

J'aurais dû me méfier.

Ce soir-là, il s'est présenté dans un Uber Black, et non dans sa voiture.

J'ai froncé les sourcils. "Il est arrivé quelque chose à ta voiture ?"

"Nan", a-t-il dit en lissant sa cravate. "J'ai voulu mettre le paquet pour ce soir"

Puis nous nous sommes arrêtés devant l'un des restaurants les plus chers de la ville.

Je me suis tournée vers lui à la seconde où nous sommes entrés. "Andrew, je suis vraiment..."

"Détends-toi", dit-il en me guidant vers notre table. "Je m'en occupe."

Il avait l'air dans son élément lorsqu'il a tout commandé - du bon vin, du homard, des huîtres et du risotto aux truffes blanches ! J'ai à peine touché à ma nourriture. J'ai eu le sentiment que quelque chose n'allait pas.

Andrew était très actif, son téléphone posé sur la table, enregistrant des bribes de notre rendez-vous. Il n'arrêtait pas de sourire à la caméra en disant des choses comme "Soirée spéciale avec ma copine" et "Elle mange bien", même si je ne mangeais pas beaucoup.

J'ai ri nerveusement. Je dois admettre que le peu que j'ai mangé ce soir-là était plus délicieux que tout ce que j'avais mangé dans ma vie ! La nourriture était incroyable et notre sortie avait l'air de sortir d'un film !

Puis la facture est arrivée.

3.180 dollars !

Avant même que je puisse parler, Andrew a pris son téléphone et a tourné l'appareil photo vers moi.

"Alors, bébé", dit-il. "On partage, c'est ça ?"

J'ai cru avoir mal entendu.

J'ai émis un petit rire gêné. "Tu m'as dit de ne pas m'inquiéter pour l'argent ce soir. Tu as dit que tu t'occuperais de tout, tu te souviens ?", ai-je répondu, choquée, confuse et embarrassée.

Mon pire cauchemar était sur le point de devenir réalité - j'allais passer pour une croqueuse de diamant !

"Oui, mais voyons", a-t-il dit. "Tu as mangé, n'est-ce pas ?"

Mon cœur s'est mis à battre la chamade. "Andrew, tu sais que je n'ai pas cette somme"

"Quoi ?", dit-il. "Eh bien, je suppose que tu aurais dû y penser avant de te lancer"

J'ai senti les regards se poser sur moi. Le restaurant était devenu silencieux. Les gens regardaient. Le serveur est resté figé, tenant l'addition.

Puis Andrew a tourné la caméra vers lui et a fait quelque chose que je n'oublierai ni ne pardonnerai jamais.

"Maman, papa, vous avez toujours dit que j'aurais dû être médecin", a-t-il dit tout en tournant la caméra. "Eh bien, voilà ce qu'aurait été ma vie si je l'avais fait - sortir avec quelqu'un qui ne peut même pas se payer son propre dîner !"

Je pouvais à peine respirer.

Il a éteint la caméra, a jeté sa carte de crédit sur l'addition et a souri au serveur.

C'est alors que quelque chose en moi a craqué !

Je me suis levée si vite que ma chaise a failli se renverser ! La chaleur de l'humiliation me brûlait la peau, mais plus encore, je ressentais de la colère ! Andrew souriait encore, tenant toujours son téléphone, mais lorsque j'ai attrapé mon manteau et que je me suis détournée, son sourire en coin a vacillé.

"Attends, bébé, où vas-tu ?!", a-t-il demandé, l'air confus.

Je n'ai pas répondu. J'ai couru et j'ai poussé les portes du restaurant.

Mon téléphone a bourdonné sur mes genoux pendant tout le trajet en taxi. Andrew n'arrêtait pas d'appeler, encore et encore, et quand il a compris que je n'allais pas répondre, les textos ont commencé. Alors que je m'apprêtais à les lire, mon chauffeur a pris la parole.

"Euh, madame, vous allez bien ? Vous avez besoin de quelque chose ?"

"Oui, je suis vraiment désolée. J'ai juste besoin d'un peu de calme et de tranquillité. Ça va aller, merci", ai-je répondu.

Le chauffeur a hoché la tête dans son rétroviseur et s'est concentré sur la route. J'en ai profité pour jeter un coup d'œil à mon téléphone.

C'était une blague. Une farce. Tu réagis de façon excessive. Je voulais juste prouver quelque chose à mes parents. Je ne le pensais pas. S'il te plaît, ne t'énerve pas. Réponds-moi...

Je ne pouvais pas le croire ! Il pensait vraiment que cette explication était suffisante pour effacer la douleur de l'humiliation qu'il venait de me faire subir. J'ai décidé de l'ignorer avant de bloquer son numéro.

J'ai passé cette nuit-là à fixer le plafond, le poids de tout m'accablant. Je n'arrivais pas à me remettre de la trahison, de l'embarras et de la prise de conscience que je ne l'avais jamais vraiment connu.

Mais le pire ?

La nuit suivante, il s'est présenté sur le pas de ma porte ! Il n'arrêtait pas d'appeler mon nom et de frapper comme un policier certain que le criminel qu'il cherchait se cachait à l'intérieur !

Comme il n'abandonnait pas et ne comprenait pas le message, j'ai décidé de le confronter. J'ai ouvert la porte juste assez pour le regarder droit dans les yeux et je l'ai menacé : "Si tu t'approches encore de moi, je déposerai une injonction d'éloignement."

C'est à ce moment-là que son sourire en coin a finalement disparu et qu'il est parti.

Je me suis assise dans mon minuscule appartement, fixant mon téléphone, incapable d'arrêter de penser à ce qui s'était passé. Voulant une sorte de soutien, j'ai tendu la main à ma meilleure amie, Kara, mais sa réponse m'a laissée encore plus confuse.

"Tu es sûre de vouloir le larguer pour ça ? Tu ne veux pas y réfléchir ?", m'a-t-elle demandé au téléphone.

J'ai été stupéfaite par sa question. "Il m'a humiliée"

Elle a soupiré. "Oui, mais il a payé à la fin, n'est-ce pas ? Ce n'était qu'une blague. Il est riche, Jess. Peut-être qu'il essayait d'impressionner ses parents ou quelque chose comme ça."

"La richesse ne fait pas de quelqu'un une bonne personne"

Kara a répondu : "Non, mais elle rend la vie beaucoup plus facile."

Mais intérieurement, je n'en étais pas si sûre.

Qu'en pensez-vous, cher lecteur ? Ai-je eu tort ?

Voici une autre histoire : Le jour de mon 18e anniversaire, ma mère m'a tendu un balai, se moquant de mon rêve de devenir actrice en disant que je finirais par nettoyer les rues. Mais quelques semaines plus tard, la vie a pris un tournant inattendu lorsque je l'ai trouvée en train de laver les sols à l'épicerie locale, révélant un passé qu'elle avait essayé d'enterrer.

Cette œuvre est inspirée d'événements et de personnes réels, mais elle a été romancée à des fins créatives. Les noms, les personnages et les détails ont été modifiés pour protéger la vie privée et améliorer le récit. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, ou avec des événements réels est purement fortuite et n'est pas voulue par l'auteur.

L'auteur et l'éditeur ne prétendent pas à l'exactitude des événements ou à la représentation des personnages et ne sont pas responsables de toute interprétation erronée. Cette histoire est fournie "telle quelle", et toutes les opinions exprimées sont celles des personnages et ne reflètent pas les opinions de l'auteur ou de l'éditeur.