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Affaire Maëlys: D'après Nordahl Lelandais, la petite fille est morte d'une...gifle

Quentin Autier
10 avr. 2018
01:41

Affaire Maëlys : la fillette morte à cause d'une gifle, selon Nordahl Lelandais.

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Télé Loisirs nous parle des déclarations que Nordahl Lelandais a faites au juge d'instruction concernant la mort de la petite Maëlys lors de son audition du 19 mars dernier.

C'est en février dernier que Nordahl Lelandais avouait enfin avoir tué Maëlys "involontairement" et qu'il avait conduit les enquêteurs jusqu'au corps de la pauvre petite.

Aujourd'hui un mois plus tard, il a enfin accepté de raconter comment le tragique incident s'est déroulé.

D'après les informations rapportées par BFMTV, qui ont été confirmées par de nombreux autres médias comme notamment l'AFP, lors de son audition du 19 mars, l'ancien maître-chien a avoué avoir giflé Maëlys ce qui aurait entraîné sa mort.

D'après saversion de l'histoire, c'est de son plein gré que l'enfant est montée dans sa voiture dans la nuit du 26 au 27 août au cours du mariage à Pont-de-Beauvoisin. Il lui aurait proposé d'aller voir ses chiens, une proposition que Maëlys aurait accepté.

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Cependant, au cours du trajet, l'enfant se seriat mise à paniquer et à hurler en lui demandant de faire demi-tour. Pour la faire taire, il l'aurait giflée violemment, si violemment même que la petite aurait perdu conaissance.

Nordahl Lelandais raconte avoir voulu prendre son pouls et s'être rendu compte qu'elle était décédée. Il serait alors parti cacher son corps dans un cabane près de chez ses parents avant de retourner au mariage, puis d'aller cacher le cadavre sur les hauteurs de Saint-Franc, en Savoie.

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Bien que cette version des faits soit "audible" d'après une source proche du dossier et qu'elle colle avec la facture de la mâchoire découverte lors de l'autopsie qui "peut avoir pour origine un coup ou un choc violent", cela pourrait être une simple stratégie de défense de la part du meurtrier.

En effet, l'ancien militaire espère ainsi que le chef d'inculpation dont il fait l'objet sera requalifé en "coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner", ce qui pourrait lui laisser espérer une peine moins sévère.

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