
Amanda Sthers a méchamment attaqué Laeticia Hallyday. Elle l'accuse de duplicité
Depuis la divulgation du testament de Johnny Hallyday en février, un bon nombre de personnalités se sont exprimées au sujet de la guerre qui oppose Laeticia Hallyday à Laura Smet et David Hallyday. C’est au tour d’Amanda Sthers de choisir son camp.
L’auteure de l’autobiographie de Johnny Hallyday sort de son silence pour la première fois après le début de la bataille autour de l'héritage du rockeur et se positionne contre Laeticia.
Gala nous parle d’Amanda Sthers, amie et biographe de Johnny Hallyday qui était l’invitée de l’émission Bonjour la France ce jeudi 19 avril.
L’écrivaine qui a connu de très près la légende du rock a publié un hommage bouleversant à son ami, après sa disparition en décembre dernier : "Il était généreux, il voulait être aimé, il comprenait tout d'instinct avant même de pouvoir le formuler."
Si l’auteure de Dans mes Yeux admire l’idole des jeunes et arrive à peine à contenir son émotion en parlant de Johnny au passé : "Il plaçait le lien et l'amitié au dessus de tout.", la jeune femme n’est pas très tendre avec la veuve du chanteur.
Interrogée par Daphné Bürki sur l’affaire du testament, Amanda Sthers a déclaré : "On ne peut pas demander aux français de pleurer quelqu'un. On ne peut pas demander des funérailles nationales et ensuite se réfugier derrière la loi californienne. Il faut choisir son pays."
Cependant, l’ex-épouse de Patrick Bruel est elle-même partie vivre à Los Angeles avec leurs deux enfants. "L’année dernière a été très lourde, se justifie-t-elle dans les colonnes de Paris Match en septempbre dernier en référence aux attentats du 13 novembre à Paris. J’avais besoin de faire un break avec les enfants pour voir mon pays de loin et me remettre à l’aimer. Je reste française dans mon cœur, je paie toujours mes impôts en France, mais je ne vois pas pour l’instant ce qui me ferait rentrer."
Amanda Sthers a également parlé des enfants aînés de Johnny : "Tout ce que je peux dire à Laura et David, c’est qu’ils ont été aimés, et qu’il ne faut pas qu’ils en doutent."